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régiion ile de france

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    COMITE DE LA HACHE

    Le tweet de félicitations de Guillaume Kasparian ministre de la fonction publique à Elon Musk pour sa nomination à la tête d’un futur ministère de l’efficacité gouvernementale a suscité des réactions indignées jusqu’à la mairie de Vanves. «Félicitations pour avoir accepté ce superdéfi@elon Musk ! J’ai hâte de partager avec vous les meilleures pratiques pour lutter contre l’excés de bureaucratie, réduire la paparasse et repenser lesx organisatins publiques pour améliorrer l’efficacitédes agents publics » s’était enflammé le ministre sur X. Ce qui n’a pas été du goût de Matignon, ni de la classe politique : « On pensait que le trumpisme se limitait à l’extrême droite. On se trompait. Nous avons G.Kaparian, le Elon Musk français sans électricité » réagissait Olivier Faure 1er secrétaire du PS.   · 

    « Au delà de l'effet d'annonce, cette déclaration inappropriée trahit un surmoi managérial qui, loin d'améliorer l'efficacité et la qualité du service public, condamne celui-ci à une vision uniquement comptable.  Si les fonctions publiques doivent être réformées, c'est avec l'ensemble des parties prenantes et dans le respect des 5,7 millions agents qui œuvrent quotidiennement sur le terrain » réagissait le maire de Vanves, Bernard Gauducheau, sur un ton plus mesuré.

    Mais voilà, le conseiller régional de Vanves ne serait pas sur la même longueur d’ondes que Valérie Pécresse qui tweetait sur X : «  Un comité de la hache anti bureaucratique, j’en ai rêvé et @elon Musk va le faire ». Et elle l’a fait à la Région en réduisant depuis son élection en 2016 de 450 M€ le budget fonctionnement de la Région, en déménageant le siège de la Région d’hôtels particuliers dans le 7e arrondissement de Paris dans le quartier de la mairie de Saint Ouen, en réduisant les effectifs de fonctionnaires régionaux d’une manière drastique et en supprimant ou regroupant certains organismes régionaux qui étaient redondants

    GABRIEL ATTAL AGACE

    Gabriel Attal serait le président de groupe à l’Assemblée Nationale le plus présent avec 55% de participation selon un tweet de Jean René Cazeneuve, député EPR du Gers. Il est devant ses collègues Cyrielle Chatelain (EELV) e( Mathilde Panot (LFI) avec 49%, Marc Fesneau (Modem) avec 33%, Laurent Marcangeli (Horizons avc17%, Eric Ciotti (UDR) avec 10%, Laurent Wauquiez (LR) avec 5% selon le député du Gers qui a écrit sur X « Gabriel Attal, le + présent, loin du procés qui nous est fait ! ». Il parait que cela agace parait il ses alliès qui l’accuse de « faire ses ptits coups en douce ». Ambiancedans le « Socle commun».

    Et ce n’est pas prés de finir avec ce sondage  Ipsos qui indique que 42% des parisiens considèrent que le député de Vanves ferait un bon maire de Paris, se posant en alternative crédible à Rachida Dati (39%° et Anne Hidalgo (28%). La force de Gabriel Attal est de réussir à séduire tous les électorats : dans son camp évidemment (72 % d’opinions favorables), à droite (46 %) et à gauche (30 %). Un camp où la maire du 7e arrondissement séduit moins avec seulement 22 % d’opinions favorables. « Mais le plus jeune Premier ministre de la Ve République a-t-il envie de se lancer dans cette folle aventure  » s’interrogent les journalistes politiques

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : ETAT D’AVANCEMENT SUR LES GARES ET NOTAMMENT VANVES/CLOS MONTHOLON/FORT D’ISSY

    La Société du Grand Paris a fait le point sur son ambition pour les gares de Grand Paris Express et l’état d’avancement de son projet. Rappelons qu’elle a  définie 4 grands familles de gares : La gare de centre ville insérée dans un environnement urbain déjà constitué qui renforcera l’attractivité et le dynamisme existant ; la gare « nouvelle centralité », créatrice de lien urbain qui accompagnera un environnement en devenir avec un potentiel fort de recomposition et d’intensification urbaines ; la gare emblématique porteuse de l’image d’excellence et de dynamisme économique des pôles de développement du Grand Paris ; la gare porte de la métropole qui permettra l’accès national et international au Grand Paris, avec les gares aéroportuaires, TGV… La gare du Clos Montholon/Vanves/Fort d’Issy à Vanves se classera dans la deuxiéme catégorie de gares car elle est aux confins de plusieurs communes dont deux ménent des actions d’aménagements : L’éco-cyber-quartier du Fort à Issy les Moulineaux, et le réaménagement de la gare de Clamart en éco-quartier

     

    7 groupements ont été sélectionnés ( Jean Marie Duthilleul, Jacques Ferrier, Bruno Portier, Foster and Partners, Moatti et Rivière, Périphériques, Elisabeth et Christian de Portzampac) dans le cadre d’une consultation international de conseil architecture et en design dont l’équipe lauréate sera désignée en Avril prochain. « Elle devra inventer une image propre aux gares et aider la SGP à inscrire le futur métro dans le patrimoine francilien ». L’un des objectifs de ce futur réseau de transport public et de ses gares, est de devenir le support d’expression culturelles et artistiques variées, la SGP ayant retenu 3 axes avec la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) Ile de France  : « Montrer de l’art et faire du métro une galerie d’art », « engager des commandes artistiques et faire des gares œuvres d’art » en intégrant une commande artistique dés  le stade de la conception architectirale des gares en concertation avec les élus concernés, « développer les expressions artistiques des territoires et faire des gares des scénes culturelles ».

     

    Cet objectif culturel a déjà une traduction très pratique sur le terrain car « la préparation de l’arrivée d’une gare est en soi, un sujet de commande artistique ». Depuis l’automne dernier, une mission photographique « Gares en vue » a été lancée par la SGP et confié à l’Agence Vu. Chacune des 57 Gares dont Vanves-Clos Montholon/Fort d’Issy, fera l’objet d’un reportage composé de deux séries de prises de vues : des vues dirigées (comparaison avant-après du projet) et des prises de vie « vision d’auteur » pour représenter le paysage et la vie urbaine des quartiers des futures gares du Grand Paris Express. « Cette démarche s’inscrit à sa manière dans une tradition de missions photographiques inaugurée au milieu du 19éme siécle avec la mission hiélographique de Prosper Mérimée (1851) » explique la SGP, comme Albert Kahn et ses Archives de la Planète dont le musée à Boulogne perpétue le souvenir. Sept gares ont déjà été traitées par le photographe Pierrre Olivier Deschamps.   

     

    Toujours sur le terrain, chaque gare a fait l’objet de la création d’un Comité  de pilotage  (COPILS)  rassemblant maires, directeurs des services techniques des collectivités territoriales, présidents des intercos, représentants des conseils généraux, STIF, services de l’Etat intéressé. « Cette forme particulière et pragmatique de pilotage permet d’échanger et de construite ensemble le « projet gare » indique Etienne Guyot, président du directoire de la SGP. Ils  doivent permettre « à chacun de rester vigilant sur la maîtrise des coûts, des délais et des risques », « d’affiner progresivement desorientations d’implantations de la gare et d’aménagemet de ses abords immédiats dans la plupart des sites ». Ces différents acteurs  travaillent actuellement sur cette gare, comme sur les autres, sur son  volume en sous-sol qui se situera entre -15 et – 50 m  jusqu’au printemps,  sur ses émergances, sachant qu’elle occupera 1500 ou 2000 m2 et que la SGP « n’a pas de modèle fixe » précise Etienne Guyot et ses collaborateurs qui ne cachent qu’ils sont énormément interrogés par les maires : « Il faut prévoir des équipements raisonnables qui répondent aux besoins dans le temps. La SGP va acquérir des parcelles pour ses gares et leurs émergences, en vérifiant l’équilibre financier et économique de l’opération. Elle ne va pas acquérir tous les terrains dans un rayon de 400 m2. D’autant que nous sommes obligés d’agir dans un contexte éconmique difficile ! »

     

    Plusieurs directions ont été données par cette équipe à ces gares :  Elles devront être des lieux organisés de façon claire, permettant à tous, un accès facile au service de transports, dans des conditions irréprochables de sécurité et d’informations, offrant un environnement lisible et apaisant. Elles devront permettre des correspondances avec les autres réseaux (métro-RER-tram-bus-Transilien) afin de répondre aux enjeux de maillage et de désaturation recherchés, en garantissant la chaîne de mobilité.  A la différence du métro parisien, cette gare sera un ouvrage compact, avec des accès concentrés en un point d’émergence unique, évitant ainsi la multiplication des couloirs souterrains et de petits accès dispersés. Mais il ne s’agit aucunement de répéter à 57 ou 72 exemplaires les mêmes gares, de faire la même « boite », mais des lieux très proche de ce que veulent les élus, d’autant plus constrastées qu’elles seront en milieu dense, ou entourées de friches, haut perché, aux portes de la Métropole