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ville de vanves - Page 418

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    BENEDICTINES : Soeur Marie-Madeleine Caseau (sur la photo) a été réélue Mére Prieure du monastère de Vanves par le chapitre de la communauté la semaine derniére et installée officiellement lors d’une messe de bénédictions, dimanche dernier. "Prions pour elle et sa mission. Et soyons dans la joie du service de notre Seigneur!" témoignaient les soeurs bénédictines

    PIC DE POLLUTION : Vanves est touché comme une large partie de l’Ile de France par un pic de pollution de pollution aux particules fines depuis hier «en raison des conditions météorologiques qui empêchent la dispersion des polluants émis localement» explique Airparif. La circulation différenciée est mis mis en vigueur ce mercredi. Les véhicules dotés des vignettes Crit’Air 3, 4 et 5 ne sont pas autorisés dans le Grand Paris de 5h30 à minuit. L’Agence régionale de santé (ARS) conseille aux personnes fragiles, femmes enceintes, personnes de plus de 65 ans, de ne pas pratiquer d’activités physiques. D’autant plus que ces pics de pollution sont soupconnés d’aggraver l’épidémie Covid-19 tant dans le nombre de nouvelles contaminations que d’hospitalisations de cas Convid-19. «Les particules fines sont associés à des rebonds épidémiques de maladies respiratoires transmissibles et notamment du Covid-19 » estime François Flahaut professeur de santé publique. En raison de leur taille, elles pénétrant dans les poumons et dans le sang. Une étude est en cours à l’OMS (Organisation Mondiale de la  Santé)

    STRATEGIE : «J'avoue avoir du mal à expliquer ! » selon Gabriel Attal qui a concèdé une incohérence dans la stratégie du gouvernement contre le Covid-19. Ce qui n’empêche le porte parole du gouvernement de la défendre. Mais il a concédé une incohérence dans la lutte contre le Covid dans le Parisien en relmarquant à propos des musées : «J'avoue avoir du mal à expliquer qu'on puisse aller dans un Sephora mais pas dans un musée. Mais il y a nécessairement, dans la gestion d'une telle épidémie, une part d'incohérence quand il faut limiter les interactions et les flux de personnes». Cette petite phrase n'a rien d'anodin puisqu'elle évoque le débat, qui fait toujours rage, sur les lieux culturels jugés «non-essentiels», Il n'en demeure pas moins que les choses ne sont pas prêtes d'évoluer. Et les acteurs du milieu culturels vont rester paralysés. Il semble au moins, cette fois, comprendre leur désarroi.

    VACCINATIONS : Les Français âgés de 65 à 75 ans, atteints de comorbidités, peuvent désormais avoir accès au vaccin AstraZeneca. Une bonne nouvelle pour les médecins généralistes qui vont pouvoir l’injecter à leurs patients, rapportait ces jours-ci  France 2 en donnant la parole au très médiatique medecin généraliste de Vanves, le docteur Xavier Pothet qui  peut maintenant comme ses collégues vanvéens leur inoculer le vaccin. Et ses créneaux de réservation sont déjà pleins jusqu’à 22 h, comme il l’expliquait : «Je dirais que cette tranche d’âge, c’étaient les oubliés de la vaccination. Nous, ça nous posait un gros problème moral, éthique. Je ne vous cache pas que j’ai commencé à vacciner la semaine dernière» témoignait le médecin pour qui cette décision permet d’accélérer la vaccination. Et contrairement à certains articles qui font état de réticences, les intéressés sont majoritairement enthousiastes. 

  • UNE OPERATION EXCEPTIONNNELLE AU CENTRE DE VACCINATIONS VANVES-ISSY CE WEEK-END ALORS QUE L’ILE DE FRANCE EST SUR LE FIL DU RASOIR

    Dans le cadre de la stratégie d’accélération du déploiement de la vaccination présentée par le Premier ministre jeudi dernier, une opération exceptionnelle de vaccination s’est déroulé ce week-end en IDF grâce à une allocation exceptionnelle de 51 000 doses de vaccins Pfizer  en ile de France dont 6000 dans les Hauts de Seine et 504 pour le centre de vaccination d’Issy-Vanves. Environ 500 personnes âgées de plus de 75 ans en liste d'attente ont été rappelées par les services des 2 villes, 278 ont été vaccinés samedi et 228 dimanche.

    L’objectif, c’étaii de donner un coup d’accélérateur et écouler plus de 50 000 doses du vaccin Pfizer en deux jours. «Nous avons récupéré tout ce que nous pouvions, il n'y a aucun vaccin qui dort dans un frigo dans ce pays» assurait Aurélien Rousseau, directeur de l’ARS-IDF (Agence Régionale de Santé Ile de France)  dans les médias en affirmant que «la vaccination monte progressivement à flux tendus : 300.000 et 350.000 premières injections du vaccin Pfizer/BioNTech pourront être administrées dans le courant du mois de mars en ile de France , contre 100.000 en février. 250.000 personnes pourront par ailleurs bénéficier d'une première dose du vaccin AstraZeneca»

    Cette ouverture rapide dès ce week-end a été rendue possible par une augmentation du nombre de doses livrées et la mobilisation des agents des CCAS, personnels administratifs, médecins, infirmiers et élus municipaux de Vanves et Issy-les-Moulineaux «On a su jeudi soir qu’on allait avoir cette dotation du week-end et il a fallu surtout que je trouve le personnel disponible. Il faut que toutes les doses partent puisque la péremption va jusqu’à lundi matin. Donc, il faut absolument vacciner 504 personnes ce week-end, à raison d’une quinzaine d’injections par heure» expliquait Catherine Rigal,  responsable du centre d’Issy-les-Moulineaux vendredi dernier qui précisait que «3 bénévoles administratifs, 4 infirmiers et 4 médecins, ainsi qu’une infirmière coordinatrice» ont été mobilisés pour chaque demi-journée d’ouverture du centre pendant ce week-end»

    Cette campagne de vaccinations intervenait alors qu’il y a une vraie pression sur l’hôpital en Ile de France : «On vient de passer, ce vendredi, la barre des 900 malades hospitalisés Covid dans les services de réanimation. Cette pression est forte et elle s'ajoute à des mois et des mois de pression hospitalière» déplorait Aurélien Rousseau vendredi dernier,  tout en notant «également des évolutions positives : La première, la plus positive, c'est qu’il y a moins de patients âgés, c'est le résultat direct de la vaccination. Ensuite, en Ile en France, nous avons désormais moins de 1000 résidents en EHPAD qui ont le covid-19, sur 60 000 d'entre eux. Donc ça, c'est du positif ! »

    Il n’empêche que «l'Île-de-France est sur le fil du rasoir» jugeait Valérie Pécresse, président de la Région,  dimanche, à de BFM Politique :«Nous sommes en sursis et il faut que les Franciliens veillent à se protéger à et protéger les autres. Depuis le début ma conviction c'est qu'il faut tout faire pour éviter le reconfinement.  Mais on ne pourra peut-être pas l'éviter» expliquait elle en rappelant que «la Région va déployer 500 lits de réanimations supplémentaires. Nous savons que le confinement le week-end ne sera prononcé que si les hôpitaux sont saturés. Nous essayons de reculer cette saturation

  • VANVES/LES HAUTS DE SEINE ET LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME

    A l'occasion de la Journée internationale des droits de la Femme, l’égalité femme/ homme, déclarée grande cause nationale du quinquennat par le Président de la République le 25 novembre 2017, reste au cœur des actions majeures du Gouvernement. «L’année 2020, marquée par la crise sanitaire de la Covid-19, a eu un impact particulièrement fort sur les femmes dans leur vie professionnelle, personnelle et familiale. On a constaté, au niveau national, durant le premier confinement, que les interventions des forces de l’ordre à domicile ont augmenté de plus de 42 % (par rapport à 2019 à la même période), les appels reçus au 3919 ont triplé passant de 23 140 à 79 228» indiquait la préfecture des Hautsde Seine en donnant quelques chiffres significatifs plan départemental.

    Les violences conjugales dans le département qui ont engendré des poursuites judicaires sont en hausse de 8,39 %. En 2020, les faits élucidés des violences au sein du couple sont en hausse avec 11,29% avec 2 701 faits élucidés en 2020 contre 2 427 faits élucidés en 2019, soit 274 faits en plus». Fin novembre 2020, la présidente du tribunal judiciaire de Nanterre a fait le constat d’une hausse, entre 2019 et 2020, du nombre de dossiers traités par les juges aux affaires familiales en matière d’ordonnances de protection. A ce titre, 171 décisions en 2020 ont été rendues (contre 86 en 2019) soit une hausse de 99 % et 97 ordonnances de protection ont été prononcées (contre 53 en 2019) soit une augmentation de 83 %. Si les données relatives au taux d’activité et d’emploi des femmes sont meilleures dans le département qu’au niveau régional et national et quasi stables depuis plusieurs années, pour autant le nombre de femmes en recherche d’emploi dans le département a augmenté de 8,4 % (10,1 % pour les hommes). «Face à l’augmentation des violences intrafamiliales, l’Etat continue de s’organiser dans les Hauts-de-Seine pour apporter une réponse efficace et diligente» indique le préfet Laurent Hottiaux.

    L'Institut des Hauts-de-Seine, en partenariat avec les Départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines, la Région Ile-de-France, la RATP, l'ADAVIP 92 (Association Départementale d'Aide aux Victimes d'Infractions Pénales des Hauts-de-Seine) et Hauts-de-Seine Habitat, lance une enquête interdépartementale «Sourire de Femmes» à l’occasion de cette journée. Cette consultation a pour objectif de mesurer les habitudes de vie quotidienne des femmes habitant les Hauts-de-Seine et les Yvelines, dans les domaines de la vie personnelle, de la santé, de la vie professionnelle, sociale et environnementale, afin d'en dresser un panorama. Ce questionnaire sera distribué tout au long de l'année à des femmes de tous âges et de toutes catégories sociales, à celles accompagnées par des associations féminines spécifiques, aux habitantes des quartiers prioritaires, ainsi qu'aux visiteuses qui participent aux consultations du Bus Santé Femmes