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Espaces verts

  • DANS LES ESPACES VERTS DE VANVES

    GLACIERES : Il n’y a pas que la rentrée à l’école du parc qui a été reportée. Mais c’est aussi le cas pour l’inauguration des travaux de restauration des Glaciéres du parc F.Pic. Elle était prévu samedi prochain lors des Journées du Patrimoine. Elle a été retardée à cause travaux pour renforcer leur sécurité puisqu’elles accueilleront des visiteurs

    Aire de Jeux : Comme l’a indiqué la ville, GPSO, a enrichi l'aire de jeux du parc Pic avec un nouvel espace dédié aux plus petits, comprenant : une maisonnette en bois adaptée aux 1-4 ans et un petit toboggan. Les jeux à ressort  ont été déplacés et réinstallés. Ce qui a suscité de nombreuses et nouvelles réactions sur cette aire de jeux qui avait déjà fait l’objet d’une pétition, puis lorsd’une réunion publique en février dernier,  où il avait été indiqué qu'une cabane serait ajoutée  et qu'un projet d'installation d'une aire pour les tout-petits était à l'étude en haut du parc. « l'ajout de la cabane ayant fait l'objet du post de ce jour correspond donc probablement à ce qui avait été annoncé en février.  Reste la question de l'aménagement, très attendu, d'un espace pour les tout-petits en haut du parc. La ville devrait peut-être préciser le calendrier de ce projet pour lever certaines craintes » réagissait l’un des blogs attentifs à l’actualité de la ville, avec cette réaction d’une mére de famille : «C’est top mais insuffisant quand on voit à quel point l’air de jeux est hyper chargée aux sorties d’école. Le parc aurait bien la place d’accueillir d’autres espaces pour les enfants »

    SQUARE MITTERRAND : L’annonce par GPSO d’avoir attribué en Août un marché pour la rénovation des clôtures et portails du square de l’Hôtel de Ville pour 263 000 € (315 000 € TTC)  a suscité la polémique : « On s’étonne que la dette se creuse ! » réagit un internaute. «C’est hors de prix » selon un second «  C’est normal d’entretenir les bâtiments et les espaces autour , sinon d’ici quelques temps tout sera en ruines » ajoutait un troisiéme. «Ce sera du meilleur effet. Quand on voit les photos, on se rend bien compte que la rouille a attaqué les grilles... C'est sans doute un investissement pour des décennies » lui a  répond un quatrième. « Grand Paris Ouest dépense des sommes colossales à tout va. Ils ne se sentent pas concernés par la dette de la France ….. on se pose des questions ! »… « Pourquoi ne pas décaper et repeindre ??? C'est choquant ce budget » 

  • UNE APPLICATION CONCRETE DE LA POLITIQUE DE L’ARBRE DE GPSO A VANVES

    Dans le cadre des aménagements en cours sur l’entrée du parc Frédéric Pic et les abords de l’école du Parc, deux frênes ont été fragilisés au niveau de leurs racines, malgré les précautions d’usage prises lors des travaux de terrassement menés à l’occasion du réaménagement du parvis d’entrée du Parc F .Pic. «Un diagnostic phytosanitaire a conclu que les dommages constatés étaient irréversibles et entraînaient le dépérissement rapide des arbres, aggravé par les conditions actuelles de sécheresse. Ces arbres ont malheureusement dû être supprimés» indiquait GPSO en précisant que « Conformément à la Charte de l’Arbre, les arbres endommagés ont donc été remplacés aux frais de l’entreprise responsable des travaux. Le choix des essences tient compte également du changement climatique pour s’assurer d’une meilleure reprise et adaptation ». Ainsi, les nouvelles essences choisies présentent de nombreux atouts comme l’ont expliqué GPSO et la ville de Vanves sur leurs Newsletters ou site facebook :

    -Le chêne rouge, arbre majestueux au feuillage flamboyant en automne, contribue à diversifier le patrimoine végétal et offrira un ombrage durable aux promeneurs. Les deux arbres plantés, âgés de 25 ans, étaient jusqu’alors cultivés en bac de plantation. Ce mode de culture permet une plantation à cette période de l’année, contrairement aux arbres en motte, traditionnellement plantés en fin d’hiver.

    -Les lilas des Indes, appréciés pour leur floraison estivale colorée, possèdent également une écorce décorative qui se desquame en plaques, révélant des nuances de beige, brun et gris rosé. Cet aspect singulier prolonge leur attrait bien au-delà de la floraison, tout en favorisant la biodiversité.

    Et d’indiquer que ce réaménagement est la première application de la charte de l’arbre adopté par GPSO lors de son conseil de territoire du 9 avril 2025 dont Bernard Gauducheau est à l’origine en tant de vice-président chargé de l’espace public. Pour entretenir au quotidien les 28 000 arbres par une équipe dédiée , et préserver ce patrimoine, GPSO a mis en place une « Charte de l’Arbre » afin d’encadrer les travaux menés par des entreprises intervenant sur l’espace public, comme le département des Hauts de Seine.

    « Durant divers travaux et chantiers sur l’espace public comme privé, en creusant dans le sol pour installer des canalisations, des réseaux d’électricité ou de gaz, en implantant du mobilier, ou bien dans le cadre de chantiers de travaux de constructions ou de démolitions, il arrive que des racines soient malencontreusement mises à nue ou coupées, que des branches soient cassées ou des troncs blessés. Invisibles et non détectables, les racines des arbres sont parfois réparties loin dans le sol, en profondeur comme en surface. Cela peut avoir des effets regrettables sur les arbres en altérant leur stabilité mécanique ou en ouvrant des plaies qui deviennent des portes d’entrée pour les maladies, compromettant leur physiologie » explique GPSO dans sa newsletters de Septembre.

    Ainsi la Charte de l’Arbre vise 2 objectifs :

    -Préciser les mesures à mettre en place pour la conservation des arbres, notamment l’installation de protections lors des chantiers,

    -Définir les critères d’indemnisation considérés en cas de préjudice, permettant d’établir les mesures financières compensatoires qui seraient appliquées en cas de dommages causés à un arbre par un tiers.

    Ainsi, grâce à cette politique, « les visiteurs du parc Frédéric Pic pourront ainsi profiter, dès cet automne, d’une entrée embellie et, dans les années à venir, d’un paysage arboré qui sublimera ce lieu emblématique de Vanves » comme le souligne GPSO

  • LE SQUARE JARROUSSE : PREMIER ILOT DE FRAICHEUR DU PLATEAU DE VANVES

    Voilà 10 ans, la providence avait adressé une sorte de clin d’œil plein d’humour aux autorités vanvéennes. Elles avaient inaugurée le 12 septembre 2015, sous une pluie diluvienne les travaux de réaménagement du square Etienne Jarrousse transformé en un véritable îlot vert de fraicheur, alors que ce square consacré au thème de l’Eau avait été inauguré le 22 Juin 1991 lors d’une journée ensoleillée et chaude.

    C’était la seconde requalification d’un square désormais plus transparent, plus vert, avec toujours un petit bassin, des jets d’eau et son kiosque où tout le monde s’est regroupé pour écouter le discours du maire. « Cette inauguration nous tient à cœur, car ce square est extrêmement lié à la vie du Plateau, car il est le seul dans ce secteur de Vanves avec le petit square des Bruyéres, et parce qu’il est un espace de respiration dans un quartier très dense» a avait déclaré le maire en rendant hommage aux équipes de GPSO qui avaient réalisé ce chantier étalé sur deux ans  et dont le coût s’élevait  à 500 000 €  

    Occasion de rappeler que ce square porte le nom d’un ancien maire de Vanves (1902-1911) qui a pour origine le don d’un médecin Vanvéen, le docteur Malfaire qui a offert ce terrain à la commune, à la condition qu’un espace vert y soit créé. Ce qui fut le cas entre les deux guerres. Lors de sa première inauguration, il s’étendait sur 1680 m2 car une partie du square actuel était alors occupé par les bâtiments d’une compagnie de taxis qui a été récupéré par le garage et les ateliers municipaux dans les années 40. Son aménagement était succints avec quelques massifs, quelques bacs à sable… et il a été le théâtre de quelques animations de la ville dont quelques bals du 14 Juillet.

    Lorsque le garage et les ateliers municipaux ont déménagés rue de l’Avenir en Octobre 1990, la municipalité a entrepris de le réaménager et de l’agrandir ( 3800 m2). Le projet avait été confié en 1990  à l’architecte Alain Lamy qui avait choisi l’eau  comme un élément majeur avec bassin, canaux, cascade en gradins de 4 m de haut pour animer ce square de leurs effets d’eaux : « La ville a voulu provoquer un dépaysement, une rupture avec la circulation automobile grâce au mur cascade, tout en créant un signal architectural qui annonce ce square et le protège contre le bruit, ceux qui en profitent. Nous avons privilégié la fonction d’espaces verts, le lieu de repos et de détente, et de jeux pour enfants » expliquait il

    Mais au fil du temps, le square avait vieilli, souffrant de vétusté et d’une exposition ombragée,  les équipements se sont dégradé victime d’actes de vandalisme et d’intrusions nocturnes. Une requalification était alors engagée vingt après, par la ville et GPSO sur deux années afin de lui redonner de la transparence et du confort avec une plus grande place au végétal après deux réunions publiques pour recueillir l’avis des habitants et de ses habitués et réaliser un diagnostic puis un projet.  

    Ainsi les canaux ont disparu, remplacé par une pelouse, la cascade a été simplifié, le mur de l’avenue Pasteur a été scié sur toute sa longueur et complété par une grille en barreaudage pour donner plus de visibilité sur le square, la plus grande partie de la haie de cyprés de Leyland vieillissante et dépérissante, a été remplacée par une haie diversifiée dont la palette végétale a été définie pour offrir aux habitués et aux riverains des floraisons printanières et estivales.

    D’autres réaménagements sont intervenus par la suite, comme cette grande allée minéralisée, à la place de la vaste pelouse, dans cet espace vert apprécié par les habitants du quartier. Beaucoup apprécient son aspect convivial lorsque des animations sont organisés par le Conseil de quartier ou la ville avec notamment la fête de la musique où le groupe Dakoté a l’habitude de se produire