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collèges - Page 2

  • LA RENTREE SCOLAIRE A VANVES : COLLEGES SECTORISES ET LYCEES NUMERISES !

    C’est la rentrée scolaire pour plus de 4650 jeunes de 3 à 20 ans dans les établissements scolaires à Vanves : Plus de 2000 enfants dans les 6 écoles maternelle ( 786 élèves pour 31 classes, soit une moyenne de 25,3 par classe) et 6 écoles élémentaires  (1289 élèves pour 49 classes soit une moyenne de 26,3 par classe) de Vanves, prés de 2500 élèves à Michelet dont 650 collégiens, 1300 lycéens,  500 étudiants de classes préparatoires, prés de 500 collégiens au collège Saint Exupery, plus de 350 élèves au LEP Dardenne….  

    Si l’événement de la Rentrée 2018 a été est le retour à la semaine de 4 jours pour les écoles maternelles et primaires,la Rentrée 2019 est marqué par la nouvelle sectorisation des collèges à Vanves décidée par le Conseil départemental des Hauts de Seine en concertation avec la ville de Vanves «L’objectif principal : rééquilibrer progressivement les effectifs au sein des deux collèges vanvéens, tout en tenant compte de la distance à parcourir par les collégiens. Le constat est sans appel et les chiffres sont là pour en témoigner : d’une capacité identique de 600 élèves, le collège Saint-Exupéry ne comptait que 472 inscrits pour l’année scolaire 2018/2019, contre 623 élèves pour le collège Michelet. La solution proposée par le Conseil départemental pour faciliter l’organisation pédagogique des deux établissements a été de transférer l’équivalent d’une classe du collège Michelet vers le collège Saint-Exupéry. Les futurs collégiens, scolarisés en 6e à la rentrée 2019, ainsi que les nouveaux arrivants sur la commune quel que soit leur niveau scolaire (entrée en 5e, 4e et 3e), sont concernés par ce nouveau découpage en fonction de leur lieu de domicile» expliquait on tant du côté mairie que du conseil départemental.

    Un autre événement concerne les lycées d’enseignement général Michelet et professionnel Louis Dardenne à la suite de la réforme de Jean Michel Blanquer, ministre de l’Education. Elle  entre en vigueur pour les 1ére et les 2éme et a conduit à renouveler entièrement les manuels soit 9 pour les 1ére et 7 pour les 2éme. « Nous avons décidé d’instituer la gratuité pour tous intégralement financé par la Région, car cela aurait coûté aux familles 270 € en moyenne. Et nous avons profité de cette opportunité pour proposer de passer au 100% numérique avec des manuels numériques -  50% des lycées d’enseignement général ont accepté,  sachant que pour les LEP c’était obligatoire, soit 330 établissements au total pour la Rentrée 2019» indiquait Valérie Pécresse président de la Région Ile de France lors de sa conférence de rentrée le 28 Août dernier. Ainsi le LEP Dardenne a dû faire le choix de passer aux manuels numériques sur tablettes, ce qui n’est pas le cas du lycée Michelet qui a préféré le renouvellement des manuels en papier. Ce qui n’est étonnant car « ce sont les lycées des quartiers les plus populaires qui ont été demandeurs, c’est-à-dire qui en avaient besoin, les autres étant plus réticent à sauter le pas du manuel numérique» selon V.Pécresse, car encore attachés au papier et à l’écrit, ainsi que leur passé prestigieux. Un seul regret : Que l’expérimentation des premiers cours à 9H au lieu de 8H ne concerne ni Michelet, ni Dardenne

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    SECTORISATION/COLLEGES : Enfin, le département des Hauts de Seine a décidé, lors des sa commission permanente, lundi dernier de modifier les secteurs de recrutement des deux collégesde Vanves (Michelet, Saint Exupery) comme c’est le cas aussi dans d’autres communes comme  Rueil-Malmaison, Antony, Asnières, Bagneux et Gennevilliers. Il s’agit d’équilibrer les effectifs entre les collèges et éviter des bouleversements dans l’organisation pédagogique des collèges. Car dans le cas de Vanves, tous les parents demandent bien sûr Michelet qui est en sur-effectif par rapport à Saint Ex, évidemment moins prestigieux aux yeux des parents, mais dont l’équipre pédagogique remarquable, tient bien la barre. Mais ils craignent qu’en faisant entrer leur progéniture au collége aint Exupery, il ne pourra pas intégrer Michelet lorsqu’il arrivera au Lycée

    GRAINES DE CINEASTE : Timothée Desouliére,  un jeune vanvéen de 13 ans vient de se faire remarquer sur l’Instagram de la ville de Vanves #vanves pour un clip ou un court métrage dynamique et créatif tourné entièrement dans la commune dénommé le «bus». Une course poursuite d’un jeune pour rattraper un bus qu’il rate, illustrant parfaitement bien, 40 ans après un grand sucés du cinéma français « Elle court, elle court la banlieue » avec Jacques Higelin, notamment à l’époque où l’on fustigeait le « boulot-dodo-métro ». Mais ce n’est pas tout car Thimothée ne fait pas seulement de belles photos... Il a aussi créée une chaîne Youtube et réalise quelques courts métrages bien sympas et créatifs ! Allez-voir ses autres courts-métrages sur sa chaine Youtube : https://bit.ly/2BF2pKi

    STADE VANVES/FOOTBALL : L’équipe première de football du Stade de Vanves a été battue par  Neuilly 4 à 2 dimanche dernier. «Nous avons grillé un joker sur un match à notre portée, évolution du score: En première période Neuilly prend l'avantage, puis un second but avant la fin de la première mi-temps. En début de seconde période nous réduisons la marque sur un coup de pied arrêté. Neuilly aggrave le score suite à une erreur d'un défenseur. Nous revenons à nouveau au score 3 à 2. A force de «pousser» on se découvre, s'en suit un dernier but pour l'adversaire. Conclusion il faut toujours en faire plus, pour cela il n'y a que le travail aux entraînements» commente Jean Claude Vignal, président de la section  football. Reprise du championnat le 17 mars

  • PREMIERE QUESTION ORALE A LA PREMIERE SEANCE DE QUESTIONS AU GOUVERNEMENT DU DEPUTE DE VANVES

    Finalement, Gabriel Attal, le député de Vanves ne s’en est pas trop mal sortit Mercredi dernier puisqu’il a eu l’occasion de poser sa première question orale lors de la première séance de questions au gouvernement. Pas évident dans cette cage aux fauves, mais il a été formé à bon école alors que durant la précédente législature, il rédigeait les réponses de la ministre de la santé Marysol Touraine dont il était le conseiller technique, sur son smartphone en direct. Il n’a pas eu besoin de lire sa fiche comme certains de ses collégues ou ministres, ni commis un lapsus comme le premier Ministre qui l’a félicité par un petit mot pour son aisance et la clarté de ses propos lorsqu’il a posé sa question au ministre de l’éducation en saluant « les 700 000 bacheliers qui ont reçu ce matin leurs résultats, et pour remercier leurs enseignants de leur engagement tout au long de l’année » suscitant beaucoup d’applaudissements.

    « L’école est un lieu formidable d’innovation, de dépassement de soi, de réussites individuelles et collectives. Mais c’est aussi un lieu où se nouent des inégalités, qu’elles concernent la maîtrise des fondamentaux à l’entrée en sixième ou des 100 000 jeunes qui quittent chaque année le système scolaire sans qualification.Les Français nous ont donné mandat pour agir, et vous avez fixé un cap et une méthode, celle de la confiance et de l’intelligence collective, parce que l’école n’a pas besoin d’une énième grande loi de refondation, mais d’initiatives innovantes, proches du terrain. C’est un travail de longue haleine qui va nous occuper collectivement et dont le Premier ministre a défini le cadre hier, à l’occasion de sa déclaration de politique générale. Toutefois, d’ores et déjà, vous avez mis l’école en mouvement.Dès la prochaine rentrée scolaire, les classes de CP seront dédoublées dans les réseaux d’éducation prioritaire renforcés. Dès la prochaine rentrée scolaire, les classes bilangues seront rétablies et l’enseignement du grec et du latin sera renforcé dans tous les établissements. Dès la prochaine rentrée scolaire, les collectivités pourront mieux adapter l’organisation des rythmes scolaires, en lien avec l’ensemble des acteurs de leur territoire. Dès la prochaine rentrée, enfin les collégiens bénéficieront d’un accompagnement après la classe, parce que nous savons que les devoirs sont indispensables à l’excellence de l’apprentissage et qu’en même temps ils peuvent donner lieu à des inégalités sociales, scolaires, ou à des problèmes dans la famille ». Ce qui ne l’a pas empêché d’être interrompue par un commentaires du genre « c’est la question ou la réponse » avant justement dela poser : « comment allez-vous mettre en place le dispositif « Devoirs faits » que vous avez récemment annoncé ? Sachez, en tout cas, que l’ensemble des parlementaires de La République en marche seront à vos côtés pour soutenir votre action nécessaire ».

    Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation, ne s’est pas trop mal  tiré  d'un exercice redouté des novices, sans être interrompue par des «blablabla» ou «affligeant» : « Merci, monsieur le député, d’avoir rappelé les mesures concrètes qui vont s’appliquer dès la rentrée. Elles sont importantes, et elles doivent produire leurs effets sur les élèves, leur famille et sur toute la société française.L’une d’entre elles, vous l’avez rappelé, s’appelle « Devoirs faits ». L’expression est significative. D’abord, du fait que nous avons voulu une mesure visant à la qualité pédagogique : il faut que les élèves fassent des exercices par eux-mêmes, en dehors des heures de cours. C’est une question qui a souvent été posée dans le passé, sans réponse très claire. Deuxièmement, c’est une mesure de justice sociale : on sait bien que les devoirs à la maison peuvent accentuer les inégalités, toutes les familles n’étant pas dans la même situation à leur égard. Nous avons réussi à concilier ces deux aspects grâce à cette mesure qui consiste en un soutien scolaire à l’intérieur de l’école, à l’intérieur des collèges.Vous l’avez dit, nous pourrons la proposer dès la rentrée prochaine dans les collèges, aux élèves volontaires et à leur famille. Nous le ferons en mobilisant d’abord, au moyen d’heures supplémentaires, les professeurs, qui superviseront le dispositif. Nous mobiliserons aussi les assistants d’éducation : c’est le début d’une réforme touchant ces agents, dont le rôle sera toujours plus important à l’avenir et qui sont le vivier de nos futurs professeurs. Nous mobiliserons également 10 000 volontaires du service civique, au titre de ma compétence sur la jeunesse et la vie associative. Enfin, nous mobiliserons bien entendu les collectivités locales et les associations, qui font déjà beaucoup en la matière et auxquelles nous ferons toujours plus appel.Notre but est le progrès de tous les élèves, avec la qualité pédagogique et la justice sociale»

    Ce jeune député des Hauts de Seine devrait s’intéresser à une initiative lancée voilà presque 30 ans par le Conseil Départemental des Hauts de Seine  lorsqu’il était dirigé par Charles Pasqua. Il avait lancé tout simplement des études dirigées avec le même objectif et le souci «d’apprendre à apprendre» à ses collégiens, tout en leur permettant de faire leurs devoirs dans leur établissement scolaire.