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DEMOCRATIE LOCALE - Page 5

  • ATTAL LE MINISTRE DE VANVES AUX PREMIERES LOGES DU GRAND DEBAT AVEC LES JEUNES

    Alors que jusqu’à jeudi, beaucoup d’observateurs se posaient la question de savoir où étaient les jeunes dans ce grand débat, une réponse leur a été apporté par ce dialogue de 4 h,  étonnant, à Etang sur Aroux  en Saône et Loire,  d’Emmanuel Macron avec 1000 jeunes. « Ces jeunes ont des choses à dire, sur leurs conditions de vie, d’études, comme sur tous les sujets qui traversent la société » twittait Gabriel Attal, secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui accompagnait le président de la République  avec Emmanuelle Wargon, co-animatrice du grand débat, et le ministre de l’Education nationale Blanquer. « Cette réunion est importante parce qu'elle a permis à beaucoup de jeunes de se projeter, de se dire qu'ils ont aussi leur place » 

    Ce ministre vanvéen, a toujours considéré que « chaque jeune est incité à s’y exprimer, sur tous les sujets ! On n’est pas au restaurant où il y aurait un menu enfant d’un côté, et la carte pour les adultes de l’autre » expliquait il  récemment dans les médias. « L’implication des jeunes ne doit pas se cantonner aux seules questions relatives à l’université, au service national universel, mais bien s’étendre à l’ensemble des sujets évoqués, de la transition écologique à la fiscalité, en passant par les enjeux institutionels et citoyens ». Et d'ajouter : «Quand on est jeunes, on grandit dans un environnement extrêmement anxiogène. Emploi, écologie, terrorisme... Ce qu'il faut, c'est répondre aux angoisses des jeunes !» .

    C’est pourquoi, depuis le lancement du Grand Débat National, il reste attentif à la participation en ligne et canaux numérique de ses jeunes, mais aussi à mobiliserles différentes associations de jeunesse, lycéennes, étudiantes, MJC…. Il a même annoncé que les membres des conférences citoyennes qui se tiendront fin mars seront désignés par titrage au sort sur les listes téléphoniques, et que parmi ces membres, un quota serait réservé aux 15-25 ans

  • ENFIN A VANVES UNE REUNION DU GRAND DEBAT NATIONAL

    Rien d’étonnant à Vanves, comme dans la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy), il ne fallait pas s’attendre à autre chose qu’un service service minimum pour le grand débat national, que l’ouverture d’un cahier de doléances à l’hôtel de ville. Heureusement, les marcheurs n’ont pas attendus pour prendre l’initiative, avec leur député, Florence Provendier, en organisant deux réunions à Issy les Moulineaux, dont une Lundi soir à l’hôtel Ibis (rue JJ Rousseau à 20H)  et une à Vanves le 21 Février à l’école Max Fourestier entre 19H30 et 22H30, dont le préau est le plus petit des écoles proposés pour de telles réunions, histoire d’empêcher qu'il y ait trop de monde. En tous les cas, beaucoup le pensent. 

    Ce qui n’empêchera pas les vanvéens, à l’invitation des marcheurs, de débattre sur les thématiques suivantes :

    - Comment mieux accompagner les Français dans leur vie quotidienne pour se loger, se déplacer, se chauffer ?

    - Comment rendre notre fiscalité plus juste, plus efficace, plus compétitive et plus lisible ?

    - Comment faire évoluer la pratique de la démocratie et de la citoyenneté ?

    - Comment faire évoluer l’organisation de l’État et des services publiques pour les rendre plus proches des Français et plus efficaces ? 

    «Les contributions qui émergeront des échanges seront partagées entre tous et ne seront pas labellisées En Marche» indiquent les animateurs d’En Marche à Vanves

  • GRAND DEBAT NATIONAL A VANVES : SERVICE MINIMUM ET PREMIERES DOLEANCES

    Depuis lundi dernier (et non mardi), les vanvéens peuvent venir remplir le cahier de citoyens mis à leur disposition dans le hall de l’hôtel de ville jusqu’au 15 Mars prochain. En complément, 4 permanences décentralisées pour recueillir les doléances des Vanvéens seront proposées :  Samedi 2 et 9  février 2019 de 10h-12h à l'Espace La Tuilerie sur le plateau, samedi 23 février et 9 mars de 10h-12h à l'Espace Latapie dans les Hauts de Vanves

    Le Blog de Vanves au Quotidien a demandé à quelques vanvéens, ces derniers jours ce qu’ils écriraient sur le cahier doléances de la ville de Vanves, sachant que selon le journaliste (vanvéen) Bruno Jeudy, «Macron préfère l'expression de «cahier des droits et devoirs» plutot que «cahier de doléances» car, dit-il, «ça voudrait dire qu'il y a un souverain qui pourrait donner des choses». Dés les premiéres réactions au café du commerce, c’est très clair : «Que les pensions ne soient pas amputées, qu’il revalorise nos retraites, qu’il dégréve la taxe d’habitation pour tout le monde» demande une retraitée en ajoutant « Qu’il ne nous casse pas les pieds avec des référendums, cela ne sert à rien, car les français répondent à côté de la question ». Alors qu’un actif, prenant son café considère « qu’il est nécessaire d’améliorer le pouvoir d’achat des français. Comme cela, il n’y aura pas de gilets jaunes ». Tout cela dit sur un ton légèrement excédé : « Que Macron fasse ce qu’il dit ! C’est très beau ce qu’il a promis, et va coûter 10 milliards, mais qu’il le fasse, comme devant les maires lorsqu’il a pris des engagements lors de ces débats qu’on a vu à la TV ! »

    « J’ai lu sa lettre aux Français » ajoute un autre vanvéen en listant ce qu’il écrirait sur le cahier de citoyens : « Réduire d’un tiers le Sénat et l’assemblée Nationale, remettre en vigueur les 90 km/h, baisser de 2 points la TVA, revoir les tarifs des autoroutes, car c’est un scandale ! »…  « Mais je suis heureux ! Si je veux de l’argent, une augmentation, je vais voir mon patron ! » explique son voisin, pas du tout macroniste en ajoutant : «Macron demande l’avis des Français, mais cela va changer quoi ! » - «Mais qu’ils arrêtent de fermer les quais (de Seine), de mettre des vélos partout ! Cela devient infernal ! » ajoute un artisan vanvéen (qui doit circuler beaucoup dans Paris)

    Une habitante du Plateau constate « qu’on parle beaucoup de villages qui perdent leurs services publics, mais dans une ville comme Vanves en région parisienne, dans un quartier, comme le Plateau, où il y a du monde, on supprime un bureau de poste ! ». D’ailleurs, sur la commune, beaucoup font état, comme dans les réunions de quartier, de revendications très terre à terre : « J’écrirais «revoir le carrefour du Clos Montholon», car c’est l’enfer avenue de la Paix pour passer le pont, avec Lidl et le chantier du métro ! » tonne un habitué etc…