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rue rené coche

  • DES TRAVAUX DE REQUALIFICATION DE RUES NECESSAIRES DANS LES HAUTS DE VANVES

    Ce début d’année a été marqué par le démarrage des travaux de requalification des rues Victor Basch et René Coche   dans les Hauts de Vanves,  comme annoncés lors d’une réunion publique le 16 Décembre dernier au café de la gare. Ils font suite à la requalification de la Villa de la Gare, l’année dernière. L’objectif dans cette zone 30, est tout d’abord, de conforter les circulations douces en améliorant les circulations piétonnes, en créant des aménagements cyclables , en renforcant l’accessibilité des PMR. Ensuited’apaiser le flux automobile. Enfin, améliorer le cadre de vie en facilitant les usages quotidiens et en végétalisant autant que possible les espaces publics. Ses travaux étaient devenus nécessaire, vu le diagnostic présenté lors de cette réunion.

    Occasion d’apprendre que la rue René coche qui a une largeur qui varie entre 10,30m et 9,90m, avec une chaussée qui mesure entre 4,60m et 5,50 m avec des trottoirs dont la largeur  varie de 2,00m à 2,50m,  Et que Victor Basch  a une largeur variant entre 15,00m et 11,70m, une  chaussée mesurant 8,00m stationnement bilatéral, et les trottoirs variant de 4,30m à 1,00m au niveau du tabac de la gare. Le diagnostic effectué par GPSO montrait, pour les deux rues, que «la couche de roulement des voies présente des signes de vieillissement avec plusieurs affaissements dans les pavés. On note la présence de rustines et de tranchées – dues aux diverses interventions des concessionnaires et des réparations de voirie».

    A René Coche, les travaux prévoient la création de plusieurs plateaux surélevés, d’une chicane à l’entrée, d’une place de stationnement pour les personnes à mobilité réduite, d’un dépose-minute ainsi que le maintien de places de stationnement. Plusieurs arbres et cyprés seront également plantés. A Victor-Basch, le trottoir du côté des numéros pairs sera élargi et le trottoir du côté des numéros impairs sera, quant à lui végétalisé. Les travaux qui ont démarré rue René qui coûteront 710 000 € devraient s’achever fin Mars. A Victor Basch, où ils se montent à 240 000 €, ils devraient s’effectuer de Mars à Avril 2024

  • UN PAVILLON TEMOIN DU PATRIMOINE DE VANVES MENACEE DE DESTRUCTION

    3 pavillons devraient être détruits ces prochains mois pour laisser place à des résidences privées, à l’angle des rues Raymond Marcheron et de la République, et rue René Coche. Mais dans ce dernier cas,  une pétition a été lancé « pour éviter de cette petite merveille architecturale de style « Art Nouveau » inspirée de l'école Guimard soit détruite, car elle est menacée par les visées d’extension immobilière du Grand Paris ».

    « Un projet immobilier prévoit la démolition de cette maison qui présente une co-visibilité avec le clocher de l'église Saint-Rémy inscrite à l'Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Cette maison figure sur la liste du patrimoine de Vanves dans l'inventaire général des monuments et richesses artistiques des Hauts-de-Seine. Elle figure aussi, suite à des démarches et un choix de la municipalité vanvéenne, dans l'inventaire général du patrimoine culturel d'Ile-de-France.

    Un lien visuel et historique existe entre le centre ancien de Vanves, le clocher d'église et cette maison » indique les auteurs de cette pétition. « Elle est l'un des derniers témoins des lotissements de la fin du XIXème siècle construits au moment de l'ouverture de la gare de Vanves-Malakoff en 1882. Elle est construite dans le prolongement du vieux centre à la même époque que la reconstruction du clocher de l'église Saint-Rémy daté de 1871 à 1874. Ces édifices (le clocher, la gare, la maison) appartiennent à une même période d'extension urbaine. Ces architectures témoignent de l'élan bâtisseur de nos sociétés au tournant du XXème siècle avec l'arrivée du chemin de fer. Elles constituent aujourd’hui le patrimoine de la ville dont l'église et son clocher restent l'élément repère, dominant les perspectives que l'on ne peut masquer ou anéantir en niant la composition urbaine de l'époque »  indiquent ils en constatant que « Malgré toutes les références faites autour de cette maison bourgeoise qui enrichit notre quartier, la mairie va autoriser la démolition de cet édifice par un promoteur, au détriment de l'histoire de notre quartier et de notre ville » et en invitant à signer leur pétition : « Ne laissons pas disparaître notre patrimoine architectural ».