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ville de vanves - Page 1034

  • EGALITE FEMMES-HOMMES : A VANVES, LA MAIRIE PART DE LOIN AVEC UN PREMIER RAPPORT

    Pour la première fois au conseil municipal, Mercredi dernier, a été présenté un rapport annuel sur la situation en matière d’égalité entre les femmes et les hommes, rendu obligatoire par la loi du 4 Août 2014, intéressant le fonctionnement de l’administration, les politiques que les collectivités locales ménent sur leur territoire, les orientations et les programmes de nature à améliorer cette situation. Gabriel Attal (PS) s’est félicité de cette initiative suscitée par le gouvernement socialiste qui a permis que les choses s’améliorent en ce domaine depuis 2012. « L’écart du taux d’emploi et des salaires se réduit, permettant à la France de passer de la 46éme à la 15éme place » a-t-il déclaré en s‘étonnant que ce rapport soit incomplet. Il a même suggéré de faire appel au Centre Hubertine Auclert, Centre Francilien de ressources pour l’égalité femmes-hommes, dont le travail est plébiscité par les associations et les collectivités, tout en notant que « Valérie Pécresse a baissé sa subvention de 35% dans le budget 2016 de la Région ». Bernard Gauducheau (UDI) a reconnu que « c’est une première. Il faudra poursuivre pour remplir l’intégralité des objectifs poursuivis par la loi. Je souscris à ce qu’a déclaré Gabriel Attal même si c’est difficile d’être complet » a répondu le maire à ce jeune élu. D'ailleurs il a été précisé que « ce document est une annexe à un bilan emploi. Cette loi est compliquée à mettre en place. Et ce document doit être complété grâce à des entretiens sur les compétences des collaborateurs »

    Mais la ville part de loin puisque le maire a rappelé qu’en arrivant en 2001 à ce poste « nous avions un personnel communal très féminin – il n’y avait que des femmes dans les écoles où j’ai fait entrer des hommes - le rapport s’établissant aujourd’hui à 66% de femmes (358) et 34% d’hommes (184) ». La population féminine reste prédominante au sein des postes permanents municipaux, avec un pourcentage même supérieur à la moyenne des collectivités territoriales (61% selon le rapport parlementaire de 2011 sur l’égalité professnnele homme-femme dans la fonction publique). « Ceci s’explique par le fait qu’à Vanves comme au plan national, il existe une forte spécialisation des métiers entre hommes et femmes ». Le personnel de catégorie C (68,7% de femmes contre 31,3% d’hommes) composé d’agents travaillant dans les écoles, l’animation, et la petite enfance, ne fait pas exception à cette règle, avec 67% de femmes fonctionnaires et 62% contractuelles. Cette proportion descend à 54% en catégorie A (contre 46% pour les hommes). Si les femmes représentent 63% de la population des chefs d’équipes et 69% des responsables de services, elles représentent 44% des directeurs en poste. Avec un homme et une femme au sein de la direction générale, la commune respecte pleinement l’obligation légale selon laquelle au moins 40% de femmes doivent composer l’organe de direction d’une collectivité

    Pour les agents de catégorie A et B, la moyenne de la rémunération des femme reste supérieure à celle des hommes. Par contre, pour les agents de catégorie C, la rémunération moyenne des hommes reste légèrement plus élevée (1963 € pour les hommes contre 1094€ pour les femmes), ceci s’expliquant aussi par les différences de rémunération entre les fonctions techniques et les fonctions scolaires ou sanitaires et sociales. Conformément à la tendance nationale, il existe une corrélation forte entre les niveaux de salaires et la féminisation ou non du métier : la filière éducation et la filière sociale très féminisée sont moins rémunératrices que la filière technique où la proportion des hommes est majoritaire. Le nombre d’avancement prononcée au titre de l’année 2015 respecte la proportion femmes/hommes (66% des avancements pour la catégorie A, 78% pour la catégorie C). Enfin, conformément à la tendance nationale, le nombre de femmes à temps partiel dépasse largement celui des hommes puisqu’il est respectivement de 13% contre 3%

  • UN WEEK-END TRES SPORTIF AU STADE VANVES ENTRE FOOT ET BOULES

    Aprés la victoire en 2014, Expograph Vanves  en route vers une nouvelle finale, le 18 juin 2016, après sa victoire sur l’APSAP, et la section football du Stade de Vanves en voie d’affaiblir  le leader Neuilly du district des Hauts de Seine. Voilà résumé ce week-end sportif avec un concours de boules lyonnaises  - le challenge Jaunas - qui a réunit prés d’une centaine de boulistes altoséquanais sur les terrains du PMS André Roche..

    EXPOGRAPH VANVES : « Si la météo avait raté son rendez-vous « soleil » annoncé il y a 2 jours,l'As Expograph n'a pas raté le sien cette aprés midi en dominant avec beaucoup de maîtrise son adversaire du jour l'apsap 75. 2/0. Un début de match sérieux, un pressing constant, une application de tous les instants soldés par un but dés la 18éme minute aprés un débordement sur la droite de Capt'ain Himmer, un centre à raz de terre et une reprise au 2e poteau d'Eric Alogo. 1/0 à la mi-temps. La pluie s'est invitée au rendez-vous en seconde mi temps,mais Expograph a continué son application pour ponctuer par un deuxiéme but, toujours sur le côté droit aprés  débordement cette fois d'Eric Alogo,centre au 2e poteau, à mi hauteur et reprise d'une tête plongeante au cordeau de Salam.(buteur à tous les matchs). Le président avait déjà le sourire, contrairement à avant le match où ses joueurs l'avaient senti tendu! Les vingt derniéres minutes auraient pu voir le score s'aggraver tant les joueurs dans leur ensemble ont dominé la partie » raconte Jean Royer le Coach. «  Contrat rempli, travail bien fait,il reste 2 mois pour préparer cette nouvelle finale..tant attendue! Le printemps d'Expograph est de retour.Mention spéciale à la nouvelle charniére centrale défensive Vincent/Bechir. Un sans faute!  Un troisiéme match sans encaisser de but, trés bien. Merci aux petits ramasseurs de balles du stade de Vanves, trés efficaces dans leur rôle,et merci à la direction des sports qui avait fait une petite beauté à notre pelouse,aprés les pluies incessantes de la semaine! »

    SECTION FOOTBALL : NEUILLY / VANVES 2 à 2

    La section football a été accrochée à Neuilly, les équipes mettent un point d'honneur à faire chuter le leader. « Sur un terrain aux dimensions restreinte , il nous a fallu ajuster nos centres qui souvent étaient trop appuyés. Nous avons encaissé un but en contre, sur cette action notre gardien a été télescopé par un adversaire, 2 cotes fêlées. Ensuite nous avons bénéficié d'un penalty, arrêté par le gardien adverse. Seconde période nous égalisons, compte tenu de la physionomie de la rencontre avec

    un gardien blessé ce résultat nous permettait de garder nos distances ( 5 points ) avec l'adversaire du jour. Nous n'étions pas au bout de nos angoisses nous encaissons un second but et à 10 minutes de la fin nous scorons une deuxième fois » témoigne Jean Claude Vignal, président de la Section football. « La chance nous sourit car l'ACBB, deuxième à 4 points a perdu ».

    VANVES 1er, NEULLY, COLOMBES et L'ACCB sont à 5 points. Dimanche prochain nous recevons CLAMART à 15H30

  • LE MAIRE DE VANVES INTERROGE SUR LA NOUVELLE CARTE INTERCOMMUNAL : « Développer une culture commune de l’action avec des financements en baisse ! »

    Si une nouvelle carte des intercommunalités est étable depuis le 1er janvier 2016,  avec les 12 Etablissements Publics Territoriaux (EPT) de la MGP (Métropole du Grand Paris)  et les 17 nouveaux EPCI à fiscalité propre de Grande Couronne, il n'en reste pas moins qu'elle suscite encore de grandes incertitudes auprès des élus quant à sa légitimité et à son efficacité. « Elles forment désormais des supers structures dont l'efficience et l'efficacité n'ont pas encore été démontrées.  La réalisation d'économies, l'optimisation des services publics intercommunaux, l'adhésion des citoyens et la mise en place d'un véritable projet politique se heurtent souvent aux problématiques du millefeuille institutionnel. La superposition des strates administratives et l'articulation entre la MGP et les EPCI périphériques rendent complexe l'action commune » indique dans un communiqué de presse l’AMIF qui  plaide pour que « la parole et le rôle des Maires restent prédominants au sein de ces nouvelles structures. Seules leurs expérience du terrain et la proximité qu'ils ont tissées avec leurs administrés, pourront donner un sens politique au projet et susciter l'adhésion de la population. Une mise en œuvre précipitée des fusions pourrait être néfaste pour ces nouvelles intercommunalités. Un passage en force des Préfets entérinerait des structures qui ne font pas consensus et nuirait gravement à la définition d'une culture commune de l'action. C'est pourquoi l'AMIF demande à ce que l'Etat n'impose pas de projet rejeté par les collectivités » ajoute cette association qui rassemble l’ensemble des 1280 maires quelques jours avant son salon annuel. Elle d’ailleurs recueillie le témoignage de plusieurs maires dont Bernard Gauducheau sur l’intercommunalité

    « Ainsi depuis le 1er Janvier, ces nouvelles entitées doivent rationnaliser et améliorer l’efficacité du fonctionnement des services publics intercommunaux. Reste à voir si elles vont y parvenir » selon Bernard Gauducheau interrogé par le service comunicaton de l’AMIF. « La majorité des maires franciliens doivent apprendre à travailler dans ces nouvelles structures intercommunales, ce qui nécessite de développer une culture commune de l’action avec des financements connaissant des baisses importantes. D’autre part, ils doivent répondre aux interrogations de leurs concitoyens qui peuvent être désorientés par la complexité administrative et la superposition du nombre de structures de coopération » explique t-il en considérant « qu’il sera nécessaire tout d’abord de dresser rapidement un bilan de la nouvelle carte de la coopération intercommunale en Ile de France pour mesurer si les établissements qui la composent, ont les conséquences positives escomptées en matière d’actions publiques ; d’autre part d’alerter les ministres concernés sur les éventuels chevauchement entre les compétences et les domaines d’interventions de diverses structures de coopération intercommunale. Les récentes réformes institutionnelles n’ont pas simplifié le fonctionnement et la lisibilité du mille-feuille administratif francilien ».