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CHRONIQUES DES PRESIDENTIELLES A VANVES : ATTAL ADOUBLE PAR SANTINI

A lire les propos d’André Santini sur Gabriel Attal rapporté par le Figaro, certains vanvéens n’en sont pas revenus . «C’est un garçon qui a su s’imposer par son travail. Il a réussi à négocier avec moi, ce qui est une preuve d’intelligence. Il est réellement politique», confiait ce ex-député et ex-ministre qui l’a vu atterrir dans sa circonscription qui couvre sa ville voilà 5 ans.  Quel beau cadeau d’anniversaire pour cet élu vanvéen-porte parole du gouvernement qui a célébré ces 33 ans ces jours-ci.   «Les accrochages de 2017 sont oubliés, alors que Gabriel Attal devrait sans surprise briguer un deuxième mandat de député en juin prochain. Fort d’une popularité soudaine, acquise à la faveur des crises successives, sur lesquelles il a été amené à s’exprimer. Grâce aussi à la confiance du président: c’est lui qui est choisi, la semaine dernière, pour participer au JT de 20 heures de TF1 devant plus de 6 millions de téléspectateurs» remarquait le journaliste.

«En devenant porte-parole du gouvernement, en 2020, la mission semblait pourtant hasardeuse. «On m’a dit: “Dans six mois, tu seras cramé”. Ça fait un an et demi et je ne me sens pas cramé», sourit-il» ajoutait il en notant qu’il suscite quelques jalousies et irritations chez certains ténors de la Macronie. Lui qui rêvait de quitter le gouvernement pour rejoindre l’équipe de campagne comme porte parole du candidat, est obligé est de rester à son poste vu les événements  : «La crise en Ukraine a profondément changé la donne. J’ai compris que, dans ce contexte de forte inquiétude des Français et de mobilisation de l’État, on me considérait comme étant plus utile au gouvernement» confiait il au Figaro. «Ça ne m’empêche pas de défendre la candidature du président quand j’en ai l’occasion, comme tout membre du gouvernement». Cette double casquette, de «sniper» en campagne et de porte-parole du gouvernement, ulcère l’opposition remarque le Figaro 

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