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département des hauts de seine - Page 12

  • RUE MARCHERON A VANVES : PROBLEMES D’ALIGNEMENT, DE CIRCULATION, DE NUISANCES

    Il a été beaucoup questions de rue, de circulation, de vélo, de piétion,  de trottoir, d’alignement durant cette troisième réunion publique de quartier consacré au Centre ancien-Saint Remy lundi soir, mais surtout à ce secteur autour de la rue Marcheron entre la place de l’Insurrection et le commissariat où les travaux de construction d’un immeuble à la place du garage devraient commencer, alors que les premiers habitants de la résidence NIWA commence à s’installer côté rue Aristide Briand qui sera requalifié par GPSO entre les rues René Coche et Diderot.

    La présentation de la ligne de bus 59 entre la gare de Clamart et la porte de Clichy qui passera par Larmeroux-Raymond Marcheron a ouvert les échanges. «Mais la circulation rue R .Marcheron va être épouvantable» remarquait un participant. «On travaille à encourager à utiliser moins les véhicules, plus les transports en commun, les vélos, l’autopartage…avec des projets comme le Grand Paris Express, cette nouvelle ligne de métro» indiquait Bernard Gauducheau  « Et la navette ?» s’interrogeait un  autre participant : «Elle coûte chére et ne rapporte rien. On  réfléchit à un transport à la demande» indique t-il. «Et le plan vélo ? alors que la pratique s’étend !» demande un troisiéme : « On a pris des initiatives. Un groupe de travail a été constitué. Des propositions ont été faîtes : piste cyclable sécurisé, parking à vélo, mais aussi local à vélo dans les immeubles, obligatoire, et c’est inscrit dans le PLU,  pour les nouvelles constructions, avec des bornes électriques pour les VAE (vélo à assistance électrique) » a-t-il indiqué. Un quatriéme se plaint d’une difficile cohabitation entre piétons et cyclistes qui roulent sur les trottoirs : «On essaie de résoudre ces  problèmes, de protéger les piétons, en développant une reconquête de l’espace public où il n’y a plus de cabines téléphoniques, de panneaux d’affichage. Il faut travailler sur le civisme et les bonnes pratiques entre les deux roues »

    C’est à ce moment que des riverains du projet de construction d’un immeuble par Boyugues Immobilier à l’emplacement de deux pavillons ont posé la question de son alignement sur les autres habitations, afin d’améliorer la circulation des piétons sur ce trottoir étroit. «Cette voie appartient au département. J’ai donné un avis pour améliorer ces conditions de passage des piétons » a-t-il indiqué en précisant que la ville ne s’est pas opposé au déclassement d’une partie du terrain (qui permet cet alignement) en laissant entendre  que tout défend du département. «Si on peut trouver une solution pour améliorer la circulation des piétons, je le ferai. Et si cette voie départementale était rétrocédée à la commune je la requalifierai. Mais j’ai un désaccord avec le département sur ce point par rapport aux coûts des travaux !». Un riverain insiste tout de même : « Pourquoi n’y a-t-il pas alignement ? » - « Je vais regarder cela de très prés ! ». Un autrre riverain s’inquiéte du projet de supérette bio au rez-de-chaissée avec ses poubelles, son aire de livraison : «Le projet envisagé par Intermarché ne se fera pas. On s’oriente vers une activité qui ne générera pas les mêmes nuisances ». Du coup les échanges se sont orientés vers les nuisances de l’activité d’Intermarché avec ces camions de livraisons qui arrivent dés 5H30 du matin, et ses cartons et cageots sur les trottoirs.

  • SOLIDARITE : A VANVES, LE DEPARTEMENT DU 92 MONTRE SON UTILITE

    En quelques chiffres, en présentant un extrait du rapport d’activités des services solidarités du Conseil Départemental au Conseil Départemental, Patricia Kazan, maire adjointe aux affaires sociales a démontré l’utilité des départements que le gouvernement veut supprimer dans la petite couronne dans le cadre de la réforme territoriale du Grand Paris, tout comme l’ont montré les inondations et l'épisode neigeux.

    Ainsi les assistantes sociales de l’espace Départemental de l’aide social (EDAS) ont reçu à Vanves, 836 personnes. Et ont accompagnés 62 situations dans le cadre de la procédure d’expulsion.  345 RSA Vanvéens sont suivis et aidés, 43 ont reçu des subsisdes du Fonds solidarité logement. La PMI a reçu 432 enfants en consultations, vacciné 787 enfants, et 82 familles en entretien.

    Elle a indiqué que 47 enfants en situatin préoccupante avaient été  suivis, 5 signalés au Procureur de la République, 24 Jeunes  en AMO et 15 en ASO. Enfin, Vanves compte 360 bénéficiaires de l’APA, 1300 handicapés suivis et pris en charge par la MDPH (Maison Départementale des personnes handicapés) UN département qui organise avec l'Institut des Hauts de Seine, Giga Seniors tous les deux ans (sa directrice avec I.Debré sur la photo). 

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : BEAUCOUP D’ELUS PENCHENT POUR UNE METROPOLE REGION

    «Qui sera capable de faire à notre place, tout ce que nous réalisons, tout ce que nous investissons comme les Hauts de Seine» s’interrogent nos conseillers départementaux comme Isabelle Debré en citant, comme Patrick Devedjian,  la voirie (770 M€), les collèges (plus de 840 M€ de travaux), la rénovation urbaine (290 M€ en 15 ans), le soutien aux projets communaux, grâce aux contrats de développement passés avec les maires (264 M€ investis depuis 2011), deux équipements majeurs comme la Seine Musicale, l’U ARENA….Pourquoi remplacer une institution qui fonctionne bien par une nouvelle entité qui fonctionne mal  

    La plupart se prononce pour une métropole à l’échelle régionale avec des compétences stratégiques, avec une lisibilité internationale, avec une gouvernance élue au suffrage universel.  « Ce qu’il faut aujourd’hui, c’est renforcer ce qui marche, et donc renforcer la décentralisation. Le rapprochement Yvelines/Hauts-de-Seine qui est opérationnel depuis 2 ans, va dans ce sens. Certains de nos services (comme la voirie) ont déjà fusionné, et nous réalisons de nombreux groupements de commandes, pour des économies d’échelle importantes.  Nous apportons la preuve qu’on peut faire des réformes simples, audacieuses, connectées avec le réel, sans avoir besoin d’inventer des usines à gaz comme les EPT, et sans faire dépenser un centime de plus au contribuable» explique Patrick Devedjian

    Son collégue des Yvelines, Pierre Bédier a même donné son schéma : L’organisation d’une zone dense répartie en 4 entités à la fois départementales et intercommunales avec un panel de compétences fortes, complémentaires. Avec des communes libres de se regrouper dans un périmètre et pour des compétences librement consenties, et la possibilité de fusions volontaires de communes et de départements.

    En tous les cas, il va être beaucoup question du Grand Paris avec la grande réunion publique du 31 Janvier à la Seine Musicale des défenseurs des départements, et la grande conférence des territoires du Grand Paris le 14 Février