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ville de vanves - Page 318

  • UNE EVICION BETE, STUPIDE, RARE ET SECTAIRE A VANVES DANS UN CONSEIL DE QUARTIER

    Evenement très rare à Vanves pour être noté dans les annales : Un membre d’une instance participative a été démissionné par lettre recommandée par un maire adjoint de Vanves. Il s’agit de Guillaume Benhamou, membre du conseil de quartier du centre Saint Remy.

    Il est vrai qu’il a été absent à des réunions plusieurs fois et non excusées, et que le réglement intérieur des Conseils de Quartier le prévoit en cas d’absence répétée (Article 4.1 du Règlement Intérieur) comme l’a expliqué Kevin Cortes maire adjoint et président du Conseil de Quartier du Centre Saint Remy,  dans un courrier daté du 17 Février, envoyé en recommandé. Dans les annales de l’histoire des Conseils de quartier depuis leur création lors du mandat du maire socialiste Guy Janvier (1995-2001). cela doit bien être la première fois. Car généralement dans ces instances consultatives, les absences répétées ne sont pas sanctionnées, sachant que la présence des membres s’éffiloche au fil du temps, sans avoir besoin de l’acter par un tel courrier

    Mais manque de pot pour la municipalité, cette décision touche un vanvéen handicapé physique qui se déplace en fauteuil, et qu’elle a sollicitée, par  ailleurs, ans le même temps, pour tester ces aménagements rendant accessible certains bâtiments comme ce fut le cas ses derniers jours pour les accès de l’église Saint Remy réaménagés.

    Mais comme le note l’intéressé, l’adjoint au maire concerné n’a même pas pris contact avec lui pour l’informer,  ni tout autre personne de la mairie pour le prévenir, alors qu’il rencontre certains élus  lorsqu’il se rend chaque samedi au marché. A croire qu’il a été évincé parce qu’il a soutenue une liste concurrente à la majorité municipale aux dernières élections municipales. Il a d’ailleurs remarqué, comme beaucoup de vanvéens, que les élus de la majorité municipale n’adressent jamais la parole à ses opposants. Ils ignorent le dialogue républicain et citoyen dans une attitude particulièrement sectaire qui en choque beaucoup..

    D’ailleurs, c’est peut être à cause de cette attitude que ses interlocuteurs auraient ainsi pu prendre conscience, comme il s’en est confié à quelques amis, qu’il passe par des hauts et des bas en fonction de sa santé, de son traitement, pas toujours facile à vivre, pesant sur son moral, à certains moments qui le découragent, et le recroquevillent chez lui. Mais il est vrai qu’au sein de la municipalité, beaucoup ne sont pas très, comme on dit, « fute fute »

    Car Guillaume Benhamou, pour ceux qui le connaissent bien, est un hyperactif, que l’handicap, le fauteuil n’empêche pas d’agir pour les autres. N’a-t-il pas été nommé au conseil national consultatif des personnes handicapées mis en place par Sophie Cluzel, ministre des personnes handicapés voilà 3 ans, présidé la Jeune Chambre Economique de GPSO, écrit un livre… Mais comme beaucoup de Vanvéens qui ont siégé dans les conseils de quartier ou au fameux conseil Economique social et environnemental local de Vanves (CESEL), il s’est rendu compte qu’ils ne servaient à rien, véritables chambres d’enregistrement des décisions de la majorité municipale, sans disposer de véritables moyens financiers, et voyant tout projet présenté par des opposants, rejetés, à tel point que les membres d‘une commission du CESEL avaient démissionné lors du précédent mandat

  • VANVES A ECHAPPE A LA PARALYSIE, MAIS PAS AU GALERE DES TRANSPORTS

    Les  vanvéens comme les franciliens ont été confrontés vendredi à une grève de la RATP pour les salaires, la première massive depuis le début de la pandémie, mais Paris n'a pas été paralysée dans la matinée, malgré des bouchons importants sur les routes franciliennes.

    La direction de la RATP a compté vendredi matin «moins d'un quart de grévistes dans l'entreprise, très concentrés sur les métiers de la conduite». Les usagers franciliens ont dû s'adapter, mais ont paru en mesure d'éviter les galères, grâce à la marche, un changement de mode de transport (vélo, trottinette...), ou d'itinéraires…jusqu’au télétravail recommandée tant par la RATP que par Ile de France Mobilités et le ministre des transports Djebbari. Cette option a visiblement été suivie par nombre de Franciliens. Ce qui a permis à ceux qui devaient vraiment se déplacer de respirer un peu.  Les vanvéens usagers de la ligne 12 qui devait être totalement fermées, ont eu de la chance, car elle était finalement en partie ouvertes. Mais les RER, tramways et autobus ont été aussi perturbés. La situation gardait un arrière-goût de la dernière grande grève d'ampleur contre la réforme des retraites, fin 2019, juste avant la pandémie et l'entrée massive du télétravail dans la vie des salariés.

    «Aujourd'hui, c'est plus de 5 millions de voyageurs qui sont pris en otage, des commerces et des services désertés. Attention à ce que la capitale ne finisse par être perçue comme une ville où il est de plus en plus difficile de vivre, de travailler et de se déplacer en toute liberté», s'est plaint Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris Ile de France qui regrettait la grève massive du 18 février à la RATP, un mouvement social qui pénalise lourdement les chefs de TPE-PME, leurs collaborateurs, leurs fournisseurs et leurs clients à Paris et en ile de France, alors que les TPE-PME ne peuvent s’offrir le luxe d’un nouveau «stop and go» : «La grève massive à la RATP est d’autant plus nuisible qu’elle est particulièrement antisolidaire et inopportune. Une grève antisolidaire car décidée par une seule catégorie de travailleurs pour une seule catégorie de travailleurs, aux dépens de tous les autres Franciliens, qu’il s’agisse des travailleurs, qui ne peuvent pas tous télétravailler, ou des vacanciers, au premier jour de leurs vacances d’hiver et d’éventuels départs. Une grève inopportune car décidée à peine les restrictions sanitaires levées, alors que l’économie francilienne repart moins vite que les autres régions en raison de sa spécialisation économiques dans des secteurs qui peinent à sortir de la crise (tourisme international, culture, événementiel) et après que les acteurs économiques franciliens ont déjà subi les externalités négatives des gilets jaunes, des grèves dans les transports de 2019-2020 et de deux années de crise sanitaire».

    «Il y a une forme de grève réflexe que, moi, je ne comprends pas» a pour sa part réagi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, sur BFMTV et RMC, qui  a déploré le timing de la grève, au moment où les Français «aspirent à partir en vacances » et peuvent « retourner sur leur lieu de travail » Aux grévistes qui disent ne pas être entendus par la direction sur les salaires, il a fait valoir qu'« il y a un dialogue social » et que « des choses ont été mises sur la table par la SNCF et la RATP », avec des mesures fortes pour les salaires.  Il a fait valoir «qu'une augmentation des salaires en moyenne de 2,7 % (en 2022 comme proposé par la direction de la RATP), c’est supérieur à ce que constatent beaucoup des Français sur leurs fiches de paie», et qu'« une partie importante des salariés auront une augmentation supérieure à ça, parce qu’ils ont de l’ancienneté ou des fonctions plus exposées» a fait remarquer cet élu vanvéen.

  • DÉPLOIEMENT DE NOUVEAUX TRAINS REGIO2N SUR LA LIGNE N QUI DESSERT VANVES

    Les mises en services des nouveaux trains Régio2N de la Ligne N opérée par Transilien SNCF pour Île-de-France Mobilités s’amplifient à raison de 3 à 4 Régio2N  chaque mois pour que d’ici la fin de l’année, toute la ligne soit complètement équipée de ces nouveaux trains. C’est déjà le cas sur les axes entre Paris Montparnasse avec Sèvres rive Gauche depuis décembre 2020, avecDreux et Rambouillet depuis 2021, Plaisir et Mantes La Jolie depuis 2022. Il remplacera petit à petit l’ensemble des matériels roulants existants (VB2N et Z2N) de la ligne et répond, ainsi, aux besoins de l’ensemble des 132 000 voyageurs de la Ligne N. Le parc sera à terme de 73 rames sur la Ligne N, financées à 100% par Île-de-France Mobilités, pour un coût de 1,06 milliard d’euros.. La fin du déploiement sur l’ensemble de la Ligne N est prévue à la fin de l’année 2022. Elles ont nécessités  des travaux de grande ampleur menés par SNCF Réseau afin d’adapter les quais, les voies et le faisceau caténaire aux caractéristiques du nouveau matériel pour un montant de 161 M€ pour pouvoir circuler sans compter la modernisation des sites de maintenance et garages Transilien, avec en particulier celui de Montrouge (153 M€). La ligne N disposera donc à la fois de trains modernes et confortables, mais aussi d’installations industrielles performantes à même de permettre une amélioration de la fiabilité et de la disponibilité des nouveaux trains.

    Ces Régio2N de la Ligne N d’une longueur maximale de 8 voitures peuvent accueillir 2108 personnes, dont 1048 en places assises (20% de plus que dans les VB2N). La présence d’accoudoirs, de prises de courant 220v installées entre les sièges mais aussi d’un éclairage homogène, permettent à chacun d’adapter son voyage à ses envies de lecture, de repos, de travail sur PC ou smartphone, etc. À tout moment, grâce au Système d’Information Voyageurs Embarqué (SIVE), le voyageur peut prendre connaissance des noms et du nombre d’arrêts que comporte son trajet, de sa durée (réactualisée en fonction de la circulation) ainsi que les correspondances possibles avec d’autres trains, bus, tram, métro. Des écrans dynamiques placés sur les plateformes diffusent directement l’information en provenance des centres opérationnels Transilien. Le train offre un accès de plain-pied aux quais pour les PMR. L’intérieur du train est pensé pour simplifier les déplacements des personnes dont la mobilité est limitée. Par exemple, les poignées fixées aux sièges sécurisent leur cheminement dans les couloirs. Pour assurer la sécurité des voyageurs, chaque rame Régio2N embarque 25 caméras de surveillance. Ces équipements permettent une couverture intégrale des plateformes et des espaces voyageurs intérieurs. Le Régio2N est une rame dite «boa» permettant l’accès d’une voiture à l’autre de manière aisée. Des éclairages ont également été ajoutés sur les plateformes afin de renforcer le sentiment de sûreté. Ce train dispose également de capteurs qui comptent les voyageurs montant et descendant, outil indispensable pour leur apporter une information sur l’affluence leur permettant de choisir les voitures les moins occupées et de se positionner en anticipation de ces voitures sur le quai. Un outil deux en un qui améliore le confort de déplacement des voyageurs et participent à une meilleure ponctualité en fluidifiant les échanges entre le train et le quai.

    La modification la plus marquante des rames de la ligne N est le réaménagement complet des véhicules 1 niveau par rapport à la configuration initiale que l’on retrouve sur les rames des lignes R et RER D. En effet, les strapontins ont été supprimés, les sièges en face à face ont été disposés en » dos à dos» et les parois entre sièges supportant les écrans Système d’Information des Voyageurs (SIVE) ont été supprimées avec les écrans placés au-dessus des fenêtres. Cela permet d’améliorer grandement les flux d’entrée/sortie de la rame et contribue à renforcer l’effet «rame BOA» en dégageant visuellement les espaces sur ces véhicules. Enfin, le Régio2N intègre la génération des trains dont la conception a été pensée en termes de préservation de l’environnement. Un chiffre, même s’il n’interviendra que dans 40 ans, les composants de ce train sont recyclables à 95%.