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ville de vanves - Page 474

  • VANVES ET LE CONVID-19 : VERS UN NOUVEAU CONFINEMENT APRES DEUX MOIS DIFFICILE

    Après les remontrances du premier Ministre sur France Infos, le nouveau conseil de défense (sanitaire) mardi, et l’interview du président de la République ce soir sur TF1 et France 2 les vanvéens s’attendent à un nouveau renforcement des mesures de prévention, un couvre-feu même ou un nouveau confinement mais régional ou plus local…avec un sentiment d’injustice, à les entendre lors de rencontres et de conversations ces dernières heures. Car la plupart pensent avoir respecté les gestes barrières, les règles de prévention, les consignes et les réglements édictés par les autorités publiques, et notamment la maire de Vanves, limités leurs contacts. Le célébre infectologue Didier Pittet, co-inventeur du gel hydroalcoolique et qui préside la mission sur l'évaluation de la gestion de la crise sanitaire raconte qu'en se promenant à Paris, il a constaté que 80% des passants portent correctement lers masques, en revanche seuls 15% des clients des cafés/restaurants se ettoient les mains au gel hydroalcoolique    … Et les vanvéens risquent d'être de nouveau mis en quasi confinement à cause d’un certain relâchement comme l’a dit le premier Ministre, et d’irresponsables qui ne respectent rien surtout à Paris, et qui sont, à leurs yeux, à l’origine (en partie) de l’augmentation des hospitalisations en Ile de France. Ce que certains redoutent car ils s’étaient retrouvés isolés,  sans parler de ses chefs d'entreprises, et notamment les restaurateurs qui avaient fermés,  et l’avaient mal vécus.   

    Les résultats d’une enquête trés intéressante commanditée par L’Institut Paris Region auprès de Médiamétrie et menée entre le 4 mai et le 19 mai auprés de 3028 individus âgés de 18 à 75 ans, représentatif de la population d’IDF par département monte que si la majorité d’entre eux affirme avoir bien vécu cette période de confinement du 17 Mars au 11 Mai 83%), un sur six déclare néanmoins l’avoir mal vécue soit 19%. 24% des Franciliens vivant en situation de surpeuplement déclarent avoir mal vécu cette expérience,  tout comme 28% des artisans, commerçants et chefs d'entreprise. Les femmes ont déclaré plus souvent que les hommes avoir moins bien vécu le confinement (18% contre 15%). Les chômeurs (19%), les étudiants (23%) et les autres inactifs (25%)  sont ceux qui ont moins bien vécu cet épisode. Comme les retraités(11%), les actifs occupés (16%) semblent avoir moins mal vécu le confinement.

    La situation est extrêmement hétérogène selon les professions : les artisans/ commerçants (28%) et les chefs d’entreprise (20%), les ouvriers et les employés (18%) ont plus souvent mal vécu la période que les cadres et les professions intermédiaires (13 %). De fait, l’appréciation des conditions de vie reflète la diversité des situations professionnelles pendant le confinement: du côté des salariés, poursuite de l’activité pour certains, filet de protection du chômage partiel pour les autres ; tandis que les artisans-commerçants voyaient leur activité fermée et, à l’image des indépendants et de beaucoup de chefs d’entreprise, leur chiffre d’affaires stagner et l’horizon économique s’assombrir. Le télétravail, largement pratiqué chez les cadres, et dans une moindre mesure chez les professions intermédiaires, a constitué un facteur protecteur au cours du confinement, tandis que le chômage partiel a joué ce rôle pour les salariés des secteurs d’activité à l’arrêt.

    Pendant cette période, les trois quarts des Franciliens interrogés ont cohabité dans un lieu de vie composé de trois pièces ou plus, disposant d’un jardin ou d’une cour individuelle (33 %) ou d’un balcon/terrasse (42 %), 12% seulement ayant mal vécu cet épisode, notamment parcequ’iols vivaient dans un logement en situation de surpeuplement, d’autant plus si chaque personne présente disposait de moins de 25 m² ou était dans  l’impossibilité de pouvoir s’isoler dans une pièce. Pour ceux à qui le confinement a permis de dégager du temps libre, ils ont également mieux supporté cet épisode. Ils en ont majoritairement profité pour s’occuper de leur domicile (bricolage, jardinage, rangement…) et de leur famille, contribuant ainsi à améliorer leur bien-être.

    Enfin, l’enquête montre que près d’un tiers des Franciliens seraient prêts à déménager en raison de leurs conditions de vie pendant le confinement (31%), mais plus de la moitié  (57%) avouent cependant qu’il s’agit d’un projet irréalisable. Les Franciliens vivant dans un logement «surpeuplé» expriment davantage l’envie de déménager, même s’ils avouent à 49% que ce projet est irréalisable. Par contre, 18% d’entre eux attendent que les pouvoirs publics mènent en priorité des actions visant à améliorer les conditions de logement (contre 9% pour les autres).

  • UNE DEUXIEME TOUR – HOTELIERE - A VANVES SUSCITE BEAUCOUP DE CRITIQUES SUR HAUTEUR ET SA PERTINENCE

    Un autre projet de tour  - hôtellière -  se prépare, à Vanves -  moins haute – 37 m toute de même -  face à l’hôtel Mercure qui fait l’objet d’une enquête publique sur la révision du PLU qui se clôt le 15 Octobre. Comme par hasard, le soir même, sans attendre les conclusions et les observations, du commissaire enquêteur, le conseil municipal donnera son avis, c’est-à-dire qu’il se prononcera sur ce projet et la révision du PLU que sa construction entraînera. Ce projet a fait l’objet de nombreuses observations du groupe EELV, du Collectif du 4 Septembre, et de nombreux vanvéens à titre personnel  

    Tous ont remarqué que face à ce projet de 37 m de haut, et de 12 étages, l’hôtel Mercure n’en comporte que 7,5 soit moins de 25 m et le pavillon 7 situé derrière l’hôtel ne dépasse pas une vingtaine de métres. «Permettre la construction d’un bâtiment de 37m reviendrait tout simplement à construire l’équivalent de 4 étages supplémentaires au-dessus de l’hôtel Mercure» constate un vanvéens. «Dans le dossier de concertation de Mai 2019, la hauteur annoncée de l’hôtel était d’environ 31 m et lors de la réunion de concertation du 2 Juillet, il était annoncé un immeuble R+7 de 28 m de hauteur. Aujourd’hui, la modification du PLU autorise une hauteur de 37 m soit un immeuble d’au moins 10 étages » constate le collectif 4 Septembre qui s’est constitué lorsque le projet Mixcité a été annoncé. Il suggére au commissaire enquêteur de recommander une étude d’impact sur le cadre de vie dans ces différentes dimensions,  des habitants des résidences d’habitation de la rue du Moulin en rappelant les termes de la remarque du Préfet des Hauts de Seine dans la letter de la DRIEA d’Ile de France : «Si le projet d’hébergement hôtelier à proximiré du parc sera un atout pour lutter contre les nuisances sonores par sa capacité à faire écran entre le secteur pavillonnaire et le Périphérique, je tiens toutefois à attirer botre attention sur le risque que constitue l’augmentation des hauteurs de par et d’autre du périphérique en participant à la création d’un bouclier urbain plus ou moins continu d’immeubles d’activités et de bureaux»

    «L'hôtel Mercure a 25m, Mama Shelter et le Novotel ont 31 m, le projet présenté en concertation en 2019 dans le cadre du projet Mixcité faisait 32m. Pourquoi ajouter 5m ? D'autant plus que ce quartier doit répondre aux exigences du périmètre des 500 mètres autour d'un bâtiment historique, le lycée Michelet. Manifestement il y a une inégalité de traitement entre les propriétaires de pavillon avec des règles très strictes exigées par les architectes des bâtiments de France et une permission sans limite pour ce projet» constate Véronique Hazera, ex maire adjoint chargé de l’urbanisme lors du mandat de Guy Janvier (1995-2001).  «La parcelle concernée par le périmètre spécial introduit par la modification du PLU proposée est située dans le périmètre de protection du lycée Michelet. Toute construction devra faire l’objet d’un avis de l’Architecte des Bâtiments de France. Il est regrettable que celui-ci n’ait pas été consulté ou du moins que son avis ne figure pas au dossier dans la mesure ou la construction d’un bâtiment de 37 m de haut en vis-à-vis du lycée est susceptible de recevoir une opposition de sa part »notent les écologistes vanvéens

    «Le minimum de recul de l'alignement du bâtiment par rapport au trottoir serait supprimé. Il doit être maintenue parce qu'un hôtel génère beaucoup de livraisons et de déposes minute. Lors des salons les voies sont déjà saturées notamment place des insurgés de Varsovie et rue du Moulin. Ce recul permettri aussi de préserver les arbres existants tant sur l'espace public qu'en bordure du Parc des Exposition» indique Vérinique Hazera qui ajoute : «Cette bétonisation à outrance générera une entrée de ville peu chaleureuse et peu respectueuse de l'environnement »

    Enfin, beaucoup s’interroge sur la pertinence de ce projet : « Il y a déjà de nombreux hôtels (Mercure, Novotel, Mama Shelter) et la crise sanitaire tend à modifier nos comportement » note un vanvéen «Ce projet d’hôtel est porté par la société Viparis aux fins de rentabiliser le bail consenti par la Ville de Paris sur les terrains du Parc des expositions. Il ne s’agit pas d’un intérêt « général » mais bien d’un strict intérêt particulier : celui des actionnaires de la société Viparis et de sa maison mère Unibail Rodamco dont on connaît l’importance relative qu’elle attache à cette notion d’intérêt général» notent les écologistes qui considérent que «la réalisation d’un hôtel supplémentaire sur le Parc des expositions est, en la période, une opération très aléatoire. La crise sanitaire a, de toute évidence, porté un coup très dur aux finances du gestionnaire du Parc. Cette crise n’est pas terminée et ses conséquences à moyen terme sur le tourisme d’affaire, principal pourvoyeurs de clients, pourraient être durables. Il est fort probable que le gestionnaire du parc ne prendra pas le risque de se lancer dans cette opération de construction à court terme et peut être même à plus long terme. Il n’y a donc aucune urgence à opérer cette modification du PLU pour un projet qui pourrait ne jamais voir le jour»

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    L’ENFANT BLEU AUDITIONNE A L’ASSEMBLEE :

    Isabelle Debré présidente de l’Enfant Bleu a été auditionné jeudi dernier par la commission d’enquête créé pour mesurer et prévenir les effets de la crise du covid-19 sur les enfants et la jeunesse à l’Assemblée Nationale (sur la photo) : « Grâce aux différentes campagnes de sensibilisation les voisins ont pris conscience qu’ils ne pouvaient pas rester silencieux » a-t-elle déclaré en expliquant que «les écoles fermées, les enfants n’avaient plus la possibilité de parler facilement à un adulte protecteur». Et « les enfants représentent l’avenir de notre pays, nous devons en prendre soin » a-t-elle conclu 

    GPSO ET l’EMPLOI DES SENIORS

    Seine Ouest Entreprise et Emploi s’associe à la Semaine pour l’emploi des séniors organisée par le Pôle Emploi des Hauts-de-Seine du 12 au 16 octobre 2020. Dans ce cadre, le lundi 12 octobre 2020 de 14h30 à 16h00, se tiendra en ligne une rencontre RH pour les personnes inscrites au programme Challenge 50+. Le programme est dédié aux demandeurs d’emploi seniors (de 50 ans et plus), résidant sur le territoire de Grand Paris Seine Ouest

    GABRIEL ATTAL ET LE COVID-19

    «Il y a un horizon dans le brouillard» de l'épidémie de Covid-19, a jugé la semaine passé, Gabriel Attal porte-parole du gouvernement qui estimait «qu'on peut encore prendre le virus de vitesse. L'épidémie continue de progresser, vite, très vite dans certains territoires. Pour autant, il y a un horizon dans le brouillard, car l'épidémie circule moins vite qu'elle ne circulait au printemps dernier» faisait il valoir sur France 2, en soulignant qu'un malade contamine aujourd'hui en moyenne un peu plus d'une personne contre en moyenne trois personnes au printemps dernier, grâce aux efforts des Français qui appliquent les gestes barrières». Tout en concédant une préoccupation très forte notamment sur les réanimations«p», en particulier en Ile-de-France.

    EXPOGRAPH A FAIT PARLER LA FOUDRE

    Les 2 équipes A et B de l’AS EXPOGRAPH ont encore fait parlé la poudre: 2 victoires à l’extérieur 6/3 pour la B à l’ATSCAF PARIS et 6/2 pour la A sur les terres de PARIS 13. «Il y a bien longtemps que les attaquants avaient autant marqué. Pourvu que cela dure » espére Jean Royer co-président de l’AS EXpograph