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ville de vanves - Page 419

  • STADE DE VANVES : DES PROJETS POUR L’ANNEE DES 80 ANS DU STADE ET DES 50 ANS DE LA DIRECTION DES SPORTS ET DE LA PISCINE MUNICIPALE

    2021 sera marquée par trois anniversaires : les 80 ans du Stade de Vanves créé pendant la seconde guerre mondiale, la 50 ans de la création de la direction des sports de la ville qu’André Roche avait confiée à Gérard Clérin, mais aussi de la piscine municipale dont ce dernier avait proposé de traiter à l’ozone l’eau des bassins, une première en France.

    Un point sur les réalisations et les projets de la ville qui se montent en  2021 à 3,5 M€ a été fait par Marie Caroline Cohen, maire adjoint chargée des sports à la fin de l’AG du 4 Mars  qui a noté qu’un contrat d’objectifs et de partenariat avait été signé en 2020 mettant en avant le développement de la pratique, le soutient à l’egagement associatif et le bénévolat (des dirigeants sportifs qui sont d’une grande richesse), le soutien aux JO de Paris 2024 et le maintien des équipements sportifs : 6,6 M€ ont été investis pour la salle omnisports sous la piscine, la rénovation de son parking avec l’aménagement d’un ascenseur, la transformation du pavillon Jean Baptiste Potin du PMS…. En 2021, 3,5 M€ sont consacrés à la rénovation de la salle Marcel Dambron, l’aménagement de vestiaires dans les locaux de la section boules lyonnaises (évincée) avec un ascenseur pour handicapés, la rénovation de la piste d’athlétisme, la création d’un parcours sportif dans la ville, la rénovation de l’accueil et des vestiaires de la piscine, des cours n°1 et 2 des courts de tennis… sans parler des perspectives ouvertes par la rénovation des terrains sportifs extérieurs du lycée Michelet (sur la photo) financée par la région Ile de France, auxquels a contribué la ville et dont devrait profiter le stade de Vanves

  • STADE DE VANVES : UNE ASSEMBLEE GENERALE INEDITE POUR UNE ANNEE TOUT AUSSI ETONNANTE

    Pour la premiére fois  de son existence depuis 80 ans, le Stade de Vanves a tenu une assemblée générale virtuelle le 4 Mars (sur la photo, une AG En présentielle avant)  grâce à Zoom pour dresser le bilan d’une saison particulière (2019-2020), et des perspectives pour une nouvelle saison tout à fait inédite. Alors que ses effectifs ont connu jusqu’en 2019-2020 une constante augmentation avec 5220 stadistes ( 5014 en 2018-2019), soit + 4,11%,  «grâce à la qualité de nos installations sportives» selon Bruno Chauvet, président du Stade de Vanves,   ils ont plongé de 31,9% pour 2020-2021 avec 3593 stadistes à cause de la crise sanitaire, ce qui n’a pas empêché la Natation d’évoluer en championnat National 1, le Basket en nationale 2, au sade de Vanves de tenir ses portes ouvertes à la Rentrée 2019, sa course de Noël début 2020 alors que la France allait se confiner à la mi-mars

    Pendant ce confinement, les sections ont fait preuve d’imagination pour garder le contact avec leurs adhérents, ce qui n’a pas été simple : Le rugby a ouvert un compte Instagram, le tennis un site en ligne, des cours ont été organisé en ligne par la danse, la gym volontaire, l’Escrime, Aerts martiaux…). Lors du déconfinement, il a fallu que les sections s’adaptent avec des cours et des entraînements dans les parcs et forêts (Arts Martiaux, escrime), avec la prolongation des entrainements en Juillet/Août… tout en s’adaptant aux nouveaux horaires, la nécessité de nettoyer les équipements et surfaces après utilisation, gérer l’absence de vestiaires… Sachant que chaque section avait du communiquer le protocole sanitaire édicté par leur fédération sportive au secrétariat tant du stade de Vanves que de la direction du service des sports, et reçu plusieurs courriers du bureau du stade Vanves pour les tenir au courant de l’évolution de la situation, et des mesures de précaution à prendre. Heureusement, le Stade de Vanves a bénéficié des aides de l’Etat pour l’activité partiielle et la sécurisation de l’emploi de ses salariés

    L’objectif de la nouvelle saison est de retrouver les stadistes prévus tout en faisant face à un nouveau reconfinement en Octobre, maintenant un couvre-feu, avec une réduction des plages horaires disponibles, le maintien des cours à distance, la demande de créneaux horaires exceptionnelles (Dimanche et vacances scolaires), et retarder l’application du couvre feu à partir de 17H30 au lieu de 17H au PMS A.Roche mis en place pour que les gardiens puissent fermer avant 18H et vérifier que tout le monde soit siorti de cet équipement sportif. «Je confirme que l’on va pouvoir lâcher du lest pour le couvre-feu» a indiqué Marie Caroline Cohen, maire adjoint chargée des sports. La volonté de cette association omnisports est de faire tout son possible pour que ses adhérents puissent continuer leurs activités sportives malgré ses conditions exceptionnelles. «Je suis admiratif de ce que vous faîtes» a conclu François Praud ex-président du Stade de Vanves.  

  • L’ILE DE FRANCE COMME VANVES ECHAPPE AU CONFINEMENT LE WEEK-END…POUR L’INSTANT

    Mais quel psychodrame pour l’éviter. Face à l’aggravation de la situation sanitaire dans les huit départements franciliens mais aussi dans 12 autres départements, le premier ministre s’est donné une semaine le  25 Février dernier pour décider à des confinements territoriaux comme à Nice et à Dunkerque, après concertation avec les élus concernés, en les plaçant en «surveillance renforcée».

    Les événements se sont précipités dés le soir même lorsque la mairie de Paris annonçait vouloir aller plus loin en proposant au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin «d'avoir la perspective de tout rouvrir» à son issue. Face aux réactions, elle a dû tempérer cette idée de confiner la capitale. Mais trois jours après, elle était contre un confinement le week-end en faisant part de son désaccord avec cette décision  qu'elle jugeait «difficile, dure, voire même inhumaine» et prônait, au contraire l'accès aux espaces publics pour la population :«Plus on restreint les espaces publics et les temps d'aération pour les familles, moins on lutte contre le Covid. C'est ce que nous avons appris du premier confinement, à l'extérieur on a moins de risques d'attraper le Covid dès lors que l'on porte un masque et que l'on est respectueux des gestes barrières». Bien entendu, Gabriel Attal, porte parole du gouvernement avait réagit à ce revirement sur CNews :«Je ne vais pas prendre le risque de commenter une position de la mairie de Paris puisqu'on voit qu'elles évoluent. Il y a eu trois positions en trois jours. D'abord on nous a dit il faut confiner complètement et strictement la ville de Paris, ensuite vendredi ce n'était finalement plus qu'une hypothèse et aujourd'hui, il n'en a jamais été question !».  

    Quant à valérie Pécressse, président de la Région ile de France, elle était plus réservée :« Il ne faut pas prendre des mesures privatives de liberté qui ne sont pas efficaces. Il faut prendre des mesures strictement proportionnées à l'évolution de l'épidémie et que ces mesures soient réversibles en cas d'inefficacité » prévenait elle en demandant, en cas de re-confinement le week-end, à ce que les marchés en plein air et les lieux de culte restent ouverts et à ce que les aides aux commerçants soient revues à la hausse. Tout comme les maires des Hauts de Seine qui  demandaient, dans ce cas,  le maintien des marchés alimentaires et que les parcs et jardins restent également ouverts.

    Même si des hésitations n’ont pas manqué jusqu’au dernier moment, selon l’AFP, le gouvernement a écarté l'hypothèse d'un confinement les week-ends en IDF, en ayant eu affaire à des élus franciliens plutôt hostiles ou réservés contrairement à Nice, Dunkerqe et dans le Pas de Calais qui le demandaient.  Il apparaît que l'exécutif souhaite «utiliser ce confinement le week-end en dernier recours», mais «la contrepartie est qu’il faut faire comprendre aux habitants qu’ils doivent rester chez eux !», en prenant des mesures restrictives

    Cette mise en surveillance renforcée s’explique aisément par une tension dans les hôpitaux franciliens comme l’indiquait l’ARS : 72% des lits en réanimation étaient occupés par des patients atteints du Covid-19. L'incidence du Covid-19 est supérieure à 320/100.000 à Paris, dans le Val-de-Marne et en Seine-Saint-Denis (280 cas pour 100.000 habitants, contre 207/100.000 dans le pays).  La remontée du nombre de cas a été quasi continue dans la région depuis l'assouplissement du deuxième confinement, début décembre. Le léger mieux observé au moment des fêtes, dans toute la France, a été effacé dès début janvier. Puis à partir de février, alors que l'incidence refluait un peu au niveau national, elle a poursuivi sur sa lancée en Ile-de-France.

    Heureusement, les indicateurs du département des Hauts de Seine  sont légèrement moins critiques que ceux du reste de l'IDF : Le taux d’incidence remonte, avec 270 cas pour 100 000 habitants (301,9 en IDF), le taux de positivité des tests augmente aussi : 6,8% (8,2% en IDF), le nombre de lits occupés par des patients atteints de la COVID en réanimation, qui est gérée dans un cadre régional, augmente dans le département : 76,6% (contre 70,6% en IDF). Le préfet Hottiaux a indiqué qu’une politique de tests massive est actuellement déployée : Entre 66 000 et 70 000 tests sont réalisés par semaine. Par ailleurs, les forces de l’ordre ont renforcé les contrôles sur le respect du couvre-feu. Au mois de février, 5 414 personnes ont été contrôlées (contrôle du port du masque) ainsi que 378 établissements recevant du public (dont 87 restaurants). Il a indiqué, que, dans les Hauts-de-Seine, 74 460 injections avient été réalisées (47 537 1ères injections et 26 923 2ndes doses) fin Février. Pour les dotations de doses, les centres ont tous reçu leur notification de dotation jusqu’au 28 mars inclus et disposent ainsi d’une visibilité sur un mois. Ainsi, sur le mois de mars, 26 182 rendez-vous ont déjà été programmés dans les centres». 451 médecins généralistes se sont portés volontaires pour cette phase de démarrage dans les Hauts de Seine de la vaccination des 50-65 ans dont 2 à 3 Vanves