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  • NOTRE DAME DE PARIS UN AN APRES, LE DRAMATIQIE INCENDIE RESTE ANCRE DANS LA MEMOIRE DE VANVES

    Comme lors des temps forts de notre histoire, tout le monde se souvient de ce qu’il faisait ce soir là, lorsque par exemple rentrant de son travail en voiture, écoutant la radio france Info sur laquelle un journaliste faisait état d’une fumée provenant du toit de Notre Dame, puis intrigué et inquiet en même temps, allumait sa Tv plus rapidement sur BFM pour finalement resté scotché devant l’écran, avec cette fléche qui tombe et ses flammes rougeantes, pendant une bonne partie de la soirée.  

    «Je l’ai appris par un texto « horreur ! Notre dame brûle ! Allume la TV». J’ai découvert alors des images saissisantes, des souvenirs de temps forts télévisuels me revenant comme l’apparition de l’image de F.Mitterrand en mosaïque, l’attentat de Jean Paul II au Vatican, les town tower. C’était un peu pareil ! De la sidération ! On n’y croit pas !La fléche qui tombe. Les tours de NotreDame qui ne tombent pas.. Le courage des Sapeurs Pompiers de Paris. Après un rapide dîner chez des amis, de retour chez moi, j’ai ré-allumé la TV. Des journalistes m’ont appelé» témoignait Bertrand Auville curé de Vanves sur le Blog de Vanves au Quotidien, alors qu’il se préparait à célébrer le semaine Sainte et Pâques, en ajoutant : «J’ai reçu des témoignages, notamment du prêtre orthodoxe de Vanves « bien triste de ce qui se passe ! », qui rappellent que l’Eglise est universelle. Notre Dame est un lieu de culte qui appartient au patrimoine national. C’est dramatique, mais pas tragique. Notre Dame a connu des moments heureux (La libération de Paris), de deuils nationaux (hommage aux victimes des attentats)… mais ce n’est pas tragique, parce que ce qui compte, c’est qu’ils n’y aient pas de morts. Pour nous Chrétiens, l’Eglise est une architecture, des œuvres d’arts…Mais c’est aussi des pierres vivantes ! »

     «Il y a un an, cette cathédrale dans laquelle nous sommes, brûlait, provoquant une sidération et un élan mondial pour qu'elle soit rebâtie, restaurée» déclarait Mgr Aupetit, archevêque  de Paris voilà quelques jours, le vendredi Saint, pour une cérémonie simple avec cet Ave Maria sublime chantée par Judith Chemla  «Aujourd'hui, nous sommes dans cette cathédrale à demi effondrée pour dire que la vie est toujours là. Cet élan de générosité est une façon de remarquer que ce monument extraordinaire est sorti du génie des hommes quand ils arrivent à te contempler, à contempler ta transcendance» a-t-il poursuivi face à la «Sainte Couronne d'épines», une pièce sacrée sauvée des flammes par les pompiers.

    Et voilà, un an après, nouveau coup du sort, les travaux de consolidation de la cathédrale, qui avaient déjà pris du retard, ont été interrompus dès le début du confinement, le 17 mars, pour protéger les 130 ouvriers et compagnons mobilisés sur le site, que le président Emmanuel Macron a fixé comme objectif de reconstruire en cinq ans. La cathédrale reste aujourd'hui en «urgence absolue» selon l’équipe qui veille sur elle, mais son effondrement a été évité de justesse. Depuis, tout ne se passe pas comme prévu, la crise sanitaire ayant contrecarré les plans des autorités. Malgré tour la réunion de chantier a lieu chaque semaine  en présence du général Georgelin, délégué général, de certains responsables et représentants de la maîtrise d'ouvrage,  d'autres en visioconférence. «Mais ce point régulier est indispensable. Le chantier est fermé depuis le 16 mars, mais il faut garder tout le monde en alerte, ne pas s'endormir, être prêt à s’y remettre dès que cela sera possible. Et vérifier d'autant plus que rien ne bouge dans l'édifice».

    Chaque semaine, un équipe inspecte tout l’édifice, et notamment le toit de la cathédrale éventrée pour voir l'état des voûtes, alors qu’au moment de la suspension du chantier, les ouvriers s’apprêtaient à enlever le vieil échaffaudage figé par les flammes. « Heureusement, le vieil échafaudage avait déjà été ceinturé et tient parfaitement, je ne suis pas inquiet», assure le général. Le plus urgent sera, quand ils recommenceront, de terminer la nouvelle «base vie» qui devrait offrir aux compagnons, enfin, de meilleures conditions de travail – notamment des douches plus nombreuses et un sas de décontamination du plomb nettement plus confortable.

  • 6 BLESSES DANS LA MAISON DE RETRAITES MEDECIS A VANVES HIER MATIN

    Les sapeurs-pompiers de Paris ont mis fin mercredi matin à un incendie survenu vers 8H dans la maison de retraite Medicis  située rue Diderot à Vanves..

    A leur arrivée dans cette maison de retraite de Vanves dans les Hauts-de-Seine, les soldats du feu, 60 Pompiers venus grâce à 15 engins, se sont rapidement rendus dans une chambre du 1er étage d'où provenait le sinistre. «Il y avaient beaucoup de fumée. Le bâtiment situé rue Diderot compte quatre étages mais seul le premier était touché, soit une dizaine de résidents environ» a  expliqué à LCI le capitaine Lointier,  de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris. «Il y a eu, selon un bilan provisoire, six blessés légers, des personnes intoxiquées». Une dizaine de personnes âgées a dû être transférée dans une autre partie de l’Ehpad.

    «L’incendie a été rapidement maîtrisé suite à l’intervention immédiate des sapeurs-pompiers et des forces de police. Aucun résident de l’EHPAD n’est blessé. 6 membres du personnel de la Résidence Médicis ont été légèrement intoxiqués par les émanations de fumée et ont été pris en charge par les pompiers. La cause de l’incendie demeure inconnue pour l’instant mais elle serait due, a priori, à un appareil électrique » indiquait le maire de Vanves qu était, bien sûr, sur place.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    UNE MESSE MARONITE POUR LES CHRETIENS D’ORIENT

    Une messe selon le rite de l’Elise Antochienne Syriaque Maronite a été célébrée en fin d’après-midi vendredi dernier dans l’église Saint Remy en présence de nombreux vanvéens et quelques élus. Elle était présidée par Mgr Maroun-Nasser Gemayel Evêque de la nouvelle éparchie en France, qui a expliqué avec beaucoup de pédagogie et de bonhommie  - « vous n’êtes pas trop perdu ! Vous êtes en orient avec nous, ce soir » - les rites de cette église d’orient qui dépend de l’église d’Antioche : « ce n’est pas très différents, mais il y a  beaucoup de phrases, de chants,  dans une langue siriaque, langue aranéenne possédant son propre alphabet  qui est la plus proche de celle que le Christ parlait. Vous allez goûter cette différence entre un rite latin très intérieur et le notre où l’on, chante plus ». Les participants n’ont pas vu ce temps de prière passer pour « des chrétiens qui souffrent,  sont martyrisés sans cause » a-t-il expliqué : « Il faut nous aider à rester en Orient. Il faut arrêter la guerre. Avec des armes que l’Occident leur fournit. Il y a beaucoup de martyrs vivants. Mais pas à ce point là quand même ! Manuscrits détruits, églises brûléers…Pourquoi ? Pour quel projet politique ? »  s’est il interrogé en souhaitant que « ce christianisme ne quitte pas l’Orient » et en prévenant : « Si notre héritage est dissous, on aura perdu une église apostolique ! ». Mgr Maroun-Nasser Gemayel est devenu l’évêque du plus récent diocése de France  et du plus étendue puisqu’il  couvre tout l’hexagone avec des communautés dans plusieurs grandes villes de province, et un siége qui se trouve à Meudon à côté de Vanves, dans le territoire de GPSO qui sera inauguré dimanche prochain   

    UN CAR DE LYCEENS DE MICHELET BRULE

    Incroyable, mais il y avait comme un goût de brûlé, de cendre  dans l’air vendredi soir à Vanves, dû à un incendie en Seine Saint Denis d’un entrepôt de vêtements qui a étonné plus d’un vanvéen, alors que beaucoup partaient en vacances. Mais cela n’avait rien à voir avec ce bus de la société SAVAC qui a accidentellement pris feu mercredi soir rue du Pont Colbert à Versailles. « Vers 18 h 50, l’engin circulait sur la route départementale 53 en direction de Jouy-en-Josas quand le moteur s’est enflammé. A l’intérieur se trouvaient 26 élèves du lycée Michelet de Vanves (Hauts-de-Seine) qui se rendaient à l’école HEC située à Jouy. Les occupants du bus ont pu descendre sans encombre avant que l’incendie se propage et détruise entièrement le bus. Les sapeurs-pompiers présents sur place, ont maîtrisé le sinistre. La circulation a été coupée dans les deux sens afin de faciliter les opérations. Les lycéens quant à eux ont pu regagner leur destination dans un autre bus » racontait Le Parisien 

    CONSEIL DEPARTEMENTAL : Isabelle Debré a participé vendredi dernier à la seconde séance de mise en place de l’assemblée départementale des Hauts de Seine avec notamment la répartition des représentations dans différents organismes, comme titulaire (t) ou suppléante (S) alors de Jean Didier Berger  : Le syndicat mixte de l’Ile Saint Germain (S), le Syndicat Mixte des Côteaux des Hauts de Seine (T), la SA HLM Le Logement Français (T), l’association des départements cyclables (T), Le syndicat mixte du Bassin Versant de la Seine (S), Le syndicat mixte Ouvert « Autolib » (T), les maisons de retraite « Larmeroux » à Vanves (T), «Sainte Emilie » à Fontenay à Clamart (T), le hury de concours pour la restructuration du collége de la Paix à Clamart et de la construction d’un gymnase au collége d’Issy les Moulineaux (T), les conseils d’administration des colléges Michelet (T), et St Ex (T) à  Vanves, le syndicat mixte Berges de Seine, le conseil départemental des anciens combattants et victimes de guerre et la Mémoire de la nation (T). 

    BENEDICTINES : Une vingtaine d’altoséquanais ont visité le prieuré Saint Bathilde dans le cadre de « Hauts de Seine autrement » du CDT (comité Départemental du tourisme) 92 » guidé par Sœur Pascale et accueille par Sœur Marie Madeleine, la mére Prieure. Ils ont pu entrer en « clôture », ce qui est exceptionnel,  dans ce prieuré où vivent 20 sœurs bénédictines et 10 étudiantes. Il a été  construit par Don Bello pour 80 sœurs et accueille sur une partie de ses terrains, la maison d’accueil pour handicapés de l’association Simon de Cyréne.  Ils ont découvert ce monastère plein de couleur grâce au soleil mettant en valeur la variété des couleurs des briques (de Vaugirard) utilisées comme matériaux. Occasion d’apprendre de nouveaux petits détails comme cette volonté de la fondatrice de cette congrégation religieuse à ce que les sœurs aient le maximum de confort dans leur cellule, considéré non pas comme des cellules de prison, mais de vie car elle avait énormément souffert du manque d’hygiéne et de confort

    CURE DE VANVES : Après six ans passé à Vanves, Vincent Hauttecœur curé de Vanves a été nommé par l’Evêque ded Nanterre, Mgr Michel Aupetit, Supérieur de la Maison Madeleine Debrel, maison de fondation spirituelle dite « propédeutique, à compter du 1er Septembre 2010. Une messe de départ est préparée par l’Equipe d’Animation pastorale (EAP) dont la date a été fixée au dimanche 28 Juin 2015 à 10H30 à Saint Remy.