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politique - Page 61

  • LE DEPUTE DE VANVES, PLUS JEUNE MINISTRE DE LA Ve REPUBLIQUE

    Gabriel Attal est le plus jeune ministre de la Véme République à 29 an et demi  battant en cela François Baroin, détenant du titre, qui avait été nommé à 29 ans et 9 mois.

    Des bruits avaient couru ses derniers jours et surtout ce week-end sur une possible nomination à un secrétariat d’Etat chargé de la culture, puis de la mise en place du nouveau service national universel (SNU), ce qui est le cas, puisqu’il est secrétaire d’Etat chargé de la Jeunesse avec dans son escarcelle la mise en place du SNU, les associations, les colonies de vacances, le périscolaire…. «Les renforts correspondent à des sujets annoncés et portés par le président de la République, comme le SNU » explique t-on dans l’entourage du chef de l’Etat.  De plus, il rejoint Jean-Michel Blanquer qui est considéré comme le premier de la classe en Macronie, qu’il connait bien. « On ne sera pas trop de deux pour mettre en œuvre le SNU » a déclaré le ministre en l’accueillant au ministére de la rue de Grenelle mardi (sur la photo). « C’est la grande réforme de société du quinquennat» lui a-t-il répondu

    Cet ancien socialiste fait figure d’étoile montante de la Macronie depuis le début du quinquennat comme l’observent beaucoup de spécialistes qui expliquent sa nomination par «la volonté de l’exécutif de disposer de membres du gouvernement capable de défendre son action dans les médias, alors que de nombreux ministres issus de la société civile, sont accusés depuis le début du quinquennat d’être effacés» en citant un membre de l’entourage de Macron à l’Elysée :  «Il a un profil généralise qui va renforcer notre capacité d’expression. Ce sera un porte-parole supplémentaire». Il est vrai «qu’il a très vite crevé l’écran, comme porte parole du mouvement LREM, en défendant l’action d’Emmanuel Macron avec un aplomb et une facilité déconcertants pour son jeune âge, n’hésitant pas à monter au créneau sur les chaînes d’informations pour plaider sa cause lorsque le chef de l’Etat se retrouve au cœur d’une polémique».

    Il est vrai qu’il dispose, à l’Elysée, d’un accès privilégié, grâce à ses relations avec la garde très rapprochée de Macron.  D’ailleurs, ce serait, le 13 octobre, lors du mariage d'Ismaël Emelien, où toute la garde rapprochée d’Emmanuel Macron s’est retrouvée, que le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler lui a annoncé  qu'il serait nommé au gouvernement selon le site Express.fr. Il était du voyage en Arménie dans la délégation présidentielle, pour la première fois, comme membre du groupe d’amitié France Arménie présidé par Jacques Marilossian député des Hauts de Seine. Ce qui a fait jaser ses détracteurs qui expliquaient «qu’il en a profité pour rappeler qu’il était disponible ! ».

    Il fait partie de cette fameuse «bande de Poitiers» qui se retrouve chaque été pendant les vacances, avec les élus LREM, Matthieu Orphelin, Guillaume Chiche, Aurélien Taché, Marie Lebec, le conseiller politique politique de Macron, Stéphane Séjourné. Lors du précédent quinquennat, Gabriel Attal avait passé cinq ans au cabinet de la ministre de la santé, Marisol Touraine, avec l’actuel porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. «Alors que ce dernier s’occupait de préparer les discours de la ministre, le jeune Attal, lui, était chargé des relations avec le Parlement ».

    Enfin, député, il était au poste-clé de «whip» (député coordinateur) de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, et il a été rapporteur du texte sur la réforme de l’accès à l’université et a travaillé à la réforme de l’audiovisuel public au sein d’un groupe de travail. Il se faisait alors consensuel :  «Moi, j’ai toujours considéré qu’on pouvait travailler avec des centristes, des gens de droite et je ne crois pas au clivage» expliquait-il il y a quelques mois. Intéressant dans l’optique des municipales de 2020 dans sa ville de Vanves, où il est conseiller municipal,   dirigée par un maire centriste. Maintenant, secrétaire d’Eat, il veut être bon « car c’est une marque de confiance du Président et du Premier Ministre de me nommer au gouvernement ».

  • LE DEPUTE DE VANVES, GABRIEL ATTAL SECRETAIRE D’ETAT

    Gabriel Attal député de Vanves vient d’être nommé, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education Nationale et de la Jeunesse. Des bruits avaient couru couru ce week-end  d’une possible nomination à un secrétariat d’Etat chargé de la culture, puis chargé de la mise en place du nouveau service national universel.

    Là, il rejoint Jean-Michel Blanquer qui est considéré comme le premier de la classe en Macronie pour justement s'en charger. Ce dernier était venu le soutenir lors de la campagne des élections législatives. Gabriel Attal avait été rapporteur de la loi sur les universités. Et il l’avait accompagné lors de sa visite au lycée Michelet (sur la photo) le printemps dernier. A noter qu'il est le plus ministre de la Véme République à 29 ans 

    Ainsi Vanves compte deux ministres parmi ses habitants : Sophie Cluzel et Gabriel Attal. Du Jamais vu dans notre commune, deux ministres. Mais si avec deux parlementaires lorsque André Santini et Isabelle Debré, siégeait, l’un à l’Assemblée Nationale, l’autre au Sénat.    

  • IMPRESSIONS D’UN VOYAGE PRESIDENTIEL EN ARMENIE DU DEPUTE DE VANVES-ISSY : GABRIEL ATTAL

    Gabriel Attal, député LREM de la 10éme circonscription (Issy-Vanves) était du voyage présidentiel (sur la photo dans l'avion présidentiel) en Arménie pour le sommet de la Francophonie, mais surtout pour l’hommage à Charles Azanavour. C’était une double première, avec ce premier déplacement en Arménie, et dans le cadre, pour la première fois, d’un voyage présidentiel. Il a livré ses impressions au blog Vanves Au Quotidien, à son arrivée d’Erevan

    Vanves au Quotidien : « Quelles Impressions sur ce déplacement plein d’émotion ?

    Gabriel Attal : « Ce voyage fut une grande émotion, parce que je travaille beaucoup avec la communauté arménienne, car  je fais parti du groupe d’amitié France Arménie présidé par Jacques Marilossian député des Hauts de Seine. Toucher cette terre était important à mes yeux. Surtout dans ce contexte,où avec la révolution de velours, on sent qu’on est encore, à un moment historique pour le pays, le peuple s’est levé autour de la victoire de  Nikol Pachinian. je le compare un peu à Emmanuel Macron, parce que’il a fait une grande marche  dans le pays pour rejoindre Erevan. Il est déjà très engagé dans une lutte contre la corruption, pour la transformation démocratique du pays. Ce voyage était un peu, un aller-retour entre ce que nous vivons en France été qu’eux vivent en Arménie avec Nikol Pachinian.

    Le second facteur d’émotion, était la disparition de Charles Azanavour qui devait chanter, à l’occasion de ce sommet de la francophonie, et être avec nous dans l’avion présidentiel, et où étaient présent ses enfants, des amis comme Serge Lama,….avec lesquels on a passé ce voyage à chanter ses succés. Sa disparition fait que forcément ce voyage était très lié à cela, avec un très bel hommage  sur la place centrale d’Erevan devant 1000 personnes, avec plusieurs artistes dont la chanteuse  ZAZ,  ouvert avec une rétrospective de l’histoire de ce pays. Ce fut un grand show mêlant à la fois des danses et musiques arméniennes et historiques, et des chanteurs très contemporain. D’ailleurs l’hommage d’Aznavour aux Invalides a été diffusé sur des écrans géants partout en Arménie. Et les arméniens ont été extrêmement marqué par cet hommage parrce qu’ils ont trouvé que c’était digne de la personnalité d’Aznavoir, et que l’on avait gardé l’authenticité d’Aznavour sur ces racines  arméniennes

    BVQ – Quelles impressions sur ce pays ?

    G.A. : « J’ai découvert un pays d’une richesse humaine et culturelle exceptionnelle. CE qui m’a surtout marqué, c’est cette jeunesse qui a soif d’avenir après une révolution de velours qui ouvre des perspectives fortes en matière démocratique.Cette jeunesse a envie de faire, de trouver sa place, extrémement attentive à ce qui passe chez nous, avec le mouvement En marche. On voit  bien qu’il se passe quelque chose dans le pays. Politiquement, culturellement, ce pays est pris entre ses deux monde d’un côté russe, de l’autre méditérranéen. Quand on se proméne à Erevan, on a à la fois le sentiment d’être dans une capitale européenne, et dans le même temps avec des restes soviétiques très fort. L’Arménie est un pont entre l’Iran et la Russie, entre Est et Ouest.

    BVQ -Quelles mpressions sur un voyage présidentiel ?

    G.A. : « L’avion présidentiel est impressionant. C’est surtout que tout est minuté, avec un encadrement quasi militaire. On est pris dans un mouvement dont il ne faut jamais sortir, car on ne peut pas savoir comment y rentrer, tellement l’organisation est cadré. En même temps, le président de la République est très simple, avec les membres de la délégation, comme avec les arméniens qu’il est allé rencontrer dans les rues.