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  • INAUGURATION DES PLATANES A VANVES REPRIS PAR UN ENFANT DE LA VILLE : ERIC POTTIER

    Les inaugurations se succcédent durant ce mois du commerce mais ne se ressemblent pas. C’était au tour de la brasserie « Les Platanes » d’être inauguré Mardi soir. Une affaire de famille…vanvéenne. Entièrement re-looké, elle a ouvert depuis plus d’une semaine avec ses premiers habitués,  sa première soirée « moules/frites » qui en présage d’autres très courues, uniquement le vendredi soir-  Il va falloir réserver – ses premières réservations avec le diner de l’équipe Aviators-vanves qui a suivi leur premier match (victorieux) de Championnat en N2 contre Caen, Samedi dernier, un mariage bientôt.

     

    Elus, amis, clients étaient présents Mardi soir à cette soirée inaugurale, avec quelques visages connus d’anciens commerçants à la retraite, Patrick Leguyader qui tenait l’épicerie fine de la rue Louis Blanc, Gérard Gadras un ex-boucher du marché, d’autres en activité comme Valérie (La boulangerie des Lavandières), Laurent (les salons de coiffure Ty coif et Métamorphoses),  la Manager du Commerce (Carine Jamet), un ex-agent des RG du commissariat de Vanves,  quelques pique-assiettes habituels que l’on retrouve à chaque coktail,  et bien sûr presque toute la famille Pottier qui entourait Eric,  de ses parents Patrick et Claudine malgré quelques absents, sa sœur Valérie, boulangère à Corbeil Essonne qui a confectionné les petits fours de la soirée et Frank qui l’a aidé pendant quinze jours à retaper ce café. Par contre sa femme Audrey avec ses enfants et ses parents Patrick et Chantal Leguyader, étaient présents bien sûr. L’un de leurs amis lui a offert un « livre d’or » qui a recueilli beaucoup de témoignages d’encouragements de sa fille Marion au Maire, Bernard Gauducheau.      

     

    « Quand on vient chez toi, on est chez nous » a déclaré d’emblée le maire, entouré d’Eric Pottier et de Françoise Saimpert auquel s’est jointe Isabelle Debré, sénateur des hauts de Seine et 1ére Maire adjointe de Vanves. « Eric est un garçon courageux, travailleir, qui a été durant 6 ans, conseiller municipal (durant son premier mandat 2001-08). Il connait bien la la ville de Vanves. D’ailleurs la famille Pottier fait partie des piliers de la ville » a-t-il poursuivi en rappelant bien sûr qu’Eric a appris son métier dans des restaurants comme « Chez Françoise » aux Invalides, « La Coupole » à Montparnasse, qu’il a monté sa première affaire à Mennecy avec « La Marinière », qu’il est revenu à Vanves pour travailler à Intermaché, avant de reprendre cette affaire.

     

    « Eric est quelqu’un qui sait prendre ses responsabilités. Je te donne un grand coup de chapeau pour ce que tu as fait ici ! » a-t-il conclu en reconnaissant les efforts surhumains qu’il a dû faire pour remettre tout au propre et aux normes. « C’est très méritant ! Et c’est significatif de ce qui se déroule pour redynamiser le Centre Ancien, avec l’arrivée bientôt de Bio C Bon, après Carrefour Express, Le Tout Va Mieux, avec bientôt Le Grenier à Pain et un magasin primeur rue R.Marcheron. Il faut semer longtemps pour arriver à récolter des fruits » a-t-il conclut en rapportant les propos de parents revenus à Vanves à l’occasion de la réception des bacheliers Lundi dernier : « Quand je vois Vanves, cela me donne envie de revenir ».

     

    La famille Pottier est toujours restée à Vanves, même si Eric a fait quelques infidélités, avec toujours l’envie d’ouvrir un restaurant à Vanves. Il a voulu reprendre, à une époque,  Le  Bistroquet, puis du Tout Va Mieux, mais le propriétaire était trop gourmand, demandant 1 M€ pour la reprise du restaurant et de l’appartement. « J’ai profité de l’occasion offerte par Youssef pour réaliser mon rêve » racontait il au Blog Vanves Au Quotidien avant les vacances. Enfant du terroir vanvéen, il propose une cuisine traditionnelle, de terroir, avec buffet unique à volonté en entrée (8 plats au choix), et plusieurs formules, autour de 2 plats du jour à l’ardoise qui changent quotidiennement, avec des formules : Buffet à Volonté ; Buffet/Plat, Buffet/dessert, Plat/dessert, Buffet/plat/dessert. « Pas de carte ! Que du frais ! » précise t-il. Uniquement à l’heure du déjeuner du lundi au vendredi, avec des soirées « Moules-Frites » à théme, autour d’un groupe de musique, qui devraient faire un tabac vu les réservations qui pleuvent…  

  • DU MERITE AU CHALLENGE : UN WEEK-END DE METARMORPHOSES A VANVES

    Malgré un week-end prolongé pour cause de pentecôte, Vanves est marqué par plusieurs événements qui animent ces 3 jours estivales : La présence cet après-midi à Saint François d’Assises de l’ancien Evêque du diocése des Haits de Seine à Saint François d’Assises dont il avait célébré la consécration voilà plus de 20 ans, pour la clôture de l’édition 2009/10 de  la formation « Incarnation ». Le challenge Lemel organisé par la section Football qui devrait rassembler de très nombreux jeunes footballeurs et champions en herbe. Et la Campagne contre la solitude lancée par la Société Saint Vincent de Paul à travers toute la France, qui a fait l’objet d’un sondage dans la Croix d’hier. Une équipe de cette grande association caritative est présente à Vanves à Saint François dont l’une de ses actions est de lutter contre cette solitude grâce à des visites qui sont « la pierre d’angle de son action ».  

     

    I - DES CHEFS D’ENTREPRISES A L’HONNEUR

     

    METARMORPHOSE :

    Tout a commencé par le salon de coiffure Métarmorphose qui célébrait,  mercredi  ses dix ans, mercredi soir, en présence d’un très grand nombre de vanvéens et de personnalités diverses et variées, une centaine au total parait il. C’était la première diversification ou extension d’activité pour Laurent Boscher son patron qui a créé à l’âge de 23 ans Ty Coif, voilà 24 ans, en reprenant le salon de coiffure de sa tante alors rue V.Hugo qu’il a déménagé dans l’ancien salle du restaurant Le Pic du Midi.   

     

    UNE CHEF D’ENTREPRISE MERITANTE

    « Son parcours de femme e 60 ans, combattante engagée dans le monde associatif (avec le GEV), et chef d’entreprise (créatrice des Editions du Bout de la Rue) témoigne d’une partie de l’histoire de notre pays dans le cadre de la lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Il est important de distinguer des femmes devenues chefs d’entreprises ayant brisé le plafond de verre qui les empêchent encore trop souvent en France d’accèder normalement aux postes de responsabilité dans le monde du travail. Sa vie a le mérite de donner un exemple de l’espoir et de l’énergie aux femmes » déclarait Bernard Gauducheau, maire de Vanves pour expliquer qu’il ait défendue la candidature de Francine Aurand dans l’Ordre National du Mérite qu’il lui a remis Jeudi dernier à l’hôtel de ville

    Beaucoup de monde s’était déplacé salle Henri  Darien, sa famille, ses amis, des auteurs qu’elle a édité, des membres du GEV qu’elle préside, des élus avec Isabelle Debré, Guy Janvier, Françoise Saimpert , Alain Loubiana, Bernard Roche, Daniel Barrois…et Luc Vidal, Président du Club des Boss de GPSO, et chef d’entreprise vanvéen. Bernard Gauducheau a rappelé toute sa vie et sa carrière… basée à Vanves depuis les années 80, avec F.A. Communication, Les Editions du Bout de la Rue qui a édité de nombreux auteurs dont 10% sont des vanvéens. Certains étaient présents comme Pierre Meige, Monique Corsi… Et son engagement au sein du GEV grâce à Serge Helbert, son prédécesseur qui était malheureusement absent ce jour là. « J’ai réalisé ce que j’avais pu entreprendre ! » a-t-elle déclaré en rendant hommage à Joël Corno, son compagnon - « Il m’a toujours soutenu et a été présent lorsque je l’étais pour les autres » - et bien sûr à son prédécesseur à la tête du GEV. « On se bat toujours pour quelque chose ! »

     

    LES EDITIONS DU BOUT DE LA RUE

    Francine Aurand a eu le droit à un portrait dans le Parisien ce jour là, titré « L’éditrice qui donne sa chance aux plumes locales ». Vanves Au Quotidien avait dressé un portrait de cette chef d’entreprise, lors du Salon des Terroirs de Noël 2008 où elle racontait, avec Joël Corno  l’aventure de cette petite maison d’édition indépendante, au bout de la rue…Marcellin Berthelot dans une ancienne boucherie qui appartenait à Gérard Gadras lorsque ce dernier oeuvrait au marché de Vanves : « C’est la continuité de FA Communication, société de communication par l’écrit  qui réalisait des affiches, des flyers, des brochures commerciales, professionnelles etc..). Nous avons eu l’idée de poursuivre pour faire de l’édition de livres, ce qui nous a demandé  beaucoup de travail. Nous sommes très diversifié, en ce sens que nous n’avons pas une ligne éditorial déterminé sur une collection particulière. Nous faisons du roman, de la poésie, de la jeunesse, de l’humour-satire, des essais, des témoignages et des polars » expliquaient ils

    Deux paramétres sont importants dans cette société, qui président à la sélection d’un auteur : la qualité de l’œuvre, et l’adéquation de l’auteur par rapport à la promotion de son livre. « C’est extrêmement important, parce que nous sommes une petite structure, donc il faut que l’auteur concourre à la promotion de son ouvrage dans laquelle nous les impliquons énormément.  Nous sommes ainsi présents dans différents salons régionaux dans un rayon de 500 km autour de Paris,comme à Saint Sauveur en Puisaye (300 hs) où son salon attire 300 visiteurs ». Ils font surtout partie de ses petits éditeurs indépendants franciliens : « 85% du chiffre d’affaire en matière d’édition sont réalisés par 2 groupes, et les 15% restant sont réalisés par des gens comme nous. Leur philosophie n’est pas la même que la nôtre, parce qu’ils vont faire des produits de consommations, à partir d’événements, qui auront une durée de vie de 4 à 5 mois…De notre côté, nous détectons des auteurs de talents et nous cherchons à ce que leurs ouvrages perdurent dans le temps.  Nous avons raison, parce que l’on s’aperçoit que des auteurs sortis voilà 3 ans, connaissent le même attrait et engouement. Et ils reviennent. Par contre, au niveau marketing et commercial, nous avons des difficultés en ce sens qu’il y a des pressions exercées par ses grands groupes  au niveau de la distribution,  bien que nous soyons présent chez la FNAC et consorts… » reconnaissaient ils.