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ville de vanves - Page 326

  • LA METROPOLE DU GRAND PARIS VA PROTEGER LES PAVILLONS DE VANVES

    Le conseil de la Métropole du Grand Paris  où siège le maire de Vanves a approuvé son Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) métropolitain lundi dernier.  Un document d'urbanisme et de planification à l'échelle intercommunale qui est le fruit d’un intense travail entre élus, techniciens et experts au premier rang desquelles les communes et les territoires, durant 4 ans, qui doit être  valider par l’Etat et faire l’objet d’une enquête publique avant qu’un voté définitif intervienne en 2024. Ce document de 1300 pages avec des cartes détermine le projet du territoire et définit les grandes orientations d'aménagement sur les 15 à 20 prochaines années .Il  est le premier document de planification urbaine réfléchi à l’échelle du territoire et du  bassin de vie métropolitain. Jusqu’alors, les évolutions de ce territoire étaient encadrées à l’échelle communale par le PLU (Plan Local d’Urbanisme) ainsi qu’à l’échelle intercommunale avec le PLUi (Plan Local d’Urbanisme intercommunal). Les maires devront prendre en compte ses orientations générales pour garder la main sur l’aménagement de leurs communes. «Il impose une compatibilité aux PLUI Comme il doit l’être avec le SDRIF (Schéma Directeur de la Région Ile de France Il dote le territoire d’une vision d’aménagement métropolitaine dans un contexte sanitaire, environnemental et économique qui nécessite d’envisager l’avenir autrement.. Ce document d’urbanisme doit ainsi être un SCoT d’accompagnement, de rénovation, de réparation, de régulation, d’innovation et d’expérimentations pour rendre nos villes plus inclusives, plus vivables, plus robustes et résilientes»

    Il s’articule autour de 12 grandes orientations prioritaires qui pourraient avoir des implications sur Vanves. Et l’une d’entre elle en particulier : «Embellir la Métropole et révéler les paysages, renforcer la présence de la nature et de l’agriculture en ville, renforcer le développement de la biodiversité en restaurant notamment des continuités écologiques telles que les trames vertes et bleues, tout en offrant des ilots de fraicheur et la rétention de l’eau à la parcelle ». C’’est l’une des avancées majeures de ce travail car il anticipe l’application du ZAN (Zéro artificialisation nette) du plan climat. Il institue le coefficient pleine terre à l’échelle des EPT comme GPSO. ET il défend les quartiers pavillonnaires où il n’est pas question de réduire les jardins. 24% du territoire est concerné où la pression des promoteurs se fait sentir. Et certains propriétaires vanvéens de pavillons pourraient en témoigner. Ce document insiste, au contraire sur la qualité écologique de ces espaces, notamment grâce à la présence de jardins si petit soit il, lesquels «doivent être protégés au sein des PLUI ». Comme ces zones pavillonnaires du Plateau, du clos Motholon et du parc municipal des sports, le long de la voie ferrée Paris Montparnasse, autour de la mairie déjà bien écorné par des réalisations et des projets denses qui se sont multipliés depuis une dizaine d’années, suscitant oppositions et pétitions. Or ce document prévoit que la densification se fera autour des grands axes selon ce document, puisqu’il faut malgré tout construire

  • LA CRISE SANITAIRE A RECOMPOSE LE PAYSAGE COMMERCIAL FRANCILIEN JUSQU’A VANVES

    «Entre 2018 et 2021, après deux années de crise sanitaire, la dynamique commerciale de l’IDF a marqué le pas puisque le nombre de commerces actifs dans la région a très légèrement reculé (- 1 %), passant de 155 809 en 2018 à 153 992 aujourd’hui» selon le relevé effectué sur le terrain par les enquêteur de la CCI Paris-IDF. Ce coup de frein s’est ressenti dans l’ensemble des départements, de façon plus ou moins marquée toutefois. Dans les Hauts-de-Seine, le nombre de commerces actifs est passé de 17 014 en 2018 à 16 484, un recul de 3%, le plus élevé de la région, mais le département compte néanmoins 10,2 boutiques pour 1000 habitants. C’est le taux le plus élevé de la région, derrière Paris ( 28,3 commerces pour 1000 habitants). avec de fortes disparités selon les activités. La plupart des grands secteurs ont vu leur nombre de commerces reculer, à l’exception de l’Alimentation (+ 3 %) et des Hôtels-cafés-restaurants (+ 2 %).

    Le taux d’équipement commercial est particulièrement important dans les villes proches de la capitale, où se trouvent des zones de bureaux accueillant un grand nombre d’actifs (Levallois-Perret, Puteaux) et dans les communes où le revenu des habitants est élevé : Neuilly-sur-Seine, Boulogne-Billancourt. Les évolutions marquantes en 2021 sont contrastées dans ls Hauts de Seine :  Le secteur des commerces alimentaire est le seul à se maintenir et à afficher une croissance de 2,6% par rapport à 2018, portée par l’augmentation des supérettes (+ 58,6 %) dont deux nouvelles à Vanves, avec Franprix rue J.Bleuzen,  Carrefour City rue R.Marcheron,  des commerces bio (+ 23 %) et des commerces de bouches traditionnels tels que les pâtisseries (+23,8 %) – une chocolaterie à vanves -  fromageries – crémeries (+ 21,6 %) qu imanquent à Vanves, et charcuteries – traiteurs – épiceries fines (+ 18,3 %).  Le secteur des commerces de l’habitat chute (- 11,5 %), du fait de la contraction du nombre de commerces spécialisés dans la cuisine, la vaisselle, les bazars et les généralistes portés sur la décoration d’intérieur. Le secteur de l’automobile poursuit la baisse entamée en 2018 (- 11,5 %) principalement portée par les commerces d’équipements automobiles et deux-roues et les garages automobile. Le secteur des commerces de la culture recule de - 5,7 % par rapport au dernier recensement. Cette baisse affecte tant les grands multi spécialistes culturels que les indépendants : disquaires et magasins de journaux - papeterie - librairie - fourniture de bureau.

    Vanves s’en sort pas trop mal puisque depuis la reprise, selon la Municipalité,  10 nouveaux commerces ont ouvert à Vanves dont 5 grâce à des actions municipales directes : La Villa Vanves, 1886 le chocolatier, Il Viticillo, Carrefour City, Barber Shop, MaÏ Thaï, la boutique éphémère le «24», Burger 2 Vanves, Franprix…Mais il y ades manques dans certains quartiers comme un kiosque (à journaux) dans le Centre Ancien

  • PLACESHAKER DIGITALISE LA GESTION DES CHANTIERS DEPUIS VANVES

    De petites pépites se sont installés à Vanves, comme cette start-up francilienne Placeshaker dont les médias ont parlé ces temps-ci, et Notamment Usne Digital,  parce qu’elle a annoncée une levée de 4,5 millions d'euros. Elle a développé un logiciel SaaS de gestion des travaux, utilisé dans plus de 2500 chantiers de professionnels et de particuliers. «Articho » a vocation à optimiser la gestion de projets de rénovation et le suivi de chantiers. Il s'adresse à tous les acteurs du bâtiments souhaitant simplifier la gestion de leurs projets grâce à un portefeuille de fonctionnalités : devis, communication entre les différents acteurs, plans en 3D, stockage des photos, plans et documents, tableaux de bords...
    Placeshaker a une seconde activité : Place Rénovation. Il s'agit d'une plateforme qui contracte et réalise des chantiers de cuisine, salle de bain et de rénovation complète en mettant en relation les différents acteurs du projet (artisans, fournisseurs, architectes), les prescriptions (assureurs, grandes enseignes de distribution-bricolage...) et les clients finaux. «Nous avons le même modèle qu'une entreprise classique de rénovation » explique Matthieu Stefani un deses fondateurs à Usine Digital.  «En pratique, lorsqu'un particulier ou un professionnel souhaite effectuer des travaux, Place Rénovation va envoyer un pilote qui – à la manière d'un chargé d'affaires – va effectuer des plans et concevoir un devis intégrant l'ensemble des prestations. Il accompagne ensuite le client jusqu'à la réception de l'ouvrage. Les artisans sont des salariés de Placeshaker ou des sous-traitants, précise le co-fondateur. Ces derniers vont recourir à Articho pour gérer le chantier. Placeshaker emploie à ce jour plus de 38 salariés et collabore avec plusieurs centaines de partenaires, artisans, clients et fournisseurs dont Leroy Merlin, Castorama, Ixina, Arthur Bonnet... L'entreprise dit avoir multiplié son chiffre d'affaires par cinq en deux ans et a atteint la rentabilité en 2020.