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Vie Locale - Page 293

  • A VANVES LA CANTINE EST PLEBISCITEE A 86%

    C’est une bonne nouvelle pour Avenance et la ville de Vanves, même si cette enquête d’opinion auprès des enfants a été réalisée par le délégataire de service pour son rapport annuel transmis aux élus lors du dernier conseil municipal. Selon l’enquête de satisfaction réalisé par Avenance à Marceau par exemple (et cela ne divergent pas de Max Fourestier par exemple), les écoliers apprécient les desserts à 92%, les féculents à 90%, les fromages et laitages à 72%, les entrées à 62%, les viandes poissons, œufs à 51%, les légumes à 47%. 88% considèrent avoir suffisamment mangé, 78% reconnaissent qu’ils ne mangent pas toujours les mêmes plats à la cantine que chez eux, et 70% apprécient les animations, le personnel à 90%. 90% sont d’ailleurs content de venir « au restaurant » pour manger avec leur copains dans une ambiance sympa. Ils le plébiscitent à 86%.

    Ainsi Avenance a confectionné et servie 270 915 repas en 2008 selon le dernier rapport d’activité qu’ont reçu tous les conseillers municipaux : 87 930 en Maternelle (32,46%), 132 494 en primaire (48,91%), 50 491 pour les adultes (18,64%)  dont 9 392 à la résidence Danton, 9 631 par portage à domicile et 31 468 dans les écoles (adultes scolaires). Le nombre de repas  a baissé car il est était de 330 675 en 2007.

     

    Une commission restauration à laquelle participe des parents d’élèves, les animateurs du temps de restauration, les responsables de satellite (dans chaque école) se réunit 6 fois par an permet de recueillir les avis et les propositions. On apprend ainsi au gré de ses réunions, que l’association omelette/carottes, le potage cultivateur ont été apprécié, mais que pour le repas de noël – c’est d’actualité – la sauce aux brisures de marron  n’a pas été apprécié, des marrons entiers l’auraient peut être été mieux. Par contre les pommes dûchesses, un délice ! Les menus exotiques sont appréciés, surtout la glace à la pistache, et les fruits exotiques comme les litchis. De même que les salades de mâche et chèvre, l’orange sanguine, les fraises, les salades de fruits fraîches, le brownie/créme anglaise, le melon charentais, les lasagnes bolognaises, le sorbet à la noix de coco.  

    Cette commission a constaté beaucoup de pertes de repas durant l’hiver, et que les enfants n’aiment pas les morceaux dans les potages. Le poulet rôt label rouge n’a pas été apprécié à cause d’une viande trop ferme sans saveur, sans caractère, remplacés par des pilons de poulet. La viande de mouton a une odeur trop forte. Du coup l’agneau a été privilégié. Pour la paëlla, il faut éviter le coktail de fruits de mer et ne mettre que des crevettes…

     

    LU, VU, ENTENDU

     

    PANNE : Les écoliers de la maternelle Aristide Briand ont eu de la chance. Il paraît qu’ils sont partis en vacances au bon moment, car le chauffage ne fonctionne plus. A cause sûrement du froid hivernale qui s’est abattu sur Vanves comme ailleurs avec de la neige

     

    SOLIDARITE : les équipes de la conférence Saint Vincent de Paul (de Saint François) se sont mobilisés pour confectionner des colis de Noêl grâce à l’aide des Petits Frères des Pauvres et de l’Institut des Hauts de Seine et les distribuer aux personnes âgées qui seront seules le soir de Noël. Les deux communautés paroissiales se sont mobilisées pour que le soir de Noêl soit organisé un repas « festif » dans la salle paroissiale Saint Remy pour ceux qui seront seuls. « Le principe est simple : Venez à partir de 20H30 avec, si vous le pouvez, un petit plat de fête à partager » 

     

    LE TRENTE : C’est fini, depuis Vendredi dernier, lorsque le pére Alexandre Pincé, aumônier a réuni ses troupes avec des anciens élèves et animateurs au 30 rue Jullien, là où l’aumônerie était installée depuis 35 ans.  Son propriétaire a souhaité récupérer ce pavillon pour y construire sûrement un « superbe »  immeuble, l’aumônerie ayant déménagé, pour l’instant dans l’ancien oratoire de Saint François, en attendant peut être un autre lieu. Mais c’est tout un pan de l’histoire cultuelle de Vanves qui s’arrête, à laquelle ont contribué beaucoup de prêtres depuis le père Froissard jusqu’au père Pincé, des parents, des jeunes…pour faire vivre cette aumônerie.

  • VANVES : UN WEEK-END DE TERROIRS SOUS LA NEIGE

    Le village des terroirs a été baptisé hier matin, pendant la grande messe dominical célébrée par le pére Thirion. La neige lui est tombé dessus pour la première fois depuis 5 ans. Il a connu la pluie, le froid intense et glaciale, le soleil, mais pas la neige. C’est fait depuis hier, juste avant l’apéritif offert par le Conseil de Quartier en présence du maire Bernard Gauducheau avec son chapeau très mitterrandien venu de Pologne, de son président et maire adjoint, Bernard Roche qui revenait de Juvisy où il avait assisté au match de l’équipe première de Basket et du pugillat qui s’en est suivi (Lire le récit sur le blog Vanves92170), de sa collègue chargée de l’animation, Françoise Saimpert qui a passé ses trois jours au village avec l’équipe du service animation pour s’assurer de son succès, sous la direction de l’ineffable et efficace directeur avec son bonnet noir et anorak rouge.

    Mais voilà, la neige depuis Jeudi a provoqué quelques embouteillages sur notre commune, provoqué la fermeture du parc Frédéric Pic, mais pas du village du terroir. Certains ont respecté la loi, en salant devant leur immeuble alors que d’autres attendaient peut être que la ville leur livre le sel. Les trottoirs au tour du Parc des Expositions ne l’ont pas été, tout comme le long des longs murs du lycée Michelet, ou des grilles du parc F.Pic, et même devant certains immeubles ou pavillons. Ce qui est de l’irresponsabilité de la part des concitoyens vanvéens lorsque l’on constate que le froid peut rendre ses trottoirs très glissants. Ce qui était le cas au village des terroirs, mais les agents municipaux y veillaient en enlevant régulièrement la neige des allées entre les stands.  Par contre il était intéressant de constater que dans les rues qui bénéficient encore du stationnement non payant, certaines voitures ventouses avaient disparues (peut être garé dans leur parking) permettant de trouver des places pour se garer plus facilement.

    Ce week-end a permis de constater l’incivilité des riverains de la rue de l’Eglise. A peine réaménagée, ils ont garé leurs véhicules le long des murs des immeubles, alors que le stationnement y est interdit. Ils profitaient du fait que la ville n’avait pas encore installé des grilles dites de « Saint André » comme dans la rue Gaudray. Alors qu’ils ont voté en grande majorité contre le stationnement. Ce qui ne les empêche pas de pester contre ces chauffards qui roulent à plus de 30 km/h dans leurs rues. Mais ils devraient déjà commencer à montrer l’exemple en respectant ce qu’ils ont décidé avec la mairie : Plus de voitures rue de l’Eglise, et pas attendre des dispositifs matériels dissuasifs pour le faire. Ils seraient plus crédibles.

  • UN SAMEDI A VANVES ENTRE TERROIR ET VILLA

    VILLAGE DES TERROIRS : TARIFS ET ANIMATIONS

    Cette manifestation qui s’est déroulée aujourd’hui sous un temps ensoleillé et glaciale, avait fait l’objet d’un petit débat au dernier conseil municipal du 9 décembre à l’occasion de l’actualisation des tarifs pratiqués : 300 € pour un producteur culinaire (inchangé), 110 € pour un stand d’un artisan d’art non vanvéen et 85 € pour celui qui est vanvéen, gratuité pour un commerçant sédentaire des alentours du site.  Fabian Estellano, élu PS, en avait profité pour dire « qu’il était démesuré de taxer les artisans qui viennent au marché des Terroirs. Il faudrait rester sur les tarifs de l’an dernier, réfléchir à une extension rue Louis Blanc et place du VAL (Maréchal De Lattre de Tassigny) » - « Les tarifs ne sont dissuasifs car beaucoup viennent » lui avait répondu Bernard Gauducheau en précisant que parmi les artisans cette année, il y en avait 32 dont 12 vanvéens et 20 non vanvéens.

    Beaucoup de vanvéens ont pu les découvrir durant cette journée de samedi, ensoleillée le matin avec l’apéritif offert à midi par le GEV, un peu moins l’après-midi avec la remise des prix pour la meilleure lettre du pére Noël,  remise en présence d’Isabelle Debré, Sénateur qui a visité les stands avec Bernard Gauducheau et Françoise Saimpert. La paroisse Saint Remy organisait une visite commentée de son église l’après midi, et une présence durant ce week-end pour permettre justement ces visites et les messes, après l’incendie de la crèche dont l’origine est encore inconnue. Mais qui a profondément marqué et heurtés les esprits, comme ont pu s’apercevoir les élus dont le maire en fin de matinée, accompagné de Laurent Lacomére, adjoint à la sécurité, et de nombreux habitants en constatant par eux même les dégâts.     

     

    VILLA COLSENET : INAUGURATION DE LA GRILLE

    Des miracles se produisent quelquefois au sein de nos copropriétés. Généralement dans ses villas qui regroupent plusieurs pavillons, ce n’est pas la parfaite entente. Mais là, durant l’été, l’un des copropriétaires de la Villa Colsenet, face à l’hôtel Ibis et à côté du Jean Bleuzen du nom de cette rue (anciennement de Paris), s’est mis en tête de restaurer la grille d’entrée, un petit trésor en piteux état, mais qui avait une valeur historique. Monsieur Pariselli s’est occupé de trouver un ferronnier d’art, a retouché certaines pièces, repeint l’ensemble et refait le pavage, avec l’aide de Patrick Rudet,  puis de l’inaugurer hier matin en présence du Maire, d’une partie de son équipe, de Guy Janvier, conseiller général qui lui aussi, a rénové la grille de son pavillon rue Marceau cet été – « Vous allez l’inaugurer ! » lui a demandé le maire.   « C’est ce que je vais faire » lui a t-il répondu - avec un petit pot pris dans le café Jean Bleuzen, repris par un jeune couple d’aveyronnais.

    Occasion de rappeler l’histoire de cette Villa Colsenet en présence d’un membre de cette famille dont l’arriére-arrière grand pére, Pierre Alfred Colsenet acheta ce terrain en 1877 à un fabricant de machine à coudre ce terrain qui s’étendait alors jusqu’à la voie de chemin de fer. Il installa une fabrication de faux-cols en autre  qui employait une vingtaine d’employés et fit construire cette Villa en 1890 pour les loger. Mais elle n’apparait réellement sur les plans de Vanves qu’en 1913 selon le cadastre. Peu importe, car elle correspondait finalement à une réponse à la croissance démographique de notre ville au début du XXéme siécle, suite à la construction de la gare de Vanves-Malakoff en 1883, et surtout à une demande de logements de la classe moyenne, qui se fit sentir notamment sur le Plateau. Le fils de P.A. Colsenet, Paul continua cette activité jusqu’en 1925 avec la parenthèse de la guerre 14-18. Aujourd’hui cette villa reste le témoin de cette activité avec ses pavillons en meulière, et son garage tout au bout sous l’ombre du bâtiment d’Hachette.