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ville de vanves - Page 797

  • FESTIVAL ARTDANTHE A VANVES : 20 ANS DE CREATION ET D’EMERGENCES CHOREGRAPHIQUES

    « Quand José Alfarroba (sur la photo avec des créateurs) est arrivé au théâtre Le Vanves à la fin des années 90, il a repris une salle municipale où il n’y avait pas de projet culturel, ni vraiment de saison culturelle, quelques spectacles parsemés dans l’année. On lui a demandé de faire un projet culturel, et il a monté sa saison,  fort de l’expérience qu’il avait surtout de la musique au théâtre Ruteboeuf de Clichy. Il était un passionné de danse, de théâtre, fan de  Pina Bausch, et un grand spectateur de danse contemporaine. Comme il est difficile  d’amener le public à être curieux sur la danse,  encore que ce n’est pâs toujours vrai, qui  était un peu « la discipline pauvre » du spectacle vivant, il s’est dit pourquoi ne pas se présenter comme un lieu qui peut aider des artistes qui ont besoin d’être diffusé. Il a  créé un festival,en 1998,  avec le concours des fréres Ben Aïm, compagnie de danse avec laquelle il a monté la première édition, sans l’aide des institutions, ainsi que  huit compagnies au maximun, sur une durée plus courte qu’aujourd’hui. Différentes formules ont par la suité, été essayée, avec des spectacles de danses parsemés dans la saison, un petit festival court, puis un peu plus long, un festival en 4 temps dans l’année… » racontait au Blog de Vanves au Quotidien un des assistants de José Alfarroba voilà quelques temps en rappelant que beaucoup de chorégraphes aujourd’hui y ont fait leurs premiers pas et pris leur envol.

    Ce festival a pris progressivement de l’ampleur, José Alfarroba mettant l’artiste au cœur du projet, ce qui permettait au public de se sentir investi, concerné puisqu’il voyait l’importance que cela représente pour un artiste de participer à ce festival. D’année en d’année, de plus en plus de compagnies ont été aidées…avec l’idée de mettre en confrontation un artiste confirmé avec un artiste émergent, grâce aux doubles-soirées. Le théâtre s’est ajouté à la danse, dans le cadre de ce festival, grâce à l’ouverture de Panopé en 2008, où la compagnie du D’Ores et Déjà, collectif autour de Sylvain Creusot, a été accueillie, puis le collectif « In Vitro »

    Toute cette émergence autour du Théâtre dans et hors festival Art Danthé, a permis au théâtre le Vanves,  d’avoir une visibilité au niveau du public francilien, des institutions qui aident et soutiennent le théâtre en France, beaucoup plus rapide que pour la danse… Du coup,  les grandes salles parisiennes venaient à Vanves pour faire leur marché : « Beaucoup de professsionels venaient au théâtre de Vanves pour regarder ce qui se fait, et prendre éventuellement un spectacle pour leur prochaine saison, ou proposer à un jeune artiste de monter chez eux leur prochaine création, avec des  moyens de productions que nous n’avons pas à Vanves où on ne peut pas réellement produire de spectacles ». Frédéric Mitterand alors ministre de la culture était venu pour sa 14édition,  assister  à la nouvelle création d’Anna Halrpin et Anne Collod « parades & changes in expansion ».

    Avec le départ de José Alfarroba à la retraite, remplacé par Anouchka Charbey, ce festival, pour sa 18éme édition a du  recentrer sa programmation sur la danse et la performance, tout en restant ouverte aux formes innovantes, théâtrales et musicales, ainsi qu’aux arts plastiques  en commençant à investir d’autres lieux vanvéens comme le conservatoire de musique, l’ODE et le prieuré des Bénédictines. Pour des raisons d’économies budgétaires, à cause d’un contexte difficile pour les collectivités locales, il a  évolué et s’est concentré sur un mois au lieu de trois, « tout en restant fidèle à la fougue et à l’esprit de partage insufflé par José Alfarroba qui l’a créé et développé pendant 17 ans » assurait –elle . Artdanthé n’en est pas moins resté un festival ambitieux, reflet de la vitalité de la jeune création contemporaine tant en danse qu’en performance ou en théâtre, comme le dé »montre cette  20éme édition 

  • FESTIVAL ARTDANTHE A VANVES : UN MOIS D’EMERGENCES CHOREGRAPHIQUES

    Le 20éme festival Artdanthé démarre aujourd’hui et  va embraser Vanves avec pas moins d'une cinquantaine d'évènements (spectacles, performances, expositions, lectures projections...) articulés autour de la danse la plus contemporaine,  en plusieurs points-clefs : Le Théâtre, la Panopée, l’Église Saint-Merry, la piscine, un parking, le Conservatoire…qui transformeront ainsi la ville de Vanves en lieu de création et de mouvement 

    Pour son vingtième anniversaire, Artdanthé promet un programme ample et dense, avec une cinquantaine de spectacles, disséminés le long d’un mois de festivités, avec des samedis entièrement dédiés aux arts vivants. La session La Decadanse se démultipliera en deux parties, totalisant vingt projets chorégraphiques pour embrasser la diversité de la danse contemporaine. scindées en trois parcours :  elles permettront de découvrir des versions performatives, in situ ou participatives de spectacle comme « Blanc » (Vania Vaneau), « Un moment Hi-Fi » (Dominique Gilliot et Antoine Pesle),  « La prophétie des Lilas » (Thibaud Croisy), « Black Belt » et « The back Door » (Frank Micheletti)… Pour autant de déambulations au creux de la ville de Vanves. Et puisqu’il est question de déambulation : les chorégraphes David Rolland et Valeria Giuga présenteront « Happy Manif » (Les pieds Parallèles), un spectacle participatif, en forme de parcours de danse en pleine nature. Une expérience à vivre, qui saura entrainer tous les publics

    «Tournée vers les émergences, l’édition 2018 réserve ainsi au moins cinq premières françaises, quatre créations et six étapes de travail. De quoi s’immerger dans la création en train de se faire, tout en savourant également des spectacles récents» expliquent ses organisateurs . Parmi les spectacles récents ils citent  « Polis » (Emmanuel Eggermont), «Ucello, Uccellacci & The Birds» (Jean-Luc Verna), «Horion» (Malika Djardi), « Hope Hunt & The ascension to Larazus » (Oona Doherty), «Improvisation» (Emmanuelle Huynh & Erwan Keravec)… Mais aussi, du côté des premières françaises, «Concept for new development : Burn» (United Cowboys), « Apollon» (Florentina Holzinger), «Ing an Die» (James McGinn), «Mash» (Annamaria Ajmone et Marcela Santander Corvalán) et « D No Body 5 #transcending» (Dario Tortorelli). Côté création : «Pure / Realmagination» (Christian Bakalov), «Plus ou moins 20» (Herman Diephuis), «Hamlet» (Yves-Noël Genod) et «Cent mètres papillon» (Maxime Taffanel). Fidèle à la dynamique de son ancien directeur Jose Alfarroba, le Théâtre de Vanves accueille des artistes en résidence. Parmi les chorégraphes qui présenteront une étape de travail, ou en résidence, se comptent Yuval Rozman, Kevin Jean, The Noise Consort, Guillaume Marie, Mohamed Toukabri, Maarten Seghers

  • MARCHE MUNICIPAL DE VANVES : L’AMBIANCE N’EST PAS A LA CONCERTATION MAIS A LA CONTESTATION

    Les rapports d’activités sont toujours intéressant à lire car ils sont une source de renseignements. En particulier celui du marché, géré par la société EGS  qui fait état de questions redondantes.

    Par exemple, le manque de volants. Il parait que les travaux du couloir de bus ont fait perdre environ 20% des volants, car les travaux sur l’avenue Antoine Fratacci avec le rétrécissement des trottoirs, ont fait reculer et réduire le nombre de commerçants. Le concessionnaire en comptait une vingtaine le samedi. Il en est de même de la présence des commerçants les autres jours que le samedi, c’est-à-dire le mardi, un désastre, et le jeudi. Occasion de constater que le marché est sombre quand les commerçants sont absents. Pourtant les idées ne manquent pas (sans suite) pour redynamiser le marché : remise en peinture, développer la convivialité avec une place inauguré au printemps 2017 composé de jardinières, des tables rondes avec chaises aux couleurs vives, attirer une clientèle de bureau pour y déjeuner à midi ( ?) ce qui amené à enrichir l’offre traiteur.

    En matière de sécurité, manifestement, les autorités de la ville donneraient l’impression de faire une fixation depuis 2016  sur la buvette demandant à son tenancier, mais sans lui avoir avoir donné le feu vert (ou en tardant) pour les travaux - comme il l’a expliqué au maire lors d’un récent contact - alors qu’il avait proposé lors de son installation de faire les parois en PVC, ce qui lui avait été refusé à l’époque, et maintenant autorisé. Ce qui n’empêche pas de poser la question des bâches de tous les stands du marché qui ne seraient pas aux normes ( ?), certaines n’ayant pas été remplacé depuis longtemps.

    A croire que l’on s’occuperait, en haut lieu municipal, beaucoup de sécurité pour les uns, mais pas pour les autres, en fonction des préférences amicales. En tous les cas c’est l’impression donnée vu de l’extérieur, selon nos informations. D’autant plus que le concessionnaire n’hésiterait pas à porter plainte contre des commerçants qui ose élever la voix, ou distribuer des rappels à l’ordre lorsqu’ils ne sont pas d’accord avec certains décisions qui reléveraient plutôt du fait du prince que de la concertation