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ville de vanves - Page 104

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    CONFIDENCES D’UNE ARTISTE SUR VANVES

    Valérie Karsenti qui en avait assez de Paris a choisit de s’installer dans une maison familiale en brique, au bout d’une impasse dans une ville «facile à vivre» ont appris les lecteurs du "Journal des Femmes". Cette atrice qui est la vedette de la série Lycée Toulouse-Lautrec sur TF1 aux cotés de Stéphane De Groodt, Joséphine Draï ou encore Bruno Salomone a expliqué qu’elle avait trouvée, depuis six ans un «coin de paradis»  avec son compagnon François Feroleto (patron de la Girafe)  et ses deux fils. «Nous nous y sommes installés après l'arrivée de notre deuxième fils, il y a six ans», parce que «Les oiseaux et la verdure nous manquaient. Vanves est une ville populaire à l'origine, familiale et facile à vivre» expliquait cette habituée de la piscine, du parc F.Pic, du théâtre, où elle se rend habituellement. «J'en avais assez de ne pas entendre mon fils sur le chemin de l'école. Trop de voitures, trop de bruit. Avec mon compagnon, on a retapé une maison d'ouvrier en brique, au fond d'une impasse. C'est notre paradis !» raconte cette actrice qui a toujours aimé habiter loin des grandes villes. «Enfant, je vivais à la campagne  à la limite de la Beauce et du Perche. La campagne, c'est fabuleux pour donner l'envie de s'évader».  

    CONFIDENCE D’UN VANVEEN A MATIGNON

    « On m’aurait dit il y a quelques mois que je serai Premier ministre… Ce n’est pas du tout ce que j’attendais ! Avant ça, je n’attendais pas spécialement non plus d’être à l’Éducation nationale. Mais bon, on vous propose une responsabilité… Je ne sais pas. C’est aussi ce qu’il y a d’assez exaltant dans la politique, c’est que ce n’est pas vous qui êtes maître totalement de votre destin » confiait au magazine «Elle» Gabriel Attal la semaine dernière. « À l’inverse de beaucoup, je sais que je n’étais rien, personne avant lui (Macron). Je lui dois tout. Absolument tout. Je ne l’oublie pas et ça conditionne beaucoup de choses» 

    DISPARTION : La Section UNCde Vanves qui célébre son centenaire cette année, a perdu l’un de ses fidéles compagnons, porte drapeau :  Roger Flechy (sur la photo) est décédé le 7 mars 2024. Il avait servi au 5eme RI de Beynes. Paix à son âme, et toutes nos condoléances à sa famille

  • VANVES EN BONNE SANTE FINANCIERE ?

    Selon l’Argus des communes qui évalue les 35 000 communes françaises, la note de Vanves est médiocre : 4/20. Cet outil d’information des citoyens sur les performances de gestion de leur commune, est  édité par l’association Contribuables Associés. Cette note correspond aux dépenses de fonctionnement de la commune : 1509,7 € par habitant (sachant qu’elles sont en moyenne de 1220,9 € par habitant pour les communes de même taille).

    La note de santé financière est de 16,2/20 sachant qu’elle est basée des indicateurs d’autofinancement noté à 4,8 /20  (avec un ratio de 98,5 (en situation de pré-alerte),   d’endettement noté à 14/20  avec un ration de 41,20 (bon),  de coûts fixes noté à 11/20 avec un ratio de 59,1 (bon)  et de pression fiscale sur les particuliers noté à 18,20  avec un ratio de 74,6 (pré-alerte sur les particuliers.

    Un fin observateur vanvéen, sûrement spécialiste des finances locales notait sur les réseaux sociaux : «Si le volume de la dette demeure encore raisonnable, son évolution est préoccupante (+ 10 M€ en un an et + 140% en 3 ans). Année après année, la ville perd des marges de manœuvre financière. Et ce alors même qu'une grosse partie du chantier de l'école du parc reste encore à payer !».

    Il n’empêche que Vanves n’est pas loin des communes en bonne santé financière qui atteignent 18/20 comme Montrouge, Meudon et Puteaux. Les communes en mauvaise santé financière se situent à 3,1/20 comme Sceaux, 6,2/20 comme le Plessis Robinson, 7,1/20 comme Chatillon. Selon cet Argus des Communes, les revenus de fonctionnement représentent 1587,5 € par habitant, les impôts locaux  614,4 € par habitant, les revenus des produits et services 129,3 € par habitant, les dépenses de fonctionnement 1509,7 € par habitant, les dépenses de personnel 874,9 € par habitant

  • UNE PETITION POUR DEMANDER LA REINTEGRATION D’UNE ANIMATRICE A L’ECOLE CABOURG DE VANVES

    Une pétition a été lancée pour demander la réintégration d’une animatrice à l'école Cabourg, dont le contrat n'a pas été renouvelé par la ville dans des conditions qui font débat. Parents, enseignants et éléves ont même manifestés devant l’école le 5 mars pour demander la réintegration  de cette animation de 62 ans d’une classe ULIS (Unité Localisée pour l’Inclusion Scolaire) pour laquelle deux associations de parents d’éléves se sont mobilisées, la FCPE et l’API. « Réintégrez Christine ! »., « Une interlocutrice disponible et bienveillante », « un repère affectif », « un pilier pour les douze enfants de la classe Ulis » voyait on inscrit sur les pancartestenus par les enfants.  Un courrier a été envoyé au maire. La pétition a été signée par 290 prsonnes en un week-end

    Ces deux associations qui ont lancé cette pétition, expliquent que « Christine qui est une figure essentielle de notre communauté scolaire, a joué un rôle clé dans la mise en place d'une école inclusive grâce à ses compétences inégalées dans l'accompagnement des enfants porteurs de handicap. En tant qu'accompagnatrice éducative pour les 12 enfants de la classe ULIS, elle leur a permis de vivre des journées sereines pour qu'ils puissent participer activement à leur parcours scolaire. Christine est également un repère affectif, bienveillant et créatif pour tous les enfants de l'accueil de loisirs. Son départ brutal, en milieu d'année scolaire, cause beaucoup de chagrin et d'incompréhension parmi les enfants et leurs parents. Nous demandons donc au service des Ressources Humaines de la ville de Vanves sa réintégration sans délai au sein de l'accueil de loisirs élémentaire de l'école Jacques Cabourg. Nous croyons fermement que son retour bénéficiera non seulement aux 12 élèves de la classe ULIS qu'elle accompagne quotidiennement, mais aussi à toute la communauté scolaire qui apprécie son dévouement et son professionnalisme ». Elles demandent «le retour immédiat de Christine au sein de l'accueil de loisirs élémentaire Cabourg où elle a toujours contribué aux bien-être de nos enfants avec dévouement et professionnalisme ».

    A lire le Parisien de cette semaine, c’est une fin de non recevoir qu’aurait exprimé le maire : « Cette décision relève de la gestion interne du personnel municipal, on a des raisons fondées qui font que la décision a été prise, ce n’est pas les parents d’élèves qui dirigent, je n’ai rien à signaler sur cette situation ! » Séverine Edou, conseillère Municipal (Renaissance) expliquait au Parisien ne pas comprendre une telle fermeté. « J’entends qu’il y ait eu maille à partir avec un animateur, mais de là à prendre une décision aussi radicale qui nuit aux enfants, cela ne me convient pas »