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ville de vanves - Page 144

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LYCEE MICHELET : VISITE MINISTERIELLE

    Prisca Thevenot, secrétaire d’État, chargée de la Jeunesse et du Service national universel, était au lycée Michelet de Vanves jeudi matin (sur la photo) car il bénéficie du label « classes et lycées engagés ». Ce label permet à des élèves de seconde et de première année de CAP de bénéficier d’un projet pédagogique annuel proposant des contenus et initiatives autour de l’engagement et s'inscrivant dans les actions éducatives et les enseignements quotidiens, et, en tout premier lieu, de l’enseignement moral et civique et de l’éducation à la citoyenneté. Ce projet pédagogique intègre la participation à un séjour de cohésion du service national universel sur temps scolaire, dont une partie du contenu est articulé avec la thématique du projet pédagogique d’engagement. La ministre a assisté à la présentation du projet pédagogique et a échangé avec l’équipe éducative mobilisé, en présence de Claire Guichard, député (renaissance) de la 10e circonscription (Vanves-Issy) et de Séverine Edou, conseillére municipal (Renaissance) de Vanves 

    METROPOLE DU GRAND PARIS : NOMINATION AU CODEV

    Guillaume BENHAMOU, personnalité de Vanves, a intègré le Comité de Développement (CoDev) de la Métropole du Grand Paris qui est en quelque sorte son conseil économique, social et environnemental. Il rejoint le collège des Personnalités Qualifiées du Comité de Développement (CoDev). « Cette nomination valorise ainsi mon parcours de citoyen engagé pour mon territoire en tant de fondateur de la JCE GPSO et mon rôle d'ambassadeur de la Fédération des JCE en Ile-de-France » a-t-il réagi en remerciant « chaleureusement Messieurs Gauducheau Maire de  Vanves et son adjoint Kevin Costes, de m'avoir démissionné du conseil de quartier Saint-Rémy à Vanves, et ainsi libéré du temps pour ce nouvel engagement. Je ne doute pas que nous aurons l'occasion de travailler en partenariat et en bonne intelligence sur le temps de cette mandature ».

    EHPAD : POURSUITE JUDICIAIRE

    La directrice et une infirmière d’un Ehpad situé à Vanves serait poursuivie par la justice après la mort d’une patiente de 90 ans d’après une information donnée par la radio Europe 1. Elles seraient poursuivies pour non-assistance à personne en danger et pour violences involontaires. Cette décision fait suite à la mort d’une patiente de 90 ans, retrouvée morte dans sa chaise roulante avec une ceinture autour du cou, à la fin Août. «Aussitôt alertée, la directrice de l’établissement aurait alors pris l’initiative de retirer la ceinture et de placer la personne âgée, morte, dans son lit avec l’aide de l’infirmière présente. Elle n’a pas précisé au médecin dépêché la présence de l’objet autour du cou lors de la découverte de la vieille dame inanimée. Un certificat de décès a ainsi été établi sans cette mention importante préférant spécifier une défaillance cardiaque» indique la rédaction d’Europe 1. « Mais des cadres de santé de l’établissement de santé ont pris la parole et décidé de dénoncer cet oubli aux policiers. S’interrogeant sur la présence de fractures régulières et inexpliquées sur la patiente, la famille a également porté plainte. L’infirmière et la directrice de l’Ehpad sont désormais poursuivies par la justice pour non-assistance à personne en danger, blessures involontaires avec ITT supérieure à trois mois et homicide involontaire par personne morale».

    TREMBLEMENT DE TERRE AU MAROC : UNICEF

    Après avoir accompagné l’association « Tous Ensemble » pour organiser ne collecte de dons de matériels et financiers à la suite au séisme meurtrier qui a touché le Maroc - les espaces Jean Monnet et l'espace Albert Gazier accueillant les Vanvéens désireux d’apporter leurs dons – la ville de Vanves a voté 1500 €, au conseil municipal de mercredi soir, une subvention à l’UNICEF au profit des victimes, comme beaucoup d’autres collectivités locales : le département des hauts de Seine lundi dernier lors de sa commission permanente (100 000 € à la Croix Rouge), la Région Ile de France la semaine dernière  etc…

  • SECURITE A VANVES : « ET QU’EN EST IL DU COMMERCE PLACE DES PROVINCES ?"

    Le Plateau, a lancé à l’école Marceau, mardi soir, les réunions publiques de quartier de l’automne qui se dérouleront le 10 Octobre à Larmeroux pour les Hauts de Vanves et le 18 Octobre à l’hôtel de Ville pour le Centre-Ancien Saint Remy. Occasion pour la ville de présenter le projet de requalification de la rue Auguste Comte et de la partie vanvéenne de la rue Louis Vicat, avec bientôt l’expérimentation de la suppression du réseau cuivre remplacé par la fibre dans la ville, et un point sur la situation des commerces sur lesquels le Blog reviendra

    Mais alors que la réunion ronronnait quelques peu, notamment avec les paroles apaisantes de Christiane Vlavianos, maire ajointe au commerce, ne voilà t-il pas, vers 21H30,  qu’un adhérent  d’Agir Pour le Plateau lui a demandé ce qu’il en était du commerce place des Provinces. Alors que le maire assistait comme les vanvéens présents à cette réunion aux présentations des projets par les maires adjoints et d'autres intervenants, et aux échanges avec les participants, il s’est levé tout d’un coup pour prendre la parole : «Je vois bien à quoi vous faîtes allusion ! Cette question est importante ! Mais qu’on arrête de dire  «que fait la mairie ?» lorsque cela ne va pas. Le maire n’a qu’un pouvoir limité en la matière, et là, face aux troubles du voisinage. Cela ne veut pas dire que l’on ne fait rien ! » a insisté Bernard Gauducheau en rappelant qu’il y a eu des réunions, qu’on a installé des caméras de vidéoprotection,  des  bacs, des barrières… «La mairie fait ! Sauf qu’il y a des limites à son action ! » a-t-il  souligné en expliquant que le rôle du maire n’est pas d’être un policier, en rappelant que «nous avons un rôle de prévention et d’éducation », notamment en proposant aux jeunes de rejoindre les activités (organisées par l’ESCAL, le pôle Jeunesse) pour éviter qu’ils restent oisifs. « On est là pour signaler et faire intervenir… et à Vanves, ce qui  se passe, est moins compliqué qu’ailleurs !.. On reste vigilant ! S’il faut mettre  encore des moyens pour éviter les nuisances, on le fera . A  ces yeux, c’est une responsabilité collective, « car chacun d’entre nous à sa part à apporter ! »  a-t-il conclu en rappelant trois choses : Tout d’abord que si des villes ont une police municipale comme à Vanves, elle n’est pas là pour remplacer la police nationale. Ensuite qu’il est à l’origine de la construction du nouveau commissariat de police inauguré par Michéle Alliot Marie : « Prévu pour 120 fonctionnaires de police, il n’en accueille que 60 actuellement ». Enfin, cela ne devrait pas s’arranger, parce que la police dépend maintenant du préfet de police de Paris qui est compétent sur l’ensemble de la capitale et de la petite couronne. Et à l’entendre, il aurait tendance à privilégier Paris notamment avec les manifs, et bientôt les JO

  • VANVES APPELLE A LA VIGILANCE CONTRE LE MOUSTIQUE TIGRE

    « Depuis quelques années, la saison estivale et les périodes de fortes chaleurs sont marquées par la présence du moustique tigre dont la propagation doit être limitée afin de réduire les risques de maladies » indiquait la mairie de Vanves sur son site Internet voilà quelques jours en invitant à adopter les bons gestes. Des vanvéens durant l’été s’étaient alarmés de sa propagation dans notre commune comme dans la région   

    Pour limiter les risques de propagation de la dengue, l’agence régionale de Santé (ARS) avait autorisé 6 opérations de démoustication sur le territoire francilien,  au cours de l’été dont deux dans l’Essonne (Draveil, Verrières-le-Buisson), deux dans le Val-de-Marne (Saint Mandé, Maisons-Alfort),  une à Paris dans le 13e à Paris et  une autre dans les Hauts de Seine à Colombes.  Mais plusieurs communes franciliennes avaient appelé à l’aide comme Châtillon où la maire Nadége Azzaz avait envoyé un courrier à l’ARS et les habitants d’Antony qui avaient signé une pétition recueillant prés de 2000 signatures pour que la mairie fasse intervenir l’ARS.

    Il faut savoir que dans les cas les plus grave, l’Agence régionale de démoustication (ARD), opérateur privé spécialisé dans la détection et l’élimination de moustiques en Ile de France intervient avec un traitement à base d’insecticide qui vise les lieux de repos du moustique tigre (buissons, bosquets, feuillages etc.) dans un périmètre de 150 mètres de rayon du site localisé (sur la photo à Courbevoie). Elle ne vise pas à éliminer toute trace du moustique tigre mais à réduire le risque de propagation de la dengue, maladie infectieuse dont certaines complications peuvent être sévères. Des agents revêtus de combinaisons et de masques ont ainsi pulvérisé à pied et depuis un camion un insecticide homologué et qui présente l’intérêt de se dégrader rapidement, sur tous les espaces verts, buissons et arbres, dans les endroits où se reposent les moustiques. Les rues ont été interdites au trafic dans les villes où elles sont été réalisées. Ces opérations ont été précédée d’une information auprès des habitants (porte-à-porte et distribution de dépliants dans les boites aux lettres) des zones concernées qui ont été invités à rentrer leurs plantes d’extérieur, à bien fermer leurs fenêtres, à garder à l’intérieur leurs animaux domestiques.

    Ces opérations sont menées pour réduire le risque de transmission de la dengue suite à un cas avéré, donc sous la responsabilité de l’ARS qui n’intervient que dans ce type de situation. En effet, les ARS ne déclenchent les opérations de démoustication que lorsqu'un malade est identifié et que le moustique a été présent à proximité pendant sa période de virémie. Par ailleurs, les collectivités locales ont un rôle majeur à jouer dans la lutte contre les moustiques vecteurs de maladies, que ce soit par la sensibilisation des populations ou la mise en œuvre d’actions pour éliminer les gîtes de développement des moustiques.

    Depuis le 1er janvier 2020, l’ensemble des départements du territoire métropolitain est considéré comme à risque d’implantation et de développement du moustique tigre. Et il est présent et actif dans tous les départements franciliens. Les autorités surveillent l'implantation de ce moustique en raison de sa capacité de transmettre des maladies tropicales (Zika, dengue ou chikungunya) après avoir piqué des personnes malades. Les actions de lutte anti-vectorielle sont menées par l’Agence pour empêcher la survenue d’un cas autochtone, ce qui ne s’est jamais produit dans la région. D’ailleurs, une surveillance dite « renforcée » est mise en œuvre du 1er mai au 30 novembre correspondant à la période d’activité du moustique tigre.