Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vanvesauquotidien - Page 250

  • LE PREFET DES HAUTS DE SEINE MOBILISE DES VILLES COMME VANVES CONTRE LE 7e VAGUE

    La 7e vague de Covid-19 touche de plein fouet la région Île-de-France. Les chiffres indiquent que les taux d’incidence augmentent dans l’ensemble des départements franciliens - Selon des chiffres de l'Agence régionale de santé francilienne, le taux d’incidence au 3 juillet y était de 1100 cas positifs pour 100 000 habitants et le taux de positivité des tests est à 26,5%. -  et les recommandations de remettre le masque notamment dans les transports se multiplient côté gouvernement.

    La Première ministre Elisabeth Borne a demandé aux préfets et autorités sanitaires d'encourager le port du masque «dans les lieux de promiscuité et espaces clos, notamment les transports en commun». Jusqu'à présent, il s'agit de recommandations, sans obligation. Mme Borne a aussi appelé à «amplifier les messages de prévention, comme aérer régulièrement les espaces clos, se tester dès les premiers symptômes et s'isoler immédiatement en cas de positivité».

    Dans les Hauts-de-Seine, le préfet Hottiaux a indiqué dans un communiqué que «le taux d’incidence  dépasse les 1100 cas/100 000 habitants, que plus de 68 000 tests sont réalisés par semaine et que  le taux de positivité atteint 26,5% (la moyenne régionale étant à 26,2%.).  «Pour faire face à cette dégradation et pour ne pas engorger le système hospitalier, déjà fortement éprouvé», il en appelle à « la responsabilité de chacun à l’approche des vacances d’été Depuis le début de la crise sanitaire, je sais pouvoir compter sur la responsabilité et la mobilisation des alto-séquanais. Cet été encore, protégez-vous et protégez les autres !» concluait il.

    Ce rebond épidémique rime avec le retour des bonnes vieilles habitudes pour faire barrage : lavage des mains, gel hydroalcoolique, aération régulière dans les lieux de vie, ou encore retour du masque dans les transports en commun dans notre région, même si ce n’est pas encore, à nouveau, obligatoire. Parmi les usages faisant leur retour en force : les tests. Même si ceux-là n'ont pas totalement disparu. «On a vraiment observé une demande croissante de tests depuis bientôt deux semaines. Ces demandes concernent les tests antigéniques en pharmacies, mais aussi les achats d’autotests», explique Bruno Maleine, président du conseil régional de l'ordre des pharmaciens d’Île-de-France. «On a beaucoup de demandes de la part de cas contacts ou de cas symptomatiques. Ces derniers jours, beaucoup de patients viennent avec des symptômes classiques, comme un mal de gorge ou un mal de tête, soupçonnant la clime ou les courants d’air d’être responsables. Mais très souvent, quand on testait, ça devenait positif», ajoute-t-il.

    Ainsi face à la remontée des cas, gouvernements et scientifiques insistent sur l'intérêt des doses de rappel. Car si la protection des vaccins diminue avec le temps face à l'infection, ils restent efficaces contre les risques de formes graves.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    MINISTRES FRANCILIENS

    Gabriel Attal qui a été reconduit au ministére des comptes publics comme d’autres membres du gouvernement  considérés comme « des ministres de poids » se sont vus conforter dans leurs précédentes missions : Bruno Le Maire (Economie/finances), Gérard Darmanin (Intérieur), Eric Dupontd-Moretti (Justice). De surcroît, il est l’une 13  personnalités politiques franciliennes, à faire parti du second gouvernement piloté par Elisabeth Borne  parmi ses 41 ministres. Parmi ses franciliens : Agnès Pannier-Runacher  au ministère de la Transition Énergétique. Stanislas Guérini, député de la troisième circonscription de Paris au Ministère de la Transformation de la Fonction Publique,  Amélie Oudéa-Castéra, aux Sports,  Franck Riester,  député de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne, aux relations avec le Parlement, Olivia Grégoire, députée de la 12ème circonscription de Paris aux petites et moyennes entreprises, Clément Beaune, député de la septième circonscription de Paris, aux Transports, et la parisienne Marléne Schiappa à l’ESS.

    Parmi les nouveaux : : P Pap Ndiaye ministre de l'Éducation nationale, Olivier Klein, ancien maire de Clichy-sous-Bois, chargé de la Ville et du logement, l'économiste Laurence Boone, secrétaire d'Etat chargée de l'Europe, Jean-Noël Barrot, député des Yvelines,  Ministre délégué au Numérique et Jean François Carenco, ancien préfet d’Ile de France au ministère des Outre-mer.

    PLAINTE AU COMMISSARIAT

    C’est rare pour être relevé, mais c’est au commissariat de Vanves que Sophie Tissier, l'ancienne figure des Gilets-Jaunes a porté plainte lundi dernier  contre le président LFI de la commission des finances, Éric Coquerel. Lorsque l’actualité nationale rattrape Vanves…qui s’en saurait bien passer.  Elle l'accuse en 2014 «d'agressions sexuelles  lors d'une soirée du parti de gauche. Des informations fermement démenties par Éric Coquerel. Elle l’accuse d'avoir été, particulièrement insistant et d'avoir eu les mains «baladeuses ». Elle explique qu'il ne s'agissait pas d'une agression sexuelle, bizarre puisqu’elle l’accused’un tel acte,  et dit surtout vouloir qu'Éric Coquerel reconnaisse les faits qu'elle lui reproche. Lui se défend de tout geste déplacé et reconnaît tout juste un flirt avec cette militante. IL n'exclut pas de porter plainte en diffamation. Il s'est justifié dans une tribune parue dimanche dans le Journal du Dimanche. «Je n'ai jamais exercé une violence ou une contrainte physique ou psychique pour obtenir un rapport» affirme l'élu de Seine-Saint-Denis.

    RETOUR DE LA VENTE DES TICKETS DANS LES BUS

    Avez -vous remarqué que depuis lundi, si l’on emprunte les bus de la RATP qui circulent à Vanves, on peut,  de nouveau, acheter un ticket à l’unité.  L’installation des parois de protection pour les chauffeurs de bus pendant la crise sanitaire et leur maintien, avaient empêché l’achat de tickets papier à bord des bus par les usagers occasionnels et les touristes. Mais voilà, cette suspension a générée une lourde perte financière évaluée à 5M€ pour la RATP. Ile de France Mobilités, haute autorité des transports francilienne, avait demandé à plusieurs reprises, le retour de la vente des tickets à bord des bus, ainsi que l'ouverture des deux portes, pour un meilleur confort des passagers, auquel s’était opposé la CGT RATP pendant un an, sucitant même une gréve. La RATP indique que «la vente physique de tickets à bord reste très limitée», et rappelle avoir développé et fait une campagne d’information  pour le paiement dématérialisé par SMS. .D’ailleurs cette avancée est inéluctable car le paiement «dématérialisé» par SMS  permet aux usagers d'être directement débités sur leur forfait téléphonique. Ils pourront aussi prochainement acheter et charger des tickets dématérialisés sur leur passe Navigo Easy avec leur smartphone

  • VANVES CONCERNE PAR LE DEVENIR DU PERIPHERIQUE AVECLA PORTE BRANCION

    Un débat sur l’état de l’avancement du projet de transformation du boulevard périphérique sedéroulera cet après-midi au Conseil de Paris – que les vanvéens peuvent suivre sur paris.fr - dans lequel Vanves est concerné comme toutes les communes de la métropole du Grand Paris, et notamment riveraines de la Capitale, mais aussi et surtout parce que la ville de Paris l’accompagne d’un  projet de réaménagement des portes de Paris, et notamment Brancion : Voilà presque 20 ans qu’i est à l’ordre du jour des relations des villes de Paris et de Vanves, depuis le protocole signé entre Bernard Gauducheau et Bertrand Delanoë,le 5 Juin 2003 et le quasi abandon du projet Woodeum inscrit dans le cadre de l’appel à projet « Réinventer la Métropole du Grand Paris » dont seule le projet de résidence étudiante, côté Vanves devrait voir le jour

    La transformation du boulevard Périphérique est un sujet lourd et brûlant. L’objectif est d’en  faire «une ceinture verte». Pour parvenir à ce résultat, la Ville de Paris prévoit dans un premier temps de réserver une voie pour les athlètes et le staff des Jeux Olympiques, puis la pérennisation de cette voie pour qu’elle soit dédiée au covoiturage, aux bus et aux taxis, enfin une « harmonisation des voies » c’est-à-dire passer à deux fois trois voies alors qu’aujourd’hui, il y a deux fois quatre voies, couplé avec un réaménagement des portes de Paris qui sera mené en parallèle. Il s’agira aussi de recréer des entrées de ville, des lieux de destination avec des aménités urbaines, et casser l’effet de frontière du Boulevard Périphérique qui sépare encore Paris de ses voisines. 4 ont d’ores et déjà été réalisées, à l’instar de la Porte Pouchet, et 5 autres seront transformées d’ici 2024, les Portes de Clichy, de la Chapelle, Brancion,  Maillot et Dauphine. Une première phase de transformation sur plusieurs portes sera également engagée et au total, 22 portes seront transformées ou en cours de transformation à horizon 2030. «Ces transformations s’inscrivent dans l’ambition métropolitaine de remettre de la nature en ville partout où cela est possible et d’embellir les quartiers à travers la plantation d’arbres. Près de 20 000 arbres ont déjà été plantés entre novembre 2020 et mars 2022 avec un objectif d’environ 50 000 arbres plantés sur le boulevard périphérique d’ici 2024. La végétalisation des talus et voies latérales sera aussi accélérée et intensifiée afin de réduire la pollution sonore comme atmosphérique» indique la ville dans la communication qu’elle fera cet après-midi 

    Un objectif qui n’est pas validé par toutes les parties prenantes, la préfecture de police qui a montré des réticences au projet, ne validant que la voie réservée pour l’instant.  Et la Région dont la présidente Valérie Pécresse n’est pas du tout en accord avec ce réaménagement. Sans parler d’une nouvelle réduction de la vitesse prônée par la ville de Paris. 

    La communication au conseil de Paris permettra de faire le point sur la concertation lancé par la consultation internationale des routes du futur au Pavillon de l’Arsenal en 2018 puis dans l’exposition sur les routes du futur de 2019, avec les préconisations de la Mission d’Information et d’Evaluation (MIE) sur l’avenir du Boulevard Périphérique.  Ce travail s’est poursuivi à travers l’organisation des Ateliers du Périphérique, la présentation du livre blanc sur la nouvelle ceinture verte par l’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme)  en mai 2022 qui a permis de rendre compte des différentes étapes, des dialogues et échanges, ainsi que des mesures auxquelles a mené ce travail collaboratif. Pour que ce travail se poursuive, une grande concertation – Le Carrefour des mobilités – sera organisée cet automne afin de rassembler toutes les parties prenantes concernées. «La mobilisation de l’ensemble des grands acteurs franciliens de la mobilité sera nécessaire - les acteurs institutionnels (arrondissements, communes, Établissements Publics Territoriaux, départements et Région), économiques et associatifs (représentants les automobilistes, les transports en commun, piétons et cyclistes), mais aussi les riveraines et riverains - afin de poursuivre les échanges sur la transformation du boulevard périphérique et des grandes artères métropolitaines».