Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

VIE LOCALE ET REGIONALE - Page 94

  • NOEL A VANVES : DES COMMERCANTS INQUIETS

    Nos commerçants font grise mine selon l’enquête de l’observatoire des commerces  à la veille des fêtes : 7% seulement pensent que leurs clients consommeront plus que l’an passé, 14% parmi les plus jeunes. Les consommateurs de leur côté, déclarent  vouloir consommer autant à 57%  alors que 47% (contre 54% en 2009) envisagent de réduire leurs achats de Noël, et même à devoir y renoncer pour 11% (14% en 2009). Bonne nouvelle pour les commerçants vanvéens, l’intention d’achat dans les commerces de proximité a bondit de 5 points par rapport à 2009 soit 76% des français dont 81% de plus de 50 ans. Cependant les fêtes de fin d’année ne représentent pas une part importante du chiffre d’affaire annuel des commerçants de proximité (52% en région parisienne contre 63% en France).

    Cette enquête fait aussi le point sur l’insécurité et le commerce, qui fait l’objet d’une campagne de prévention commune à la préfecture des Hauts de Seine et les deux chambres consulaires (Commerce et Industrie et Métiers) : Le niveau d’insécurité dans les commerces est peu ressenti et peu vécu. Seuls 20% des commerçants estiment que leur situation s’est dégradée dans leur quartier, 25% en Ile de France où les commerces de détails et métiers de bouches sont les plus concernés par les actes de violences. Ceux qui suscitent le plus d’inquiétude sont le vol (57%), le cambriolage (54%), le braquage (38%), les insultes verbales (36%), les graffitis (31%). 55% ont pris des mesures spécuifiques pour protéger leur magasin : l’alarme à 74%, le rideau métallique (44%), les caméras de vidéosurveillance (41%).

  • LES RENDEZ-VOUS DE CETTE SEMAINE : REGIONAL ET TERROIRS

    La fin de la semaine dernière a été marqué par les obséques de Renée Roche, épouse du maire de Vanves entre 1965 et 1980, à l’église Saint Remy, vendredi dernier, en présence de nombreuses personnalités vanvéennes toute tendance confondue venus entourer la famille dont Bernard Roche qui a rendu un hommage émouvant à sa mére, avec à ses côtés Daniel Roche. C’est toute une page de l’histoire de Vanves qui s’est tournée ce jour là.

    Le lendemain, la section PS de Vabves organisait une petite fête dans sa permanence du 82 rue Sadi Carnot. Guy Janvier, Anne Laure Mondon et Fabian Estellano ont parlé de différents thémes qui les ont préoccupés et fait l’objet de tribune dans Vanves Infos : Le logement social en exprimant leurs craintes concernant la loi DALO et en soulevant le problème des logements en état médiocre qui sont très élevés dans la ville, les associations en rappelant qu’ils militent pour que la salle Panopée soit le plus ouverte à celles-ci, l’accessibilité pour laquelle ils ont considérés que Vanves est un triste exemple en la matière, la fiscalité et la crise en mettant en avant l’économie sociale et solidaire, en iontégrant notamment des clauses sociales à certains appels d’offres, l’éducation, le commerce…Un pot a conclu cet après midi studieuse auquel ont participé de nombreux socialistes.

    Plusieurs événements vont marquer cette semaine : la réunion sur le projet de métro automatique de la Société du Grand Paris à Issy les Moulineaux mardi à 20H, le retour de la neige peut être Mercredi, la séance plénière sur le budget 2011 de la Région auquel participera Bernard Gauducheau qui devrait en avoir jusqu’à Samedi, et surtout le 6éme village des terroirs sur la place de la Répblique qui démarre à 19H Vendredi prochain.

     

    Mardi 14 Décembre

    A 19H à l’Entrepôt (Paris XIVéme) : Présentation du livre-CD poétique de Pierre Meige « l’Ame de Paris » et de « Désitrs Pastels » avec des textes écrits par Sarah Mostrel sur une musique de Piere Meige.

    A 20 H à Issy les Moulineaux (PACI) : Réunion sur le projet du métro du Grand Paris projet concurrent d’Arc Express, défendu par la Société du Grand Paris dont le président est André Santini

    Mercredi 15 décembre
    A 9h au Conseil Régional :
    Début de la session budgétaire pour une assemblée régionale qui devrait siéger jusqu’au week-end. 
    Du vendredi 17 au dimanche 19 décembre
    Place de la République
    : 6ème village des terroirs avec à 19h, l’ouverture officielle avec 90 participants qui ont payé leir stande de 90 à 305 € selon les tarifs décidés par le dernier conseil municipal, seuls les commençants sédentaires de la place et des alentours bénéficient de la gratuité.  
    Samedi 18 décembre

    A 14H à la paroisse Saint Remy : Journées de l’Amitié

    A 16H à l’Hôtel de ville : Remise des prix du Concours de lettres au Pére Noël

    A 17H à St Remy : Créche vivante des enfants  racontant le mystére de la Nativité
    A 20h au gymnase André Roche : match de Basket Vanves-Tourcoing

    Dimanche 19 décembre

    A 11H à Saint Remy : Journée de l’Amitié

  • AU FIL DU QUOTIDIEN DE VANVES : DU PRIX NOBEL DE LA PAIX XIAOBO AU COIFFEUR BOSCHER SURTAXE !

    LIU XIAOBO : Ce n’est pas un vanvéen, ce n’est pas quelqu’un qui a fait quelque chose  à ou pour Vanves. Mais c’est l’homme qui aurait dû recevoir aujourd’hui, comme chaque 10 Décembre, lors de cette cérémonie prestigieuse, le prix Nobel de la Paix. Car le Comité Nobel a choisi, avec courage contre les pressions du régime chinois, ce dissident politique emprisonné, auteur et professeur d'université, condamné l'an passé à 11 ans de prison pour avoir participé à l'écriture de la Charte 2008. Un texte qui plaidait en faveur d'une démocratie multipartite et du respect des droits humains. Et si ce blog de Vanves Au Quotidien soutient ce dissident, c’est justement parce que les autorités chinoises n'ont cessé d'exprimer leur colère et de faire pression sur les autres États pour organiser le boycott de la cérémonie d’aujourd’hui.

    COIFFEUR SURTAXE : Ce n’est pas tellement le cas à Vanves ! Malgré un appel à boycotter la musique et à faire signer une pétition contre la hausse des redevances à verser  à la Sacem et à la Spré, deux sociétés chargées de percevoir et répartir les droits versés aux artistes et producteurs, pour avoir le droit de diffuser de la musique dans les salons de coiffure.

    Laurent Boscher qui est le patron de plusieurs salons à Vanves (Ty Coif, Métamorphoses…) n’a pas, pour l’instant, réagit, tout simplement parce que ce boycott est parti de l’Est de la France en Alsace, et commence tout juste à se répandre sur le reste de la France. « Ce sont des clients qui m’en ont parlé cette semaine ! » reconnait il en indiquant que des salons comme les siens paient à la Sacem  de 200 à 250 €  par an pour la radio, 300 € pour les CD et encore plus s’il y a la TV, et à La Spré, 20/30 € par an. De son côté, la Fédération Nationale de la Coiffure (FNC) indiquait que la Spré airait l’intention d’augmenter sa redevance de 47 € par salarié employé. La Sacem aurait expliqué, comme à son habitude (hypocrite), y être «totalement étrangère», les redevances de droits d'auteurs de son répertoire « n'ayant pas été modifiées», contrairement à la rémunération équitable gérée par la Spré, qu’elle perçoit au nom de celle-ci. Laurent Boscher reconnait « que la redevance de la Spré ont augmentés jusqu’à 80 à 90 €.  Mais s’ils le font par salarié,  je ne sais comment nous allons nous en sortir ! On ne fait pas la gréve,  mais c’est abuser quand même de doubler ou tripler. On ne mettra plus de musique et on fera chanter les salariés » annonce t-il avec sa petite pointe d’humour.

     

    PREFACE : « Ils ne sont pas responsables politiques... Ils ne sont pas journalistes... Ils ne sont pas sociologues... ... mais tout simplement de jeunes actifs en quête d'authenticité et de courage dans une société à rénover. Âgés de 25 à 32 ans, diplômés de grandes écoles et d universités renommées, l'un est salarié dans une PME en province, le second est cadre supérieur dans le privé, un autre est caissier dans la grande distribution malgré un bac +5, le dernier travaille dans le secteur public. Quatre profils, quatre regards... une vision, un idéal ! Forts de ces parcours différents, ils livrent en 22 thématiques leur diagnostic des principaux maux dont souffre la France. Le discours, rude et atypique pour des jeunes de cette génération, revigorera tous ceux qui ont perdu la force ou l'envie de s exprimer. Un appel à se relever ». Voilà le livre qu’a préfacé Isabelle Debré, sénateur et 1ére Maire adjoint de Vanves : « La France ! Regards croisés de quatre jeunes sur leur pays » de Pol et Ronan Datausse et Bertrand et Vincent Mathieu (Edt Persée).  « C’est bien moins pour donner la saveur du défaitisme ambiant qui touche l’hexagone que pour : proposer un regard décapant sur notre modernité, qu’elle soit médiatique, politique, professionnelle, sociale ou artistique ; mettre en avant des idées pour avancer tous ensemble vers une France unie capable de répondre aux attentes d’un monde en perpétuel mouvement; pousser chacun d’entre nous à se prendre en main pour avancer, sans se contenter du minimum. Il s’agit donc de relever la tête, de regarder en face les défis qui incombent à notre pays et donc à chacun des citoyens qui composent cette entité territoriale qu’on nomme l’hexagone ».

     

    LENDEMAIN DE NEIGE : Nos hommes politiques nationaux sont vraiment détestables entre celui qui rejette la pagaille sur les journalistes – heureusement qu’il a un chauffeur – et l’autre qui recherche le lampiste chez Météo France à propos d’intémpéries sur lesquelles l’homme ne peut rien…et surtout prévoir…au millimétre prés la neige qui va tombre dans ce cas. Pitoyable. Heureusement qu’il y a des élus de proximité qui essaient de faire ce qu’ils peuvent à Vanves comme ailleurs. Mais hier après midi, c’était vraiment la pagaille qui s’est prolongé jusqu’en début de soirée. La rue de la République était bloquée par un poids lourd, à tel point que la circulation y était interdite. Une plaque de verglas ralentissait encore la circulation Antoine Frataccci dans le sens de la descente au moment du journal de 20H. La côte de la rue Victor Hugo était impraticable, mais certains petits malins ne prenaient pas en compte le panneau d’interdiction d’emprunter cette voie, et s’engageaient, très vite découragés. Même le lendemain matin, certains automobilistes ne s’y risquaient pas. Par ailleurs les trottoirs étaient devenus glissants et boueux par certains endroits, mais le soleil était revenu faisant oublier les soucis d’hier. Enfin, beaucoup ont dormi dans leurs lieux de travail, après avoir diner dans le petit restaurant du coin.