Comme beaucoup de personnalités, le père Bernard Auville curé de Vanves a présenté ses vieux pour 2021 sur vidéo au lieu de le faire autour d’une galette à la paroisse Saint François, comme l’année dernière. A la veille non pas d’un nouveau confinement mais de l’avancée d’un couvre à 18H au liezu de 20H qui a perturbé une nouvelle fois, les horaires des messes. Dans ces voeux, il faut référence à un amiral américain qui était le patron des forces spéciales américaines et un mesage qu’il a pu visionner par le hasard des chose ou la providence et dont il a tiré quelques réflexions
« Cet amiral a tenu un discours aux étudiants de l’Université du Texas sur le thème « si tu veux changer le monde ! ». Cet amiral soulève un certain nombre de points dont il a parlé et fait partager : «Pour changer le monde, notre monde, nos vies ». Le premier point que l’amiral donne c’est « si tu veux changer le monde, fais ton lit tous les matins ! commence la journée par une petite action à ta mesure et à ta portée qui te permettra de te donner une matrice de la journée, car une petite action en entrainera une deuxième une troisième. Et c’est une tâche à la mesure de tous, pas démesurée. C’est une tâche à la portée de chacun ». Ainsi la 1ére leçon c’est de ne pas attendre d’être un héros pour le faire le bien. Le bien consiste à faire de petites choses ordinaires mais extraordinaire aux yeux de en plein cœur de l’ordinaire de la vie
Le deuxième message de cet amiral peut vous paraitre incongru : C’est « si ru nages dans un endroit où infesté de requins, il ne faut pas fuir si tu vois un requin en face. Il ne faut lui montrer que l’on a peur, mais au contraire si tu sens qu’il va d’attaquer pour te bouffer, il faut lui taper de toutes tes forces sur le nez. Le monde pullulent de requins, notre environnement en pullule, nous pouvons tenter de les fuir, être effrayer par eux, or il convient de les affronter avec conviction et détermination. Si nous sommes fermes dans nos convictions et notre détermination, alors nous n’avons plus à avoir peur des requins !
Une troisiéme message de cet amiral nous fait plonger dans cet univers de l’armée américain qui avait plusieurs équipages de nageurs de combats. La plupar étaient constitués par de grands gaillards très costauds puis il y avait un équipage de petits chétifs, américains venus de partout. Ces petits trapus avaient gagnés en agilité ce que les autres avaient en force, et au final cela leur apermis de l’emporter sur ces grands gaillard. Cela inspire deux attitudes : La première, il faut être capable de se connaitre et se connaissant, on peut jouer avec ses handicaps, ses faiblesses. Ne se connaissant pas, on ne pourra pas ajuster la posture et la confiance. Cet exemple nous rappelle qu’il convient que nous nous laissons enseigner par les faibles, les petits, les pauvre. Ils ont beaucoup à dire ! Ecoutons les !
Enfin le dernier conseil qu’il donne, c’st un message particulier : Au large des USA, il y a une baie et dans ce bourbier, il fait froid, avec du vent. Les candidas à ces forces militaures doivent rester des heurs nuitamment dans ce lieu pour être recruté. beaucoup abandonnent, sortent, renoncent. Et un soir, dans une promotion, l’un d’entre eux a commencé à chanter. Et son chant a donné envie à un second de chanter, pour finalement toute la promotion chante. Et le lendemain, les hommes ont défilé comme si de rien n’était, il faisait moins froid et le vent était moins violent, et ils ont arrivés ragaillardi par le chant. Tout ela m’inspire un ultime conseil que j’aimerai former pour chacun aujourd’hui: dans l’adversité on bombe le torse et on chante plus fort ; dans la difficulté, il faut continuer à avancer et non pas à faire du surplace et prendre un chemin de traverse. Voilà ses bons conseils d’un amiral américain qui nous appelle à la force de l’expérience, à la connaissance de soi, à la fraternité, mais encore à l’éloge de l’espérance