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cantines

  • SODEXO RETENU POUR ASSURER LES CANTINES ET LA RESTAURATION DES AINES

    Finalement le choix de la ville de Vanves s’est porté sur la société Sodexo pour assurer les repas dans les écoles centres de loisirs, créches dans le cadre d’un appel d’offres dont le lancement avait été retardé à cause du confinement.

    Les raisons de l’équipe municipale sont multiples : Tout d’abord, une offre qualitative, favorisant ses approvisionnements de qualité, notamment locaux, bio et labellisées, avec des viandes 100% d’irigine françaises, l’utilisation très majoritaire de produits frais et cuisinés par la cuisine centrale, la mise à disposition d’un kit repas complet pour les enfants allergiques. Ensuite une offre favorisant les actions en termes de développement durable, grâce à des livraisons effectués grâce à des véhicules propres (GNV ou électriques), des barquettes végétales et compostables, des bacs inox, des bornesde tri, des centrifugueuses mis en place sur les site pour inciter à consommer des fruits et légumes et lutter contre le gaspillage alimentaire, avec  un accompagnement régulier des agents sur la bonne utilisation des produits d’entretien écolabellisé. Enfin des animations et des actions pédagogiques vis-à-vis des écoliers.

    Sodexo est l’un des deux géants avec Elior de la restauration collective. Elle a été créé voilà plus de 50 ans à Marseille avec la livraison de repas aux salariés puis aux clients des compagnies de croisières par l’ingénieux Pierre Bellon, mais le fondateur n’est pas resté longtemps dans le seul métier de cantinier. Spécialiste de la restauration dans les bases vie, il a étendu ses services à l’hôtellerie puis la sécurité, les déplacements, la maintenance et propose l’ensemble de ces services sous forme de contrats intégrés et centralisés aux grandes entreprises, à la fois dans leurs bureaux et leurs usines. Dans les années 80, il s’est invité sur le marché très lucratif des titres restaurants, profitant de la niche fiscale et sociale existant en France sur ce moyen de paiement et son adaptation dans un nombre grandissant de pays. A ce jour, les services aux entreprises sur site constituent encore 80% de l’activité de Sodexo

    Sodexo  sert 750.000 repas par jour dans quelque 2.000 écoles publiques et 350 établissements privés.  Le respect des normes de sécurité les plus strictes dans les cantines scolaires est d’une priorité absolue pour elle, pour garantir à chaque enfant l’accès à une alimentation de qualité. Pour respecter ces engagements, elle dispose de la plus grande équipe de nutritionnistes au monde et forme chaque année des milliers d’employés à l’hygiène et la sécurité alimentaire. «Dans les écoles, l’équilibre alimentaire des jeunes élèves est plus que jamais un sujet prioritaire. C’est également une préoccupation quotidienne pour de nombreux parents, qui savent à quel point une bonne alimentation est essentielle dans la réussite scolaire des enfants. C’est pourquoi nous veillons, depuis toujours, à ce que chaque écolier ait accès à des repas sains, équilibrés et savoureux» explique son service de communication.

    Le confinement avec la crise sanitaire a tout bouleversé. Elle a dû revoir toute son organisation, avec des consignes de sécurité strictes, le nettoyage et la désinfection fréquentes des locaux, une amplitude horaire plus grande, un marquage au sol pour réguler la circulation des enfants, qui sont espacés à table et doivent respecter les gestes barrière…  Plus de salières, de panières à pain, ni de carafes, remplacées par des bouteilles d’eau individuelles etc

    Sa concession à Vanves devrait démarrer à la Rentrée de Janvier 2021

  • LA SEMAINE DES 4 JOURS ET DEMI A VANVES : UNE DEROGATION ET BEAUCOUP DE QUESTIONS

    Le débat sur les rythmes scolaires au conseil municipal qui a décidé de demander une dérogation pour appliquer cette réforme à la Rentrée 2014 et non 2013, a eu au moins un mérite de faire connaître le plan d’action de la mairie d’ici l’été qu’a présenté Marie Françoise Goloubtzoff, maire adjoint chargé de l’éducation : « La décision ne sera pas unilatérale, mais la concertation sera réelle. La tendance est à 80% pour le mercredi matin selon les présidents d’associations de parents d’éléves. Nous allons acter cette demande dedérogation qui sera envoyée à l’inspecteur d’académlie. Les différents acteurs concernés se verront à la mairie dans une quinzaine de jours afin de voir quelles tendances se dessinent. Un questionnaire a été envoyé aux parents d’éléves, aux enseignants, aux différents acteurs et intervenants du péri-scolaires. A leur retour prévu pour la fin Février/Début Mars, nous commencerons les discussions avec les différents acteurs pour arriver à un consensus sur le déroulé de la semaine et de la journée. Et chaque conseil d’école donnera son avis. Nous ferons une communication sur les résultats en Avril ».  

     

    Elle a été amené à apporter ces précisions après l’intervention de Jean Cyril Le Goff qui tout en indiquant que le PS était favorable à ce report a insisté sur plusieurs points : « quel était le choix de la demi journée ? », avec une préférance pour le mercredi matin, « pour prendre en compte les familles éclatées », et à la condition de consulter les deux parents.  « Il est préférable que cela soit le Mercredi matin. C’est mieux pour les parents. Mais pour les communes, c’est plus compliqué avec un coût supplémentaire (entre 300 000 et 500 000 €). Voilà une réforme lancée sans étude d’impact » a réagit Isabelle Debré (UMP). – « Mais la première chose à regarder, c’est l’intérête de l’enfant »  a répliqué Jean Cyril Le Goff  (PS) en reprenant avec beaucoup d’ironie, les arguments de la droite dans le débat sur le Maruiage Pour Tous - « Ce qui serait sympa, c’est qu’il nous donne l’argent en même temps » a surenchérit Bernard Gauducheau (UDI) en reprenant une formule qu’il apprécuie beaucoup : « Avec l’Etat (M.Peillon),  je ne me fais pas d’illusions. Il nous invite au restaurant. Mais on paye la note ! » - « J’ai peur que laisser les comunes se débrouiller toutes seules les écoles ne soient pas à la même enseigne ! » selon Claudine Charfe (PC). « Cette réfforme créera une inéquité entre les communes » a ajouté Isabelle Debré (UMP). « C’est pour cela qu’il y a la péréquation » a surenchérit Jean Cyril Le Goff (PS).  « N’oubliez pas que les enseignants ont aussi leurs idées là dessus » s’exclama alors Marie Françoise Goloubtzoff (UDI).

     

    Avant ces échanges, la maire adjoint chargée de l’éducation avait expliqué les raisons de cette demande de report qu’effectue la plupart des communes : « Cette réforme d’importance nécessite une mise en œuvre de qualité, murie par une préparation suffisante afin de prendre en compte la demi-journée scolaire supplémentaire et les temps récréatifs, sociaux, sportifs, artistiques et culturels après 15H30. Cette nouvelle organisation génére une modification importante des structures périscolaires ainsi qu’un coût non néglieable, provisoirement évalué à 150 € par éléve ». Et ce report d’un an est tout à fait justifié lorsqu’on dresse la liste des questions posées par ce passage de la semaine des 4 à 4 jours et demi qui nécessitera pour le mercredi, une organisation particulière à laquelle les communes ne sont pas préparées.

     

    Est-ce que les écoliers déjeuneront à la cantine le mercredi à midi ? Est-ce qu’ils resteront ensuire au Centre de loisirs ? Avec la question à régler d’organisation, d’encardement des repas, d’organisation du lien entre l’école et le péri-scolaire, afin d’assurer la continuité de la journée pour l’écolier.  Comme il faudra concentrer sur l’après midi la palette d’activité proposée par les centres de loisirs sur une journéer, faudra t-il toutes les organiser avec un plus grand nombre d’animateues ou alors en suppprimer pour garder le même nombre d’animateurs qui en animaient deux dans la journée. Sans parler de la question de l’encadrement des enfants, surtout si leur nombre augmente. Actuellement il faut un animateur pour 10 enfants de 6 de 6 ans et un anmateur pour 14 enfants de + de 6 ans. Et les maires demandent un pour 14 enfants de – de 6ans et un pour 18 enfants de + de 6 ans. Faudra t-il harmoniser l’ouverture des écoles maternelles et primaires alors que les premières ouvrent plus tard que les secondes (7H30), question évoquée par les enseignants, qui si c’est le cas, entrainera le recrutement d’accompagnants en maternelle. Faudra t-il  placer les 45 mn d’activités pédagogiques supplémentaires, à 13H30 ou à 15H45 ?...

     

     C’est la raison pour laquelle la ville de Vanves mais aussi l’ensemble des communes de France demandent une dérogation, afin de «  prendre le temps nécessaire pour accompagner les changements qu’on nous impose, développer un dialogue avec l’ensemble des partenaires et acteurs, en organisant des réunions entre les enseiignants, les associations de parents d’éléves, le tissu associatif qui est mobilisé le mercredi, de mesurer les impacts financer et organisationnelle pour les  collectivités, et  élaborer un projet structurant. D’autant plus que l’Etat n’a pas précisé les acrivités pédagogiques complémentaires, et ce qui reléve du temps scolaire ou de l’initiative communale dans un temps périscolaire, si c’est ou non obligatoire, etc… »

  • VANVES ET LECONSEIL GENERAL : GUY JANVIER EN CAMPAGNE PROVOQUE UN GRAVE INCIDENT DE SEANCE

    Vanves Au Quotidien revient seulement aujourd’hui sur la séance du Conseil Général des Hauts de Seine de Vendredi dernier où Guy Janvier a multiplié les interventions, à cause d’une actualité riche où nos élus ont été très présents. A l’ordre du jour, notamment le rapport de la CRC (cour Régionale des Comptes) sur la pôle Universitaire Léonard de Vinci (PULV) dit « fac Pasqua ». Mais notreConseiller général est intervenu  sur les suites d’un vœu de la gauche demandant de lancer une politique en matière de politique ESS (Economie Sociale et Solidaire), la participatioon d’EDF et de GDF-Suez au FSL (Fonds de Solidarité au Logement),  la subvention à la créche Boule de Gomme à Vanves, la décision modificative n°1 qui est en quelque sorte le budget rectificatif ou supplémentaire de cette collectivité territoriale,  le rapport spécial relatif à l’activité des services du département en 2009. Il amême été à l’origine d’un grave incident de séance sur lequel n’est pas revenu la presse départementale, ni régionale, qui valait comme on dit dans le langage populaire « sn pesant de cacahouettes »

     

    Alors que P.Buchet, maire de Fontenay aux Roses intervenait sur les cantines, Philippe Pemezec, Vice Président et Maire du Plessis Robinson, a sorti et brandit un carton rouge. Du coup, Guy Janvier (PS) a protesté en demandant au président Devedjian de le rappeler à l’ordre – « Mais à qui il s’en est prit là ? »  a demandé Patrick Devedjian. « Mais vous savez très bien de qui je parle » lui a répondu Guy Janvier.  « On ! Si tu as une accusation, ayez le courage de le dire !» s’est exclamé Isabelle Balkany particulièrement remontée qui continuait : « C’est marrant que vous êtes dégonflée ! T’as quelque chose à dire, dit le ! Ou tu ne dis pas au public ! » - « M.Pemezec ! » s’écrie alors Guy Janvier– « Cela veut dire quoi ! M.Pemezec ! Il fait ce qu’il veut ! Et en plus tu t’en prends à lui quand il n’est pas là. Pemezec, il n’a rien fait ! »  - « Je n’ai pas vu qu’il n’était là » admet Guy Janvier alors que le maire du Plessis Robinson reprend sa place.  « Et bien je demande à M.Pemezzec et au président d’avoir une attitude honorable dans notere assemblée » ajoute t-il . « Et quand vous vous pointez avec vos bandoroles et vos machins ! » surenchérit I.Balkany en s’écriant : « laissez-nous nous exprimer ! »

    Du coup Philippe Pemezec s’est expliqué : « La presse s’est fait l’écho d’une procédure judiciaire à l’encontre de M.Buchet pour des faits de hacélement au sein de la mairie de Fontenay. Je respecte la présomption d’innocence mais les faits sont suffisamment grave que M .Buchet en tire les conséquences. Par conséquent, je lui demande de se mettre en congé du Conseil Général, le temps d’asssurer sa défense et de faire tous la vérité sur cette affaire » a-t-il déclaré en terminant sous les huées de la gauche. « Le Conseil général n’a pas à prendre de position dans ce domaine,  ce sont des affaires dont je ne sais pas la valeur, ni la pertinence. Je crois aussi à la présomption d’innocence et cela commence par ne mettre en accusation personne ! » a déclaré P.Devedjian.  Michéle Canet, présidente du groupe PS a répliquée : « La présemption d’innoncence est quelque chose, encore pour nous plus que d’autres,  que les élus doivent faire respecter. N’empêche que tout à l’heure quand M.Pemezec se croyait très malin avec son carton rouge, cela vous a amusé M.Le président,  cela vous a fait sourire !  – «  je n’ai pas fait de relation ! »répond ce dernier  – «  j’ai envie de vous dire que le carton rouge devrait être remis aux élus de droite qui ménent une politique aussi nauséabonde que vous essayez de le faire M.Pemezec ! On reconnait bien vos méthodes et celle d’une partie de la droite de ce département – « pour la présomption d’innoncence, vous n’y êtes pas ! » tebnte P.Devedjian  – « vous faites allusion à un article de presse concernant une plainte contre X. Dans ce dossier, M.Buchet a été entendu. C’est tout ! Vos allusions approchent la diffamation et l’utilisation de ce dossier est pafaitement scandaleux dans nos murs ! Et je vous demande de faire en sorte que cela cesse ici ! »

     

    DES DECISIONS CONCERNANT VANVES

     

    COLLEGES : Le Conseil Général a alloué les subventions de fonctionnement aux colléges pour 2011 : Elles se montet à 105 574,23 € pour St Ex et à 296 993,40 pour Michelet

     

    CANTINES : les tarifs de restauration dans lesx colléges s’élévent enmoyenne à 3,38 € en 2010 avec des variations puisqu’à Saint Exupery, il est de 3,59 €.

     

    SUBVENTION : Le Conseil Général a accepté d’allouer une subvention d’investissement de 125 350 € (23% du coût des travaux se montant à 545 000 €) à la ville de Vanves pour ses travaux d’aménagement de la créche Boule de Gomme. « Cet établissement avait été partiellement rénové en 2003. Les services de la PMI, lors d’un contrôle, avaient relevé des problèmes de non-conformités des locaux à la réglementation en vigueur sur l’hygiéne et la sécurité » expliquait t-on dans le projet de délibératiion en indiquant « qu’un projet d’aménagement adapté au cadre pédagogique et aux exigences d’hygiéne et de sécurité a été élaboré ».