Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mobilité

  • APPEL A CONTRBUTION DU MAIRE DE VANVES POUR LA MISE EN PLACE D’UN PLAN VELO : LES PROPOSITIONS DE VIVRE VANVES

    Dans le cadre de l’appel à contribution du maire de Vanves pour la mise en place d'un plan Velo dès le deconfinement prévu le 11 mai prochain, l'équipe de Vivre Vanves (LREM) a envoyé ses propositions. «Des proposition claires, simples et réalisables dans les délais très courts qui peuvent être impartis à la municipalité sur lesquelles a particlièrement travaillé Bernard de Nerville» indique Séverine Edou (LREM) qui conuisait la liste Vivre Vanves .

    «La Pandémie qui frappe notre pays transforme nos mobilités, Vanves doit s’emparer de cette opportunité pour mettre en place très rapidement des aménagements favorisant l’utilisation du Vélo.  Pour les municipalités, un simple arrêté de circulation suffit pour mettre en place des solutions provisoires et, comme il ne reste que quelques jours avant la date du 11 Mai, ces initiatives doivent être prises sans délai» explique Vivre Vanves dans son document où elle formule trois propositions concrètes :

    Tout d’abord aménager des pistes cyclables provisoires : La piste cyclable tracée uniquement avec de la peinture au sol ne procure pas un sentiment de sécurité satisfaisant. L'aménagement cyclable temporaire devra utiliser des balises d’alignement ou des séparateurs modulaires de voie pour protéger efficacement les cyclistes du trafic motorisé.  Vivre Vanves propose la mise en sens unique de deux rues pour y permettre la création de couloirs protégés pour les cyclistes :   Rue Jean Bleuzen /  dans le sens Vanves-Paris et des avenues Marcel Martini/Pasteur  dans le sens Paris-Vanves. Elle propose  également une signalétique sur l’ensemble des axes partages afin que la sécurité de tous (Piétons, cyclistes et automobilistes) soit assurée de façon maximale

    Ensuite favoriser le stationnement des vélos : Les aménagements cyclables provisoires ne se limitent pas aux pistes. Il faut pouvoir garer son vélo. La ville de Vanves souffre d’un sous équipement en matière de parc de stationnement des vélos. Ils sont souvent excentrés au lieu d’être à proximité immédiate des commerces et des espaces publics. La municipalité devrait autoriser, de façon temporaire, l’accrochage des vélos aux grilles et mobiliers urbains particulièrement devant la poste, le marché, Intermarché, Carrefour Market, Place de la République, Boulevard du Lycée...

    Enfin amorcer des solutions durables pour l’utilisation du vélo en toute sécurité : Mettre la pression sur GPSO pour accélérer la mise en œuvre du Plan Vélo 2018 en fixant des objectifs de réalisation ambitieux et à court terme. Vivre Vanves propose de revoir le plan de circulation motorisé de la ville résolument orienté cyclable en distinguant :  Les axes de transit, capacitaires pour l’ensemble des modes de déplacement (pistes cyclables comprises) afin de relier différentes zones de l’agglomération et des communes voisines, les rues de desserte, intéressant uniquement le trafic motorisé local qui a pour origine ou destination une adresse à proximité,  les «trajets malins» contre lesquels il faut lutter pour empêcher la densification des flux. Elle propose de sélectionner un chantier ambitieux et structurant pour amorcer durablement la  transformation de la ville :le carrefour de l’insurrrection très dangereux pour les cycliste, ce qui srrait un signe fort de la municipalité sur sa détermination à adapter ma ville aux nouveaux enjeux de la mobilité révélé par la pandémie

  • LES JEUNES DE VANVES SONT EN MANQUE !

    Pour contribuer au débat sur la jeunesse, Vanves Au Quotidien revient sur une étude toute récente (réalisée par MV2 auprés d’un échantillon de 896 jeunes franciliens  de 15-29 ans) qui  montre que cette génération nouvelle issue de différentes formes familiales, génération  du monde de l’information et de la communication (utilisation des téléphone portables et usage de l’Internet), est à la fois plus sociable mais plus virtuelle. Elle est aussi quotidiennement confrontée aux risques de l’environnement (tabac, alcool, drogues, mauvais traitement, mal être, échec scolaire…). Cette  jeunesse (vanvéenne) que l’on dit sur-informé, sachant tout sur tout, manque en définitive, d’informations précises quel que soit leur milieu, leur condition. Essentiellement sur les mécanismes d’orientation et d’information première, comme nous l’avons constaté hier dans la première partie de cet article.

    Qu’en est il par exemple en :  

     

    MOBILITE :

    C’est le domaine prioritaire à développer pour 57% des jeunes, notamment ceux qui sont en activité, les étudiants et les jeunes vanvéens étant intéressés par une augmentation des bus le soir et le week-end. Les moins fortunés mettent l’accent sur la nécessité de mettre en œuvre des mesures pour rendre par exemple, le permis de conduire plus accessible aux jeunes financièrement.

     

    LOGEMENT :

    Pour 65% d’entre eux, il n’y a pas assez de logements adaptés à leurs besoins (en terme de coût, d’équipement, de surface…). Ils estiment que le logement des jeunes doit être l’un des axes de développement prioritaire pour les collectivités territoriales.

     

    CITOYENNETE :  

    11% des jeunes, plutôt étudiants, sont déjà engagés pour un projet, pour une cause et 81% souhaiteraient en faire de même, en visant des actions dans la défense de l’environnement ou un projet écologique pour la moitié (45%). Pour 1 jeune sur 6, être citoyen signifie surtout respecter autrui et savoir vivre en société, loin devant la responsabilité, les droits et devoirs du citoyen.

    85% ne connaissent pas les structures d’accueil, d’aide, d’animation qui existent dans leur département. D’ailleurs, de manière générale, ils connaissent mal ou peu les aides qui peuvent leur être accordées. Ainsi 37% des jeunes qui vont peu ou pas à des activités culturelles le justifient par le côté coûteux de celles-ci. Or des réductions sont accordées aux étudiants et aux jeunes en recherche d’emploi.

     

    LOISIRS :

    Les 15-19 ans équipés ou ayant accès à un ordinateur vont sur Internet pour surfer mais surtout pour chatter et jouer en ligne. Les 20-24 ans sont plus orientés vers les sorties entre amis (47% sont étudiants) et le surf sur Internet. Les 25-29 ans en activité professionnelle, s’ils surfent très souvent sur Internet sur un ordinateur, regardent aussi beaucoup la TV. 31% vont peu ou pas à des activités culturelles, par manque de temps (les étudiants) et parce que cela revient trop cher. 47%  pratiquent peu ou pas d’activités sportives par manque de temps (étudiants), inadéquation des horaires (travailleurs) et le coût (étudiants et ceux en recherche d’emploi).

     

    TELEPHONE PORTABLE :  

    98% sont équipés d’un  téléphone portable, sachant que les lycéens en font une utilisation ludique (prise de photos/films, écoute de MP3/de la radio) et sont de gros consommateurs de SMS/MMS. Leurs téléphones étant plus « basiques » que ceux de leurs aînés et leurs forfaits souvent bloqués, ils utilisent moins leur téléphone pour surfer sur Internet que les 20 ans et +.  Les jeunes hommes écoutent de la musique ou surfent sur Internet. Les jeunes filles en font une utilisation plus classique, principalement pour envoyer ou recevoir des messages, dans une moindre mesure, prendre des photos.