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terroirs

  • VANVES ET LE SALON DE L’AGRICULTURE : A LA DECOUVERTE DES RICHESSES DU TERRITOIRE FRANCILIEN

    Après avoir rappelé le riche passé agricole et viticole surtout de Vanves, Vanves Au Quotidien revient sur le salon de l’agriculture qui a ouvert ses portes hier, et où la région Ile de France est très présente avec 22 exposants qui présentent leurs produits « Saveurs Paris Ile de France » avec des macarons, de la menthe poivrée, des bières franciliennes, des charcuteries, des fromages, des douceurs au coquelicot… Une occasion de découvrir les richesses du terroitr francilien et de les goûter à deux pas de Vanves.  

     

    Souvenez-vous, l’édition 2011 du salon avait donné l’occasion de lancer la marque des produits alimentaires franciliens « Saveurs Ile de France » avec 25 entreprises. Un an après, 75 ont rejoint la démarche et plus de 250 produits aux couleurs de la marque. Ainsi la vente des productions horticoles et pépinières se réalise à 57% dans un rayon de 200 km (de Paris) et à 38,5 km dans un rayon de 10 km. La notion de proximité est par conséquent très forte, puisque la vente directe aux particuliers représente 24,7% des ventes. D’après une étude, il apparait que les consommateurs franciliens, déjà très attachés à la provenance de leurs produits alimentaires, sont très positifs à l’idée de pouvoir identifier la provenance de leurs achats de plantes par exemple. A l’heure où la natiralité fait son grand retour dans les assiettes, les produits frais, sainsn, dont on est sûr de la provenance, ont la côte auprès des consommateurs. Les professionnekls de l’alimentaire en Ile de France l’ont bien compris et parmi eux, les agriculyeurs et les artisans rivalisent d’ingéniosité et de savoir-faire pour proposer des produits toujours plus adaptés à ce que recherche le consommateur francilien.

     

    Le CERVIA (centre Régional de Valorisation et d’Innovation Agricole et Alimentaire ) d’ Ile de France qui s’emploie à fédérer les acteurs clés de l’agroalimentaire francilien et lancé la marque « saveurs Ile de France » a suscité la création d’une filière Blé-Farine-Pain grâce à 3 grands meuniers régionaux (Les Moulins Bourgeois, Les Moulins de Brasseuil et les Moulins Fouché) qui sont unis dans une même démarche du « champ à l’assiette » avec les baguettes marquées « Saveurs Paris Ile de France » depuis fin 2011. Cet organisme a agrées les premiers maraîchers et arboriculteurs ainsi que les agriculteurs du Bio avec leur groupement et leur association Fermes Bio, présents chez Naturealia, réseau de 52 pooints de ventes à Paris et en Petite Couronne. Il met en avant les deux AOP Francilens des Bries de Meaux et de Melun, les artisans charcutiers qui produisent les fameux jambon et saucisson de Paris  modialement connu pour son rôle pharedans la composition du csandwich « Jambon-Beurre » ou « saucisson à l’ail »…

     

    Plusieurs animations sont prévus dans l’espace Ile de France du salon de l’agriculture : Lundi et mardi, l’Ecole de boucherie de Paris fera déguster l’agneau francilien. Samedi 3 Mars, un chef restaurateur de seine etr Marne, André Leletty proposera ses recettes originales et raffinées, les apprentis du CFA Rabelais de Dugny exerceront du 29 F2vrier au 2 Mars leur talent de Chef en devenir, les vignerons franciliens feront goûter aux visiteurs les différents crûs des vignes franciliennes le Dimanche 5 Mars

  • VANVES : UN WEEK-END DE TERROIRS SOUS LA NEIGE

    Le village des terroirs a été baptisé hier matin, pendant la grande messe dominical célébrée par le pére Thirion. La neige lui est tombé dessus pour la première fois depuis 5 ans. Il a connu la pluie, le froid intense et glaciale, le soleil, mais pas la neige. C’est fait depuis hier, juste avant l’apéritif offert par le Conseil de Quartier en présence du maire Bernard Gauducheau avec son chapeau très mitterrandien venu de Pologne, de son président et maire adjoint, Bernard Roche qui revenait de Juvisy où il avait assisté au match de l’équipe première de Basket et du pugillat qui s’en est suivi (Lire le récit sur le blog Vanves92170), de sa collègue chargée de l’animation, Françoise Saimpert qui a passé ses trois jours au village avec l’équipe du service animation pour s’assurer de son succès, sous la direction de l’ineffable et efficace directeur avec son bonnet noir et anorak rouge.

    Mais voilà, la neige depuis Jeudi a provoqué quelques embouteillages sur notre commune, provoqué la fermeture du parc Frédéric Pic, mais pas du village du terroir. Certains ont respecté la loi, en salant devant leur immeuble alors que d’autres attendaient peut être que la ville leur livre le sel. Les trottoirs au tour du Parc des Expositions ne l’ont pas été, tout comme le long des longs murs du lycée Michelet, ou des grilles du parc F.Pic, et même devant certains immeubles ou pavillons. Ce qui est de l’irresponsabilité de la part des concitoyens vanvéens lorsque l’on constate que le froid peut rendre ses trottoirs très glissants. Ce qui était le cas au village des terroirs, mais les agents municipaux y veillaient en enlevant régulièrement la neige des allées entre les stands.  Par contre il était intéressant de constater que dans les rues qui bénéficient encore du stationnement non payant, certaines voitures ventouses avaient disparues (peut être garé dans leur parking) permettant de trouver des places pour se garer plus facilement.

    Ce week-end a permis de constater l’incivilité des riverains de la rue de l’Eglise. A peine réaménagée, ils ont garé leurs véhicules le long des murs des immeubles, alors que le stationnement y est interdit. Ils profitaient du fait que la ville n’avait pas encore installé des grilles dites de « Saint André » comme dans la rue Gaudray. Alors qu’ils ont voté en grande majorité contre le stationnement. Ce qui ne les empêche pas de pester contre ces chauffards qui roulent à plus de 30 km/h dans leurs rues. Mais ils devraient déjà commencer à montrer l’exemple en respectant ce qu’ils ont décidé avec la mairie : Plus de voitures rue de l’Eglise, et pas attendre des dispositifs matériels dissuasifs pour le faire. Ils seraient plus crédibles.

  • VANVES ET SES MARCHES : UNE QUESTION DE TERROIR !

    Le 4éme marché des terroirs, qui a été inauguré hier soir, a une jeune histoire qui est liée à cette nouvelle place de la République. Ce fut le premier événement qui s’y est déroulée en Décembre 2005 alors même que son réaménagement n’était pas complètement terminé. Il ne neigeait pas ce week-end, mais il avait fait un froid sibérien qui n’avait pas découragé les 50 premiers exposants et les vanvéens venus nombreux. Il s’est étoffé depuis avec 90 exposants et surtout un partenariat avec l'Archipel des Créateurs, l'équivalent du Pari des fermiers au niveau de l'artisanat d'art. A noter que les restaurants du quartier propose un menu spécial « village des terroirs ». Mais aussi, que le terrain est très glissant comme ont pu le constater les participants à l’inauguration hier soir. Heureusement qu’il y a le tapis rouge qui traverse tout le village. Ou sinon munissez de patins à glace.

     

    C’est l’occasion de parler de nos marchés et surtout de notre principal où beaucoup de choses sont encore à régler après la rénovation qui a suivi l’incendie, alors qu’il devrait connaître un regain d’activités avec les fêtes de Noël et les animations de l’association qui réunit ses commerçants.  

     

    LE MARCHE DE VANVES : BEAUCOUP DE BRUITS TOUT AUTOUR

    Le plus connu est notre marché de Vanves,  géré par la société Lombard & Guerin qui  rassemble actuellement 43 commerçants, avec des volants, entre 6 et 41 selon les saisons (et le temps). Il est hébergé dans un espace de 3 308 m2 situé entre le parking et le centre administratif/Bibliothéque/Théâtre permettant d’accueillir 521 m linéaire  de façade, outre une buvette entièrement réaménagée en bois, un restaurant et un point accueil enfants. Les commerçants bénéficient maintenant d’emplacements réservés pour stationner dans les rues voisines grâce à l’installation de 80 bornes anti-stationnement rue A.Fratacci et S.Carnot. Malgré tout, les efforts du tenant de la buvette ses derniers mois et des commerçants qui l’entourent, le concessionnaire reconnaît dans son rapport sur l’année 2008 que « l’allée centrale ne va pas jusqu’à la pointe du marché », et que cela « pénalise cette zone » où certains commerçants habituellement installés, sont partis. Mais heureusement certains résistent comme cette marchande de fruits et légumes avec sa fille et quelquefois ses petits fils (quand leurs études leur en laissaient le temps).

    Il est intéressant de noter que, selon le dernier rapport du délégataire de service public, pour 2008, le total des droits en place a rapporté 133 765 € (au lieu de 130 494 € en 2007) pour les abonnés et 15 894 €  (au lieu de 17 589€ en 2007) pour les volants. Ainsi le produits total des places s’est élevé à 153 335 € (au lieu de 148 034) en 2008, soit +3,6%.  Pour un marché qui a ouvert 156 fois  durant  l’année 2008. Depuis sa ré-ouverture après l’incendie, ce concessionnaire a dû faire face à de nombreux problèmes d’après chantiers : le nettoyage des sols qui présente des difficultés à cause d’un sol absorbant non adapté aux modalités de nettoyage, l’absence de carrelage dans les sanitaires, des rampes d’éclairages interrompues au niveau de la pointe du marché et insuffisante dans la galerie, la verrière au cœur du marché qui présente des défauts d’étanchéité, non résolus, un bâchage provisoire ayant été installé pour l’instant.

    Les pigeons sont un autre problème la mairie ayant étudié des moyens à mettre en œuvre afin de les empêcher de faire leur nid dedans, grâce tout d’abord à un filet tendu au plafond, accompagné à certains endroits de piques, puis à un procédé utilisant des ultras sons, mais sans avoir commencé à régler cette question. Enfin, et cela concerne les riverains du marché, certains se plaignent, surtout le samedi matin, très tôt vers 2H30/3H ou 4H du bruit généré par les commerçants qui s’installent, et notamment ses palettes jetés sur le sol dont le bruit résonne jusqu’aux façades des immeubles, dont celui où habite le maire. Certains se sont plaints mais sans suite. Il parait même que l’un d’entre eux l’a réveillé en pleine nuit pour qu’il puisse écouter le vacarme et en profiter comme tout le monde. Il parait qu’il n’a pas du tout apprécié cette initiative.

     

    LES MARCHES SAINT REMY ET DU PLATEAU : UN ECHEC !

    Deux emprises ont été ouverte par la société Lombard & Guérin, à la demande de la ville, sur la place de la République le Mercredi et le long de la rue Jean Jaurés le vendredi durant l’après midi, en Avril 2008. Ses deux emprises découvertes devait permettre d’accueillir une vingtaine de commerçants chacune. Le marché du Plateau a ouvert une quinzaine de fois jusqu’en Juillet où il a été suspendu, et il n’a pas réellement repris après les vacances de l’été 2008. Le marché de la Place de la République a ouvert une quinzaine de fois mais a été totalement suspendu après les vacances. Si ces marchés n’ont pas connu un réel, c’est la faute à personne sauf aux emplacements. Pour atteindre la réussite du marché de la maire d’Isssy les Moulineaux, il faut être sur une voie de correspondance métro-bus ou tout au moins d’accès ou de sortie. Ce marché de l’après-midi à Vanves aurait toute sa place à la sortie du métro et du passage piéton où beaucoup de monde passe. Et encore, car beaucoup d’essais ont eu lieu dans les différentes communes des Hauts de Seine, et le marché d’Issy apparaît presque comme une exception.