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  • VANVES ET L'ARC DE SEINE

    MISE EN PLACE D’UN LABEL DE CONCERGERIE D’ENTREPRISE CITOYENNE

     

    Parmi tous les événements qui ont marqué cette fin d’année, plusieurs sont passés inaperçues ou ont été occultés par la précipitation de l’actualité. C’est le cas pour la mise en place d’une conciergerie citoyenne sur le territoire d’Arc de Seine inauguré pratiquement au moment où était annoncée la fusion des deux communautés d’agglomération d’Arc et du Val de Seine. Une étude menée par la CCIP Hauts de Seine a révélée que le territoire de l’Arc de Seine bénéficiait de forts atouts : une offre commerciale variée et de qualité présent sur tout le territoire. Une demande potentielle importante à travers la présence de nombreuses PME-PMI et l’implantation de grandes entreprises. Ses atouts favorisent l’implantation d’une conciergerie d’entreprise citoyenne qui répond aux attentes de leurs salariés. Son activité consiste à proposer aux salariés d’une ou plusieurs sociétés de mettre à leur disposition un catalogue de produits ou de services destinées à faciliter leur vie quotidienne et à accroître leur disponibilité et leur performance professionnelle

    Arc de Seine et la CCIP 92 ont lancé le label « Prédici » qui est un concept innovant et inédit en France : Inciter les conciergeries en centre urbain à utiliser les services des commerces de proximité pour des prestations habituelles ( pressing, repassage, garderie, taxi) mais aussi inhabituelles comme des démarches administratives, le bien être, la sélection de restaurants, l’organisation de week-end… et proposer aux PME les mêmes services qu’aux grandes entreprises. Leur objectif est d’ici fin 2009 que 80% des fournisseurs référencés dans le catalogue des conciergeries soient locaux. En sachant que le territoire des 5 Communes d’Arc de Seine recensent 1630 commerces. Et que deux prestataires ont été retenus pour s’implanter sur le territoire sous le lable Predici : « Bien être à la carte » et « West Born ».

  • AU ROSIER ROUGE A VANVES

     

    Des nouvelles du Rosier Rouge qui a fait l’objet de deux reportages durant le dernier trimestre de 2008 : l’un de 58 mn sur France Culture le 23 Septembre dans le cadre de l’émission quotidienne « sur les docks » et l’autre de 25 mn sur KTO diffusé entre le 25 et Le 30 octobre dernier.

     

    CRAINTES : La dernière lettre des Amis du Rosier Rouge est paru ses derniers jours. Pierre Nicolas, son président s’interroge sur la place du Rosier Rouge dans le dispositif de soins régionalisé qui réunira la médecine de ville, l’hôpital et l’ensemble des établissements et services du champ médoco-social. Il doit faire l’objet d »un projet de loi qui sera débattu au parlement en Janvier 2009 : »Son rayonnement national, voire international ne risque t-il pas d’être remis en questioon dans une organisation territorialisée ? L’articulation sur mesure de son intervention avec les hôpitaux et son financement par la CNAMTS vont-ils être pérénnisés ? sur quelles bases ? Notre mission d’accueil des accompagnants ne risque t-elle pas d’être remise en cause dans un contexte de rationalisation desmoyens dévolus à la Sécurité Sociale ? » écrit dans  l’éditorial en reconnaissant "qu’il convient de s’assurer que sa légitimité continuera d’être reconnue au même titre que cele des autres établissements d’accueil du même type partout en France. Nos maisons ont vocation à construire des ponts, à assurer des relais, à permettre des accompagnements entre les personnes touchées par la maladie, entre les professionnels et entre les systémes censés les protéger ».

     

    PROJETS : Les Amis du Rosier Rouge prévoit une journée de présentation de cet établissement et de réflexion sur l’accueil et l’accompagnement des malades et de leur famille le 30 Janvier 2009. Cette journée sera destinée aux assistants sociaux des hôpitaux et aux intervenants salariés et bénévoles de l’ensemble des maisons d’accueil de France. Le prochain rendez-voyus scientitifique aura lieu le 19 Mars 2009 sur l’actualité ORL avec le docteur Marsac.

     

    TEMOIGNAGE : « J’ai passé moins d’une semaine dans votre structure et j’y ai senti la chaleur rassurante d’une famille oubliée depuis longtemps… Que de regards échangés, de tendresse évoquée, de mots posés et de sourires partagés qui m’ont réchauffé le cœur. A mon départ, j’étais perturbée et vous avez su trouver les mots pour me soulager et me rassurer. Je suis venue chercher des réponses dans cette ville aussi immense qu’inconnue. Je ne pensais pas repartir aussi charghée d’amour et apaisé, le coeyr gonflé de témoignages, d’encouragements et d’inoubliables rencntres…

  • UNE TOUR AUX PORTES DE VANVES

    LE CADEAU DE NOEL EMPOISSONNE DE DELANOË

     

    Evoqué à demi-mots lors du conseil de Paris du 8 juillet, cité plus explicitement par Anne Hidalgo, la première adjointe de Bertrand Delanoë, dans une tribune à Libération mardi 29 juillet, le projet d'immeuble de très grande hauteur porté par le promoteur Unibail au parc des expositions de la porte de Versailles (15e) a été présenté officiellement à la fin de l’été 2008 et fait l’objet actuellement d’une concertation menée par la ville de Paris. Il s'agit du premier gratte-ciel construit à Paris depuis plus de 30 ans, par les Suisses Jacques Herzog et Pierre De Meuron, architectes superstars, couronnés du Pritzker prize (le Nobel de la profession) en 2001, et auteur - parmi d'autres bâtiments - du stade olympique de Pékin ou de la Tate Modern à Londres. C’est finalement le cadeau empoissonné de Noël de Delanoë qui a provoqué une vérotable querelle entre les pro et les anti-tours à Paris qu’aurait pu et que pourrait départager un référendum sur ce sujet comme l’ont demandé les Verts de Paris et que la mairie de Paris a refusée en déclarant que « ce n’est pas démocratique » (Anne Hidalgo).  

     

    Plusieurs éléments intéressants ont été donnés par les représentants d'Unibail lors d’une réunion publique à Vanves le 3 décembre dernier : "l'objectif de ce projet est de renforcer l'idée de parc des expositions urbain"… "Il s'agit d'un projet préliminaire. C'est la raison de ces concertations pour essayer de comprendre les attentes des habitants"…. "Notre objectif est de proposer un immeuble où l'on  retrouve des services répartis dans les 35 Ha du parc des expositions"…" en passant par une solution de grande hauteur, avec un axe perpendiculaire, le long de l'avenue Ernest Renan, qui sépare le "petit parc" et le "grand parc", "sur l'emprise du parc et non de cette voie", "en concentrant l'ombre projeté sur les halls d'expositions", notamment le Hall n°1 de 5000 m2 principalement et « en animant cette artére large qui est peu vivante et peu fréquentée actuellement".  Ce bâtiment de 200 m de haut s'étalerait sur 200 m de long et 35 m de large et accueillerait un ensemble de commerces, et de locaux pour bureaux et activités centrées sur l'événementiel et organisations de congrès et expositions, avec des belvédères et des restaurants. Les architectes ont cherché à lui donner une forme effilée et cristallin, en lui permettant ainsi de s’inscrire dans le systéme des perspectives des axes Haussmaniens mais les représentants d'Unibail n'ont pas pu dire quels matériaux seront utilisés, car c'est encore trop tôt. 

     

    Enfin, au moment de son lancement avec d’autres projets de tours aux portes de Paris, la CCIP (Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris) publiait une enquête réalisée par Médiamétrie du 8 au 24 Septembre 2008 auprès de 979 entreprises parisiennes. Elle indiquait que seules 17% d’entre elles seraient prêtes à s’installer dans une tour aux portes de la capitale. Elles leur reprochent, entre autres, leur caractère inhumain (39%), leur proximité du périphérique (37%), et le coût supposé important de l’installation (33%). Ce type de bâtiment est surtout plébiscité par les entreprises de grande taille, notamment les sociétés de services de plus de 10 salariés et les activités de proximité (prssing, coordonnerie etc..) attirées par la concentration de clients potentiels da,s ces ensembles. Les avantages les plus cités par les personnes sondées sont l’accessibilité en transports en commun (90%), le fait de disposer d’une adresse parisienne à un coût moindre qu’au centre de Paris (80%), l’accessibilité par la route et un stationnement plus facile (78%).