De nouvelles silhouettes Pieto avec bandes réfléchissantes permettant de renforcer la signalétique et la sécurité aux abords des écoles ot fait leur apparition à Vanves cet été. Il s’agit d’accentuer la visibilité des établissements scolaires, notamment des écoles maternelles et primaires. Ludique et reconnu comme l'un des équipements les plus efficaces pour la sécurisation des périmètres scolaires, le totem école permet de capter l’attention des usagers de la route. Différents modèles originaux existent et mêlent couleurs voyantes et formes originales, afin d’optimiser leur visibilité, prenant la forme d’un crayon ou d’une règle…Mais pour augmenter encore davantage la sécurité autour de l’école, on peut installer des figurines à taille humaine, c’’est à dire cette des enfants. Cet équipement permet d’accroître la vigilance et l’attention des usagers de la route, en rappelant la vulnérabilité des enfants qui se déplacent à proximité. C’est ce que vient de faire Vanves
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LA PHOTO DE LA SEMAINE A VANVES : DES SILHOUETTES PIETRO AUX ABORDS DES ECOLES
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LA PHOTO DE LA RENTREE A VANVES : UNIVERSITE D'ETE SUR LE HANDICAP POUR DEUX VANVEENS
Deux vanvéens ont participé aux 1ere Universités d’été de la conception universelle et de l’inclusion organisée parle Conseil Consultatif des personnes handicapés (CNCPH) qui se sont déroulés la semaine dernière : Sophie Cluzel secrétaire d’Etat et Guillaume Benhamou, membre de ce Conseil qui ont accueilli le premier Ministre, Jean Castex (sur la photo) venu conclure leurs travaux. Occasion de rappeler au gouvernement la nécessité de continuité dans la politique en faveur des personnes handicapés. Le Premier Ministre a présenté en avant première les mesures les concernant dans son plan de relance, comme la création de contrat d’apprentissage pour les jeunes handicapés, et la suppression de la limite d’âge pour le service civique des personnes handicapés.
Guillaume Benhamou qui est intervenu sur les « problémes de santé des personnes handicapées pendant le Covid-19 » en insistant sur leur formation pour mieux les gérer personnellement, a été intéressé par les nombreux échanges entre les participants, notamment sur les questions d’éthique et d’handicap. Vanves a la chance d’avoir une personnalité compétente sur ces questions dont la municipalité n’utilise aucunement les connaissances en la matière.
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RETOUR SUR UN ETE CORONA A VANVES : LES CURIEUX AGISSEMENT DE VIPARIS ILLUSTRE PAR LE PROJET MIXCITE
Souvenez-vous du projet Mixcité qui avait défrayé la chronique à Vanves et Issy les Moulineaux durant l’été 2019. Alors que Viparis avait présenté un projet « soft » d’aménagement des abords du parc à Vanves, avec espaces verts, places et commerces à l’angle Marcel Yol et Jullien, , nouvelle entrée entre Marcel Yol et Moulin etc, les riverains et les élus de ces deux communes avaient découvert le projet d’aménagement de 13 000 m2 de bureaux principalement le long de la rue du Septembre avec deux hôtels, l’un de 3* au bas de cette voie avec 370 Chambres (21 700 m2), l’autre 2* face à l’hôtel Mercure de 270 Chamùbres (5500 m2) avec une résidece pour étudiants et jeunes actifs de 500 chambres avec des espaces de commerces/loisirs, soit au total une surface évaluée à ce stade entre 15 000 m² et 25 000 m². Le dossier de concertation présentait deux options pour ce bâtiment : un immeuble de grande hauteur ou un bâtiment de taille plus réduite). Le coût total d’investissement du projet MixCité était estimé à 170 M€ HT.
Or que disent les magistrats de la Chambre Régionale des comptes d’Ile de France : « Par sa dimension, le programme du projet MixCité excède les développements d’activités complémentaires d’hôtellerie, restauration et commerce autorisés par la Ville de Paris dans la limite de 23 000 m². De plus, la résidence étudiante présentée dans le dossier de concertation de Viparis ne fait pas partie des activités autorisées par la Ville de Paris. Un tel équipement, comme la construction d’un immeuble de bureaux, parait éloigné des activités visées par la Ville dans le programme de construction défini pour la conclusion du BEA. L’élargissement proposé par Viparis excède donc de façon substantielle le programme défini par la Ville de Paris, tant par ses dimensions que la nature de ses activités».
Ce projet ne pourrait être accepté sans modifier de façon substantielle l’économie du contrat de concession. En effet, lors de l’attribution du BEA, la Ville avait limité les activités complémentaires aux espaces d’exposition et de congrès. «Indépendamment du centre de congrès, du programme hôtelier et des commerces associés, des commerces pourront être prévus afin de contribuer à l'animation du site. Toutefois, la surface de l'ensemble de ces équipements d'accompagnement (centre de congrès, programme hôtelier,commerces associés et autres commerces), ne pourra excéder 23 000 m² de surface de plancher environ, soit environ 10 % de la surface actuellement dévolue aux espaces d'expositions. En outre, les surfaces de commerces destinées à fonctionner indépendamment du Parc des expositions et de ses équipements complémentaires devront rester dans la limite de 2 500 m² environ de surface de plancher» était il spécifié noir sur blanc
Or, les nouvelles surfaces d’environ 27 200 m², prévues par le projet MixCité, venaient s’ajouter aux 27 600 m² inscrits dans l’offre finale de la société Viparis, qui bénéficiait déjà d’une tolérance de 20 % par rapport à la limite initiale de 23 000 m² définie dans l’avis d’appel public à la concurrence. En outre, le contrat impose une double limitation quant aux activités pouvant être développées sur le Parc : l’emphytéotique ne peut développer que les activités présentées dans le projet d’exploitation annexé au contrat et il ne peut proposer que des équipements annexes relatifs à l’accueil d’activités de congrès, la création de superficie hôtelières, de restauration et commerciales.
«Dès lors et contrairement à ce que soutient la Ville en réponse aux observations provisoires de la chambre, le programme Mixcité ne peut être réalisé sans s’écarter des engagements contractuels pris par Viparis. Le fait qu’il se situe sur les communes adjacentes au territoire parisien est également sans incidence : la consultation lancée par la Ville de Paris en vue de conclure le BEA portait sur l’ensemble des emprises constituant le Parc des expositions et incluait donc celles situées sur Vanves et Issy-les-Moulineaux. Dans ces conditions, la réalisation d’un tel projet, en grande partie sans rapport avec les attentes de la Ville de Paris, montrerait que celle-ci a perdu le contrôle du développement du Parc, désormais piloté par Viparis » concluent ils. Edifiant exemple des agissements de Viparis dont ont failli être victimes les riverains vanvéens et isséens…jusqu’à présent.
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