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college saint exupery - Page 16

  • GUY JANVIER, CONSEILLER GENERAL DE VANVES, MENE L’OPPOSITION PS CONTRE LE BUDGET 2011 DES HAUTS DE SEINE

    Les Conseillers généraux dont Guy Janvier (PS) ont siégé 12 h Vendredi dernier pour voter le budget de 1,8 milliards d’euros du département des hauts de Seine. Ce budget 2011 du département se monte à 1720 ME en fonctionnement  et 1 868 ME en investissement.

     

    Avec 4 grandes actions : La solidarité (61% du budget de fonctionnement) avec pour la première fois une inscription budgétaire spécifique pour l’Economie Sociale et Solidaire (ESS),  une nouvelle allocation en faveur des jeunes majeurs dont le CG92 a la charge et un projet novateur : l’accueil simultané dans un établissement de personnes âgées et de leurs enfants vieillissants. Les infrastructures de transports avec des opérations d’aménagement d’envergure (Vallée Rive Gauche, requalification de la RD5 à Suresnes) et les transports avec 191,45 ME consacrés à la création d’une offre alternative à la circulation automobile. Le logement avec un accroissement de 24,8% des crédits consacrés au logement et à la rénovation urbaine (140,91 ME) et la mise en œuvre du prêt à taux zéro+. Les colléges avec un rythme de création soutenu avec 8 colléges construits d’ici 2014.

    La majorité départementale a mis en avant « la gestion rigoureuse des deniers publics, des choix cohérents et différents, un budget en équilibre … alors qu’un conseil général voisin fait voter un budget en déficit » (93) et a insistée  sur le fait que « ce budget est une preuve éclatante qu’il existe un différence entre ce que nous faisons et ce que l’opposition préconise : des emprunts sains, 1100 € par habitant en fonctionnement, 309 E par habitant en investissement, 152 E de dette par habitant (656 E en Seine et Marne) etc… »

     

    L’opposition a ironisé sur le fait que le seul changement qui a suivi les élections concernait le rapporteur du budget. Guy Janvier (PS) qui est maintenant vice président du groupe PS,  a constaté que « l’exercice est compliqué à cause d’un certain nombre d’incertitudes, du désengagement de l’Etat, et la prise en compte les nouvelles régles budgétaires »….« Ainsi nos marges de manœuvres diminuent de façon considérable. Cela nécessiterait que la majorité revoie ses priorités. Or nous constatons que les choix politiques ne sont pas remis en cause à l’aune de ce nouveau mandat : PULV, THD92, nouveau logo du département  …. ».

    Il a considéré que  « la solidarité n’est pas au rendez-vous, car les 61% de dépenses sociales (836 ME)ne correspondent pas à la moyenne nationale qui n’est pas loin de 70% » a déclaré Guy Janvier en citant les départements du Nord, des Bouches du Rhône, de Paris… », et en prenant 3 exemples dans sa démonstration : Diminution du budget consacré aux PMI (5,2 ME à 4,8 ME entre 2010 et 2011), avec une baisse des visites de 7000 en 2007 à 3000 en 2009 ; stagnation des clubs de prévention spécialisés (qui sont toujours au nombre de 15)  avec leurs éducateurs « alors que nous avons une responsabilité vis-à-vis de la jeunesse » ; manque de moyen pour lutter contre l’échec scolaire avec la mise en place de médiateurs qui renforcent les équipes pédagogiques – « Mais on est le seul département  à avoir des médiateurs » a répliqué Patrick Devedjian face à Guy Janvier qui demandait d’en augmenter le nombre. Il a regretté que la nomination d’un médiateur ait été refusée au collège Saint Exupery sur lequel il a insisté au cours des débats pour que sa rénovation soit inscrite au PPI (Programme Prévisionnel des Investissements) prévu à l’automne prochain.

     

    Notre communes sera concernée par quelques travaux départementaux  -  Réhabilitations du collecteur unitaire de la rue Sadi Carnot – et surtout des subventions aux associations et à certains travaux menés par d’autres organismes comme le Sipperec avec l’enfouissement du réseau publique d’électricité pour un montant de 80,9 M€ dans les rues Michelet, François 1er, Marceau, Sadi Carnot, Paul Lefebvre et Valentine Jacquet

  • VIE ET ANIMATION LOCALE A VANVES : PROGRAMME MAXIMUM MALGRE LES RESTRICTIONS

    Françoise Saimpert a été certes suppléante UMP  du maire Bernard Gauducheau (NC)  durant ses élections cantonales, mais elle a surtout  imprimée de sa marque trois secteurs de la vie municipale en tant que maire adjoint car elle s’y est énormément impliquée : Les Evénements et Animations dans la ville, la vie associative, le jumelage  et la participation locale… qui ont été profondément transformés depuis 3 ans au niveau interne des services…tout en restant dans un budget très stricte en faisant face à des imprévues.

     

    La Ville n’a rien prévue de nouveau pour les animations vanvéennes sauf une inauguration festive de l’îlot Cabourg qui aura pour décor la nouvelle place des Lavandières. Elle devra même suppléer à l’arrêt du dispositif « Camion-Seine » proposé par le Conseil général des Hauts de Seine dans le cadre de La Défense Jazz Festival au moment de la fête de la musique. Pour la vie Associative, le blog avait dressé la liste des associations subventionnées par la ville avec le montant pour chacune d’elle. Par contre le service contribue à l’organisation de la Braderie et du Forum des Association et au financement de certains équipements comme l’Espace Giner, l’Espace de la Tuilerie (rue J.Jaurés), la future salle R.Baes dans l’îlot Cabourg.

    Enfin, le jumelage qui devrait voir, en 2011, la visite de deux délégations officielles de Ballimoney (Irlande) et de Rosh Ha Ayin (Israël)  avec beaucoup de sportifs et de musiciens. Deux délégations vanvéennes devraient se rendre à Lehrte (Allemagne) et à Rosh Ha Ayin (Israël). Le Syndicat d’initiative devrait organiser à cette occasion un voyage en Israël et le Club Murillo à Lehrte. Le collége Saint Exupery devrait faire pour la première fois un déplacement à Ballimoney en Mai prochain.

  • LA RENTREE SCOLAIRE A VANVES ET EN ILE DE FRANCE SOUS TENSION

    Plus de 2000 écoliers rentreront en classes primaires ou maternelles aujourd’hui (2 151 durant l’année scolaire précédente dont 874 élèves répartis dans les 6 écoles maternelles et 1 277 dans les 6 écoles primaires).  Tout autant au collége Saint Exupery et au lycée Michelet. Mais voilà, si les conditions de cette Rentrée scolaire est tout à fait normale, l’ambiance est à la tension et à la polémique surtout dans le monde enseignant, à quelques jours de la gréve du 7 Septembre. Jamais une gréve n’avait été organisé juste après la Rentrée. Et les retraites n’en sont pas la seule cause. La meilleure preuve se trouve avec la Région Ile de France qui a mis en avant son rôle de « bouclier social » pour aider les jeunes à faire face aux initiatives gouvernementales alors qu’elle insistait l’année dernière sur une Rentrée très environnementale et durable.

     

    Les chiffres indiqués dans le rapport d’activités des services de la commune en 2009 et rendu pulic avant les vacances de cet été montrent les efforts réalisés par les services municipaux dans ce secteur de l’éducation : 372 écoliers ont participé aux 14 classes de découverte dont 9 à la Féclaz, 371 sont partis lors des 15 séjours organisés dans des centres de vacances, 600 sont accueillis en moyenne par jour dans les centres de loisirs maternels et élémentaires.  Le dispositif Jeunes Citoyens qui a remplacé  le CEL, permet d’organiser des activités sportives, artistiques et d’accompagnements scolaires  durant le temps périscolaire : 1242 ont fait du sports, 243 des activités artistiques et 83 ont bénéficié du dispositif Coup de Pouce. Enfin 268 238 repas pour les scolaires ont été servis en 2009 dans le cadre du contrat de restauration. Evidemment l’année scolaire précédente a été marquée par le déménagement de l’école du Centre dans des locaux provisoires au lycée Michelet pour la primaire et dans les locaux de l’ex-CPAM pour la maternelle, ainsi que le démarrage des  travaux de reconstruction des écoles et du Centre de Loisirs.

     

    SAINT EXUPERY SE NUMERISE

    Du côté de l’enseignement secondaire,  Saint Exupery fait parti des 24 colléges supplémentaires qui adhérent lors de cette Rentrée scolaire à l’Environnement Numérique des collèges publics (ENC 92)  et s’ajoutent ainsi aux 12 colléges déjà concernés. Ce programme met en place, de manière concertée avec l’éducation nationale, un systéme d’information destiné à mette en synergie plusieurs services : câblage à THD dans toutes les classes avec accès à INternet, diversification des équipements avec chariots multimédia, tableaux numériques actifs, Webcam, tablettes graphiques, agendas électroniques…, et surtout mise à disposition de ressources numériques à caractère pédagogique et utilitaire par le biais d’une plateforme logicielle de type Environnement Numérique de Travail (ENT). Elle est un véritable point d’accés unifié à un ensemble d’outils et de contenus pour les éléves, les familles et les enseignants. Ce dispositif global et unifié permet de travailler autrement la gestion de la vie scolaire, les contacts avec les familles, les contenus pédagogiques.

    Ainsi les principaux acteurs de la communauté scolaire et conseillers d’éducation peuvent gérer différents aspects de la vie scolaire : emploi du temps, répartition des salles et des heurese de cours. Les professesseurs et leurs éléves peuvent travailler ensemble dans des espaces personnalisés. Les parents ont la possibilité de visualiser le cahier de textes, les absences, les notes, les devoirs de leurs enfants, accéder aux informations de l’établissement.  Ce nouveau portail de services sera utilisable partout en France, depuis le collége le lieu de travail ou de vacances, le domicile, sur un smartphone. Pour cela le collége St Ex sera progressivement connecté en très haut débit dés la 1ére vague  bénéficiera d’un accés à l’internet fiable et sécurisé grâce à un réseau dédié.

     

    LA REGION BOUCLIER SOCIAL

    A Michelet comme pour les 469 autres lycées franciliens, la Rentrée s’effectuera ce matin en présence des élus régionaux (de gauche) siégeant dans leur conseil d’administration, pour manifester leur engagement et pour marquer leur opposition au désengagement de l’Etat auprès des lycéens et de l’éducation nationale (suppression de 50 000 emplois densignants en 3 ans, de la carte scolaire, réforle de la classe de seconde). La Région a décidé de jouer le bouclier social pour les jeunes lycéens face face à une  politique gouvernementale « qui mène à la mise en place d’une école à plusieurs vitesses », en prenant plusieurs initiatives dont certaines feront l’objet de délibérations lors du Conseil Régional des 30 Septembre et 1er Octobre, « pour œuvrer à la réussite de tous les éléves » :

    - La Région va instituer une tarification selon le quotient familial pour la cantine, qui sera expérimenté dans une vingtaine d’établissements avant sa généralisation. « Nous souhaitons une modulation des tarifs au plus près des critéres réels, ce qui n’est pas simple, pour définir le prix le plus bas et le plus haut. C’est la raison pour laquelle nous avons lancé cette expérimentation ».

    - Elle va créer un observatoire de la réussite scolaire afin d’offrir un cadre d’analyse pour luter contre les inégalités territoriales, scolaires et sociales. « Il s’agit de travailler à la mise en place de la réussite scolaire, bien comprendre les blocages, et  limiter la concurrence et la géothisation des établissements, renforcées par la suppression de la carte scolaire ». 

    - Elle va mettre en œuvre une politique visant à limiter cette concurrence accrue entre lycées et une politique d’investissement visant à favoriser un ré-équilibrage territorial de l’offre de formation en faveur de villes ou quartiers populaires ayant accumulé du retard. Des principes qui seront mis en œuvre lors de la révision du PPI et du PPR (Programmes Prévisionnels d’Investissement et de rénovation des lycées).

    - Elle va développer la lutte contre les discriminations grâce à plusieurs mesures : Faciliter l’accés aux stages dans les entreprises pour les lycéens les plus discriminés, faire parrainer par les établissements les lycéens sans papier, c'est-à-dire des jeunes qui atteignant leur majorité, se voient confrontés brutalement à des invitations à quitter le territoire. « L’objectif de la Région est d’assurer leur régularisation pour qu’ils achèvent leur année scolaire, puissent se présenter aux examents et envisager de poursuivre leurs études ».