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  • VANVES AU FIL DU QUOTIDIEN : C’EST VRAIMENT NOEL !

    C’est vraiment Noël ! On a eu notre village de Noêl, la neige de surcroît qui est bien tombée donnant vraiment cette impression de fête, ce côté magique des flocons qui blanchit nos rues, avec cette atmosphére ouattée qui s’installe.Il fallait ajouter  la créche, vivante de surcroît, avec ce beau spectacle offert par les jeunes des paroisses de Vanves samedi en fin d’après midi à Saint Remy, et ses chants de Noël… pour être déjà dans l’atmosphére. Cette semaine qui a débuté sous un air de Noël se poursuivra avec le lancement de « Voisins Solidaires », puis les messes de Noël mais aucune à minuit comme le veut la tradition, à 22H30 à Saint  Remy, et à 23H chez les Bénédictines, pour les plus prés dela tradition.

     

    LES MESSES DE NOEL

    Le 24 décembre : 18H30 à St Remy (familles), 20H à Saint François (avec créche vuivante en veillée), 22H30 à Saint Remy ; le 25 Décembre : A 10H à Saint François et à 11H15 à Saint Remy

    Chez les Bénédictines de Vanves : Le 24  à17h30 : 1° vêpres de la Solennité de Noël ; à 21h45 : Vigiles de Noël  et à 23h : Messe de la Nuit – Le 25  à 8h : Laudes de Noël ; à 10h30 : Messe de Noël et à 17h30 : 2° Vêpres de Noël

     

     

    NOEL DES VOISINS SOLIDAIRES ET OPERATION GRAND FROID

    Comme nous l’indiquions voilà quelques jours, à la suite du Conseil Municipal, la municipalité lance officiellement à 19h ce soir, à l’hôtel de ville, le « Noël des voisins ». Pour promouvoir tout au long de l’année la convivialité liée à la Fête des Voisins, la Ville de Vanves, en accord avec les instances de la participation locale concernées, a adhéré au programme « Voisins solidaires », dont le but est de mobiliser les habitants en leur proposant de développer au quotidien les solidarités de proximité et les bonnes pratiques de voisinage. Pour Noël, le principe en est simple : il s’agit de proposer à son/ses voisin(s) de partager un moment de fête et de convivialité. Décorer son hall d’immeuble, offrir un cadeau à son voisin, lancer un concours du plus beau sapin...

    Mais ce n’est pas tout, car l’initiateur de la fête des Voisins a lancé l’hiver solidaire avec « l’opération Grand Froid » : Lorsque les températures chutent, ce sont souvent les personnes âgées et plus vulnérables qui sont le plus touchées. En complément du dispositif de veille sanitaire, Voisins Solidaires propose des actions simples : sortir faire les courses, acheter des médicaments, promener le chien, prendre des nouvelles régulièrement, veiller à ce que leur systéme de chauffage fonctionne correctement, déblayer les entrées enneigées de leur pavillon, assurer le remùplacement des bouteilles de gaz etc… 

    « Les services sociaux font un travail remarquable au quotidien. Mais il est indispensable de mobiliser aussi les habitants pour renforcer le lien social. Il fait créer la dynamique, donner un  cadre, valoriser les actions existantes pour développer les solidarités de voisinage » déclare Atanase arifan, fondateur de laz fête des Voisins qui sera présente ce soir à la réunion organisée par  Bernard Gauducheau et son adjointe Françoise Saimpert. Il a d’ailleurs mis à disposition auprés des mairies et ds bailleurs partenaire ou en téléchargement gratuitement sur le site www.voisinssolidaires.fr un kit « Grand Froid ».

     

    TERRAIN SYNTHETIQUE : VERS UNE AIDE DE LA REGION

    Une des actions lancée par la Région à l’occasion du vote de son budget 2011 devrait intéressser notre commune. Il s’agit du Plan terrain synthétique à l’image du Plan Piscine, notamùment à l’occasion du projet de terrain synthétique sur le terrain annexe de football dont les travaux devraient commencer au printemps 2011. La Région a décidé de mettre en place un dispositif nouveau pour réaliser ces terrains de grands jeux ou ces plaines de jeux en inscrivant 2000 € sur son budget. L’explication est simple : Le nombre de licenciés de football recensés a augmenté de 8% entre 2001 et 2008 en Ile de France. Face à cette croissance, et parce que des progrés environnementaux ont été accomplis en matière de surface de jeux synthétiques, de nombreuses collectivités locales comme Vanves étudie la possibilité de créer un terrain ou une plaine de jeux synthétique ou la transformation de terrains existants, ceci dans un contexte foncier complexe, ciomme c’est le cas à Vanves

  • VANVES SOUS LA NEIGE ET LE FROID MALGRE LE RECHAUFFEMENT DE LA PLANETE

    Et si on s’amusait à se faire peur alors que le village des terroirs (sur lequel nous reviendrons) se déroule actuellement sous quelques flocons de neige et un froid qui frappe le nord de la France déjà depuis quelques semaines, promettant un Noël et un hiver rigoureux. Vanves et la région Ile de France devraient connaître quelques surprises selon nos spécialistes, avec le réchauffement climatique si rien n’est fait dans un petit siécle, durant le village des terroirs de la mi-décembre 2110. 

     

    Si rien n’est fait, à la fin du XXIéme siécle, les températures auront augmentés de 2 à 5° selon le scénario du Hadley Center. Pour Vanves comme pour Paris et ses 1271 consoeurs franciliennes, cela signifiera un climat équivalent à celui en vigueur dans le sud de l’Espagne. « Comme l’ont montré les épisodes de canicules, particulièrement en 2003, nos villes ne sont pas adaptées à ces vagues de chaleur » expliquent nos spécialistes. Ces quelques petits degrés de plus transformeraient le climat de notre ville en celui d’une commune andalouse, « telle que celle de Badajoz, prés de Cordue, aujourd’hui caractérisée par des étés brûlants et arides » explique ce scénario. Peut être y aura-t-il une toute autre végétation dans le parc F.Pic : Des palmiers, des cactus etc…avec une mer de sable plutôt que nos chères pelouses. Rappelez-vous la canicule avec ses 15 000 victimes… Dans des périodes aussi extrêmes, nos villes sont encore plus vulnérables : « A l’époque les nuits dans l’agglomération parisienne affichaient 9° C de plus que celles des communes de la périphérie ».

     

    Vanves pourrait vivre des événements extrêmes comme la tempête de 1999, des pluies ou des sécheresses ou des vents plus intenses, sans compter des inondations pour les communes riveraines de la Seine. « Il faudra mettre de côté plus d’argent pour la prévention et la réparation des dommages qu’on avait l’habitude de le faire. L’Ile de France est un centre régional extrêmement imperméabilisé, ce qui fait qu’elle est à la merci d’une crue comme en 1910 mais qui, avec les mêmes précipitations,  monterait de 70 cm plus haut, avec une perte de l’ordre de 10% de son PIB, et surtout 30 milliards d’euros de dégâts. La question n’est pas de savoir si cela va arriver mais quand ? On voit bien qu’on n’a pas l’habitude de ce genre de phénomènes, vivant dans un climat tempéré, comme dans d’autres pays comme les USA  qui connaissent un hiver très rigoureux, des ouragans ».

     

    1° de + c’est comme si les éco systémes remontaient de 200 km vers le Nord ou descendaient de 250 m en altitude. En plus, il faut que la pluie, la chaleur… arrivent au bon moment. « En 2006, Mai, Juin, Juillet ont été plus chaud et sec, alors que c’est à cette période que les plantes ont besoin d’eau, et Août avec 1° plus froid et de la pluie, ont provoqué une baisse des récoltes de légumes en Europe entre 5 et 50%. Ce qui a eu ensuite un effet sur les prix. Il faudra faire la révolution verte, en changeant les pratiques agricoles pour avoir des associations d’espèces plus robustes… et qui rendent aussi l’agriculture moins émettrice d’effet de serre et moins consommatrice d’énergie. Et ce n’est pas la substitution qui régle le problème. Il faudra mettre en place des méthodes de productions assez drastiquement modifié, relativement vite, sur des bases scientifiques qui n’ont pas assez été développé jusqu’à présent (agriculture intégrée, intensive, du bio intensif…) ».

     

    Beaucoup de spécialistes expliquent que ces changements climatiques pourraient être source de vives tensions, mais auraient aussi des répercussions économiques, notamment sur la fréquentation touristique : « 25% de touristes en moins, des milliers d’emplois supprimés ». Plus de colonies de touristes japonais à l’hôtel Mercure par exemple. Le fait que la météo soit plus ératique avec une tendance à l’assèchement de l’été et de l’automne, posera des questions sur la qualité de l’eau, l’approvisionnement de la Région Capitale dans ses périodes, la question du partage de l’eau entre l’agriculture et les entreprises, la question du recyclage des eaux usées, la question de la navigation sur les fleuves et les canaux, des centrales thermiques qu’il faut refroidir… « La Région va être amené à gérer ou piloter ou assumer ou expliciter un partage conscient des ressources entre les acteurs, là où les choses étaient implicites tant qu’il y en avait beaucoup ».

  • RETOUR A VANVES POUR SON MARCHE DU TERROIR !

    Le 5éme marché des terroirs, qui a été inauguré hier soir, a une jeune histoire qui est liée à cette nouvelle place de la République. Ce fut le premier événement qui s’y est déroulée en Décembre 2005 alors même que son réaménagement n’était pas complètement terminé. Et il a neigé pour l’inauguration alors qu’il l’avait échappé belle l’année dernière, en présence de nombreuses personnalités dont parait-il un ministre et un sénateur, les candidats aux cantonales qui siegeaient ce jour là dans leur assemblée respective ayant trouvé le temps d’y participer. Mais le maire a dû repartir tout de suite après pour l’hémicycle régional où se déroulait dans la première partie de la nuit, le vote du budget 2011 de la Région qui est intervenu vers minuit et demi.  

     

    Il parait que cemarché des terroirs et des saveurs fait parti des marchés de Noël les plus courus de la Région. Ce qui est vrai car des franciliens qui avaient passés commandes de produits auprès de l’un des 90 exposants, sont arrivés dés Vendredi matin avant même qu’il soit ouvert alors que les producteurs et artisans s’installaient. Il comportera un espace de restauration où les visiteurs pourront venir déguster les produits de ses producteurs. Contrairement à l’année dernière, les paroisses de Vanves seront de la fête, car elles ont décidé d’accompagner cet événement en organisant leurs journées d’amitiés d’Hiver à St Remy durant ce week-end qui précéde Noël,  et d’été à Saint François lors de la Braderie du Plateau en Juin. Ainsi à Saint Remy, ce sera aussi la fête dans la salle paroissiale aux côtés des producteurs rassemblés par le réseau organisateur des Pari Fernier, et des artisans d’art professionnel rassemblé par l'Archipel des Créateurs. De nombreuses animations sont prévues durant ces deux jours.

     

    VANVES ET SES MARCHES

    Cet événement nous donne l’occasion de parler du marché de Vanves, sachant que des foires locales et marchés ont marqués l’histoire de Vanves. Il s’agissait surtout de fêtes et de rassemblement avant le XIXéme siécle autour du négoce du vin, du beurre. A l’occasion de la disparition de l’abreuvoir de la place du Val (De Lattre de Tassigny) décidé en 1857 par le Conseil Municipal, un marché pour la vente aux comestibles a été crée et se tenait deux fois par semaine. Il peut être considéré comme l’ancêtre de notre marché actuel. Il a été déplacé en 1882 sous le gymnase construit pour les Sapeurs Pompiers qui se trouvait alors place de la République qui n’avait pas alors son aspect actuel. Enfin, après la construction de l’hôtel de ville actuel entre 1895 et 1898, un nouveau marché à ossature métallique est construit par l’entreprise vanvéene Deu et Forgeneuf, serrurier-feronnier en 1898, à l’emplacement du Centre Administratif et la tour d’habitation actuel. Entre les jours de marché et de foire, il sevait également de gymnase couver de lieu de répétition pour l’Harmonie Municipale. Vers 1950, il fut réaménagé à l’occasion du percement de la rue Lamartine et au déménagement du monument aux morts qui se trouvait au pied du mur de souténement du marché à son emplacement actuel le long du cimetiére. Ses abords furent agrandis pour les forains et les volants. Mais il était devenu vétuste, voire dangereux pour la sécurité, l’entretien devenant de plus en plus lourd pour les finances communales. C’est pourquoi, dés 1962, René Plazanet commença à réfléchir, à l’occasion de l’élargissement du CD 50 (Antoine Fratacci)  à un projet qui a abouti après de longues discussions avec la DDE au centre administratif actuel avec sa bibliothéque, son théâtre, au dessus du marché couvert, sous le mandat d’André Roche. Pendant les travaux, entre fin 1974, début 1975, il a été installé place de l’insurrection au niveau du square face à la poste, jusqu’à la fin 1977, inauguré courant Décembre. La suite de l’histoire est connue avec l’incendie de Mai 2000, le projet de Guy Janvier (PS) qui n’a pas été retenu par son successeur actuel, Bernard Gauducheau (NC).    

     

    RETOUR DU CONSEIL REGIONAL

    Bernard Gauducheau en a terminé avec le Conseil Régional qui a voté son budget cette nuit par 140 voix (PS-PC-EELV-FdeG-MRC-PRG) contre 66 (UMP et NC). Et il ne s’est pas attardé dans l’hémicycle qui l’a vu encore prendre la parole durant la matinée d’hier. Il a encore pris le relais de l’un de ses collégues, cete fois-ci Nicolas About, pour défendre les positions de son groupe lors du budget Transports qui a été l’un des temps fort de cette session et qui représente 1,5 milliards sur plus de 4 milliards au total. Il a insisté bien sûr sur l’urgence de répondre aux attentes des franciliens dans ce domaine : « Une région  capitale mérite une accélération de la modernisation des transports en commun » a t-il déclaré en se reférant au rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des transports en Ile de France et l’opacité qui régne tout autour. « Il ne s’agit pas seulement de mettre de grands moyens, il faut trouver les bons moyens » a-t-il asséné avec son bon sens paysan. « Il est de notre responsabilité de répondre à ces questions graves et de revoir le fonctionnement du STIF – la haute autorité des transports dans notre région – de sortir de ces baronnies technico-administratives » en se référant notamment aux entreprises publiques des transports (SNCF et RATP). « Vous nous avez parlé  d’imaginaire. Nous préférons le réalisme ».