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région ile de france - Page 41

  • LE MAIRE DE VANVES ET UNE CENTAINE DE SES COLLEGUES FRANCILIENS SE MOBILISENT CONTRE LES MARCHANDS DE SOMMEIL

    Le maire de Vanves fait parti des 100 Maires franciliens qui se sont mobilisés contre les marchands de sommeil et ont envoyé, juste avant les fêtes,  une lettre au Président de la République afin de l'interpeller sur les pratiques illégales qui fragilisent le tissu social de nombreux quartiers du territoire francilien. A l’initiative de V.Pécresse présidente de la Région, Stéphane Beaudet, Président de l'Association des Maires d'Ile-de-France (AMIF)  et Geoffroy Didier, Président de l'Établissement Public Foncier d'Ile-de-France (EPFIF) ils s’étaient réunis le 11 Décembre dernier au siége de la région sur la thématique «Comment mobiliser les acteurs publics pour mieux lutter contre les marchands de sommeil en Ile-de-France ?». Même si Vanves n’est pas touché, il est rassurant de savoir que ses élus se sentent concernés par ce fléau

     Le logement indigne représente 5% des résidences principales privées en Ile de France soit 180 000 logements. Et la Seine-Saint-Denis est l’un départements les plus touchés puisqu’une maison sur 100 a fait l’objet d’une division entre 2003 et 2013. Dans certaines communes, la division pavillonnaire peut représenter jusqu’à 40% de l’offre. Et les loyers pour ces logements atteignent des montants indécents : 650€/mois pour 15m² à Pierrefitte-sur-Seine, 600€/mois pour 16m² à Stains.  Dès son élection en décembre 2015, Valérie Pécresse avait été alertée par de nombreux maires sur le développement de l’activité des marchands de sommeil en Ile de France. Dans certaines communes, ce ne sont pas seulement des maisons mais des rues entières voire des quartiers, qui sont touchés par ce phénomène. Les maires se retrouvent désarmés pour lutter face à une délinquance organisée qui profite de la misère humaine et de l’absence de lois. Ce phénomène menace également l’attractivité des territoires et la vie des quartiers. Geoffroy Didier, président de l’EPFIF, avait animé un groupe de travail, à la demande de Valérie Pécresse au printemps dernier,  composé d’experts en droit public, de professeurs d’université, de maires, de représentants de l’EPFIF et de victimes de marchands de sommeil, pour faire des propositions

    Ainsi, la Région et l’AMIF demandent à l’Etat la mise en place d’une police régionale contre les marchands de sommeil chargée de repérer leurs agissements, de dresser les constats sur le terrain et d’engager les procédures judiciaires et fiscales indispensables. Elles proposent qu’elle soit déployée de manière pilote dans la région afin de servir de territoire d’expérimentation dans la lutte contre ce fléau. Les maires proposent de priver  les marchands de sommeil de leurs ressources financières, en établissant un nouveau régime légal d’expropriation de leurs biens, en étendant le fichage des marchands de sommeil aux SCI (Société Civile Immobilière) pour les empêcher d’échapper à l’autorité judiciaire ou de se déclarer en faillite personnelle, en leur interdisant légalement d’acquérir d’autres biens à louer. Ils demandent de déloger le délinquant plutôt que la victime, en créant un nouveau type de préemption, permettant aux maires d’acquérir un pavillon susceptible d’être acheté par un marchand de sommeil ou en systématisant la confiscation des biens immobiliers utilisés par les marchands de sommeil en cas de condamnation judiciaire

     

    C’est en tous les cas, une initiative intéressante et heureuse car ses pratiques illégales fragilisent le tissu social de nombreux quartiers du territoire francilien. «L'AMIF restera donc vigilante aux prochaines orientations données dans le cadre de la future loi sur le logement, sachant que les maires d'Ile-de-France ont à coeur de lutter efficacement contre les marchands de sommeil » indiquait elle dans un communiqué. 

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    ATTAL PORTE PAROLE D’EN MARCHE

    Gabriel Attal, député LRM de la 10éme circonscription (Vanves-Issy) pourrait être l’une des portes-paroles d’en Marche. Une marque de confiance de son président Castagner (sur la photo tous les deux lors de la Rentrée scolaire à Vanves). Il est vrai qu’il défend parfaitement bien la politique du gouvernement dans les médias, l’Elysée le faisant monter au créneau comme ce fut le cas pour la loi sur l’audivisuelle et des propos d’Emmanuel Macron lors d’une rencontre avec les membres de la commission culture et Education de l’Assemblée Nationale dont il fait partie. Il  est vrai aussi que les journalistes le sollicitent beaucoup. Mais comme il l’explique, il se refuse de parler des frasques et aventures du chien du président. Faut pas exagérer !

    DES BUCHES A VANVES ET A LA REGION

    Les 80 participants au repas de Noël de l’UDI de Vanves  au Tout Va Mieux, lundi soir, ont eu droit à une bûche pour le dessert d’un repas de fête, avec tartare de saumon ou salade gourmande avec foie gras à l’entrée, suprême de volaille sauce foie gras avec riz et légumes, ou un steak Espadon. Le maire de Vanves a pu trouver un réconfort pendant cette soirée amicale et conviviale alors qu’il a siégié ces trois jours au conseil régional pour sa session budgétaire. Durant lesquels, il n’a pas été le porte parole du groupe UDI sur un des chapitres budgétaires étudiés (transports ou aménagement) comme cela était généralement le cas. Et pour cause : le président très libéral du groupe Frank Cecconi, qu’il soutenait, a été débarqué par un président très clanique, Jean François Vigier, maire de Gif sur Yvette qui n’a pas fait de cadeau, remettant au pas son groupe. A tel point qu’il était prévu que le maire de Vanves qui présidait jusqu’à présent la commission des transports de l’assemblée régional, soit remplacé par Marianne Duranton. Ce qui ne s’est pas fait, puisque c’est Brice Nkonda qui lui a succédé et qui n’y connait rien parait il. Ambiance au groupe UDI au Conseil Régional

    IL MANQUE 1,5% POUR ATTEINDRE 25%

    Une petite étude d’une spécialiste de l’urbanisme de la section En Marche de Vanves montre bien que Vanves n’atteint pas encore le taux de 25% avec 3026 logements sociaux. La ville prévoit de construire 145 logements sociaux en 2018 en comptabilisant les 112 logements sociaux du Rosier Rouge, 25 rue A.Briand/R.Coche/Diderot et 8 rue R.Sahors. Mais sur les 112 logements sociaux du Rosier Rouge, avec sa créche, il n’y en a que 30 comptabilisé pour Vanves, car le Rosier Rouge s’étend aussi sur Issy les Moulineaux. Il manque donc 1,5% à Vanves pour atteindre 25% soit 190 logements sociaux qui sont une urgence avec 1256 demandes     

    DEFAITE DU STADE DE VANVES C/ PARIS 15

    « Cette rencontre peut se résumer en chiffres, car au niveau du jeu il y aurait beaucoup à dire sur le niveau des joueurs  sur le terrain, pour certains dans les têtes. Score de 3 à 0 pour PARIS 15 avec des avertissements : 6 cartons dont 2 rouges, un blessé avec une fracture du poignet. Le match s’est terminé à 9 joueurs. Rencontre à vite oublié, encore que... Espérons une meilleure entame pour 2018 » espére Jean Claude Vignal, président de la section Football du Stade de Vanves.

  • HOMMAGE AU GENERAL DE GAULLE A VANVES ET A COLOMBEY

    Isabelle Debré, viceprésidente du Conseil Départemental, et quelques militants gaullistes vanvéens se sont retrouvés devant la stéle du général de Gaulle au square Marceau,  jeudi soir pour déposer une gerbe, à l’occasion du 47éme anniversaire de sa disparition. Un hommage digne et simple, pas comme cette course à l’hommage à Colombey les Deux Eglises auxquels se sont livrés des personnalités politiques dont les partis ont toujours combattu Charles de Gaulle. A noter, une initiative intéressante de la Région qui a emmené une centaine d'élèves des lycées René Cassin (Paris), Henri Wallon (Aubervilliers), Eugène Hénaff (Bagnolet) et Samuel de Champlain (Chennevières-sur-Marne), et leurs professeurs à Colombey ce jour là, dans le cadre d’un partenariat avec la Fondation Charles de Gaulle, signé au mois de juin dernier, pour réaliser un parcours pédagogique autour de l'engagement, intitulé «Le général de Gaulle, un homme engagé». Ce projet vise à renforcer l'engagement citoyen des lycéens et à transmettre les valeurs de la République dans les lycées franciliens. Il s'agit, pour chaque lycée participant, d'organiser une série de 4 à 5 ateliers - répartis tout au long de l'année - autour des thèmes de la transmission d'une culture historique, mais également des valeurs citoyennes, avec un fil rouge : l'engagement gaullien. Ses lycéens sont ainsi des ambassadeurs des valeurs de la République au sein de leur établissement et de leur environnement, au quotidien.