SAINT REMY : VISITES
Beaucoup de vanvéens ont re-découvert l’église Saint Remy à l’occasion de visites organisées par des paroissiens bénévoles comme Jean Yves Depardieu et l’un des prêtres, le pére Pinçon. Ils ont appris des tas petits de choses sur l’autel – Il a été complétement « oin » dimanche dernier par le Saint Chrême, mélange d’huile et de parfum confectinné… par la célébre maison Guermlain depuis une quinzaine d’années, et qui sert notamment lors des baptêmes, des confirmations etc… sur l’histoire de cette église, de ses saints avec ses peintures magnifiques de Putois, de son architecture avec ses magnifiques clefs de voûtes dont des photos réalisées par le photographe « de la Mairie » sont exposées sur un panneau au fond de l’église, ses vitraux dont la plupart ont été offert par des habitants dont les noms apparaissent au bas… Seul regret : Pas de visite de l’orgue comme ce fut le cas lors des journées du patrimoine, malgré un panneau qui rappelait son historique et la mobilisation de paroissiens pour sa restauration. Mais il était le théme de l’éditorial de « Sel et Lumière » lien des communautés catholiques de Vanves signé par Isabelle Carrée, présidente de l’association pour le Renouveau des Orgues de Saint Remy : Elle compte 100 adhérents, s’est attachée à faire connaître le projet à Vanves en en Arc de seine, auprès des services officiels concernés et des conservayoires, et prévoit de multiplier les initiatives afin de faire connaître cet orgue (visites, concerts…) et trouver d’éventuels mécénes
RELAIS DE VANVRES : CHANSONS ET POESIES
Après midi culturel, Samedi, au Relais de Vanvres grâce à Pierre Meige qui officialisait son retour pour s’occuper dans la ville des animations inter générationnelles comme l’a confirmé Bernard Gauducheau. Il avait réuni beaucoup d’artistes dont Michel Larzillière, auteur d’aquaralles sur notre commune « ballades à Vanves », Jean Jacques Kekner, photographe, qui lu quelques poémes de René le Bars, Lois, jeune étudiant « qui a du coffre » comme l’a noté un spectateur après avoir interprêté « mon île » suivi par Léone, retraité, avec les « corons ». Quelques spectateurs sont repartis avec une aquarelle de la place, le bouquin « Paroles de Vanvéens », témoignage sur le passé de Vanves, et d’autres présenté par les Editions du Bout de la Rue qui était présent. Et puis Pierre Meige les a fait tous chanté, même Luc le patron, avec quelques succés d’antan... avant de se séparer et de prévoir de se revoir dans un mois avec d’autres artistes. Entretemps, Pierre Meige relance la chorale... continue d’écrires. Il parait qu’il s’intéresse aux contes et légendes passées et contemporaines des Hauts de Seine.
SAINT REMY : FETE ET ANNIVERSAIRE
120 vanvéens ont participé au dîner de la Saint Remy, fêté le 15 Janvier généralement, à la Maison paroissiale samedi soir où ils ont célébré les 88 ans du pére Thirion qui n’a pas manqué d’humour en sortant un sac « 8 à huit » en disant : « comme je m’attendais à quelque chose ! ». Un diner conviviale préparé et servi par des bénévoles qui ont aussi animé cette soirée un brin intellect par un quizz sur Saint Remi, par une histoire un peu leste dont il fallait compléter les mots manquants par le nom d’un département, quelques intermédes chantés et musicaux. Une initiative qui se renouvelle chaque année et qui prenait un aspect plus particulier cette année avec l’inauguration de la restauration intérieure et la consécration du nouvel autel.
TEMPETE A VANVES ?
Non, mais elle était présente dans tous les conversations dans les cafés ouvert dimanche matin. Si certains parlaient du Prix d’Amérique, d’autres donnaient des nouvelles de l’Aquitaine et de Midi Pyrénées où ils ont de la famille ou une maison de Vacances. « Mon fils est allé voir chez ma mére. Un arbre s’est écrasé et a toiché quelques tuiles. De l’eau suintait à l’intérieur » confiait un vanvéen à l’heure de l’apéritif. Un autre qui a des proches dans la police ou la Protection civile : « Ils ont dormi au poste (de secours), ils n’avaient plus d’électricité chez eux. C’est de là qu’ils nous ont téléphoné. Ils n’en revenaient pas de la force du vent. 170 km ! »