Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fresque acrylique

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    POT DE DEPART : A défaut de Pot de départ de F.Bayrou lundi soir devant l’hôtel de ville de Vanves, quelques vanvéens ont rejoint Malakoff pour un pot de départ organisé devant la mairie (sur la photo), « d’un Premier  ministre à la violence sociale inouïe qui ne nous promettait que de la régression à tous les niveaux » selon les organisateurs. Il y avait du monde et une ambiance festive « pour dire non à la cure d'austérité qui épargne les plus possédants et aux attaques contre les services publics qui sont le ciment de notre société. Nous ne voulons pas de cette politique là ! » comme l’ont exprimé Jacqueline Belhomme, sa maire, et Catherine Margaté, à laquelle, elle a succédé

    NEGOCIATEUR : Quelques heures plus tôt, lors du débat sur ce vote de confiance, Gabriel Attal, député et conseiller municipal de Vanves s’était distingué en demandant à Emmanuel Macron « de désigner un négociateur pour trouver un accord d'intérêt général » : « Si on veut retrouver une forme de stabilité d'ici à 2027, il faut un renversement profond de méthode. Les Français doivent donc sentir qu'une inflexion profonde est apportée. Et donc, le président de la République doit montrer qu'il est prêt à accepter de partager le pouvoir. Je propose donc que le président de la République désigne un négociateur, en actant dès le départ qu'il ne sera pas Premier ministre. Il serait chargé de réunir dès demain (mardi) et pendant trois à quatre semaines, l'ensemble des chefs de partis représentés à l'Assemblée 24 heures sur 24, sept jours sur sept, pour s'entendre sur un accord. Ce compromis budgétaire permettrait ensuite la nomination d'un Premier ministre qui serait le garant de cet accord » a expliqué le président de Renaissance qui a défendu à l’Assemblée Nationale une « culture du compromis ».Pas sûr qu’il ait été entendu, dans la mesure où, le président Macron, a accélérer les choses ses dernières heures en nommant Sébastien Lecornu à Matignon hier soir

    FRESQUE : Et pendant ce temps là, la municipalité de Vanves avec la société Mata Capital inauguraient en fin d’après midi mardi, la fresque, située sous le porche entre la place du 19 mars 1962 et la rue Louis Vicat, réalisé par l’artiste Philippe Regard. Un ancien photographe qui s’est mis à la peinture acrylique lors de la crise sanitaire du COVID-19. «J'étais chez moi, coincé entre trois murs. Si je n'étais pas capable de capturer la vie à travers mon appareil photo, je devais la recréer. Un photographe incapable de voir le monde apparaître devant ses yeux entraînés cherche alors à le penser. Et ce faisant, je crée un nouvel univers basé sur le symbole élémentaire de mon zeitgeist personnel : le triangle. Il y a de la lumière et des sentiments de toutes formes et de toutes sortes. Le support triangulaire illumine notre expérience commune de la vie. C'est ce que j'ai cherché à révéler à travers mes représentations kaléidoscopiques, un reflet du large spectre d'émotions que nos foyers ont traversé à la merci d'un mystérieux virus » racontait il en expliquant que « ces  peintures acryliques révèlent les inspirations surréalistes, les aspirations cubistes et la rumination existentialiste qui ont façonné mes années de formation en tant qu'artiste, ainsi qu'en conversation avec les contemporains de l'Op Art : Riley, Vasarely, ou Anuszkiewicz ». Elles ont pris une forme urbaine à Vanves avec cette fresque