Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • DANS LE CREUX DE L'OREILLE

    PRUD’HOMMALES A VANVES

    Cinq bureaux de vote à Vanves seront ouvert aujourd’hui pour les élections prud’hommales :  2 à la mairie (Bureaux N° 626 et 584) , 2 à l'école primaire Marceau (Bureaux N° 582 et 583) et 1 à l'école élémentaire Larmeroux (Bureau N° 585). « Ces élections sont particulièrement importantes cette année avec le changement de loi sur la représentativité et il est donc important d'aller voter » indique un vanvéen particulièrement concerné qui a fait remarquer à l’auteur de ce blog l’oubli de ce rendez-vous important dans l’agenda de la semaine. Xavier Bertrand, qui était lui aussi dans les Hauts de Seine, hier matin,  a estimé qu'une bonne participation aux élections prud'homales « permettrait de renforcer le dialogue social » avec des « syndicats plus forts », lors d'une visite d'un bureau de vote et de locaux syndicaux dans une grande entreprise d’assurance « Axa ». « Avec des syndicats plus forts », les « prud'hommes doivent permettre de renforcer le dialogue social », a déclaré le ministre qui a déploré la faible participation aux prud'homales de 2002 (32,7%) alors que les salariés sont « neuf sur dix à dire que les prud'hommes, c'est important », dans les sondages.

  • LES HAUTS DE VANVES (suite)

    TEMOIGNAGES DE RIVERAINS EXCEDES FACE AUX ORAGES

     

    Le Blog « Vanves Au Quotidien » a rencontré quelques riverains qui sont victimes à chaque orage violent, d’inondations dans leurs pavillons qui reviennent souvent à l’ordre du jour des réunions de quartier dans les Hauts de Vanves, mais sans grand résultat jusqu’à présent à les entendre  : «  A chaque orage, c’est un torrent qui déferle dans nos rues. Nous avons une petite borne en face de chez nous rue Gresset qui nous sert de niveau. A chaque fois qu’elle est couvert par de l’eau, nous y avons le droit, avec 25 à 30 cm d’eau chez nous. C’est radical. Nous sommes inondés dans les caves par de l’eau provenant des égoûts, ou de la pluie  pour ceux qui ont fait des travaux pour bloquer l’eau en provenance des égoûts » indique un riverain. « Cela ne  dure pas que  le temps de l’orage, mais perdure, avec de l’eau qui descend de Clamart, Issy les Moulineaux, Malakoff, Chatillon…. Un véritable torrent qui déferle rue du Docteur Arnaud, et qui remonte sur les rues adjacentes, faisant claquer les clapets de protection. Au dernier orage, nous avions des poubelles qui venaient de l’av. des fréres vigouroux à Malakoff,  de l’autre côté du pont Montholon, mais aussi des bouts de bois, des imondice…  Les pots d’échappement des véhicules stationnés en sont plein » témoigne un voisin qui constate que  « des travaux ont été fait à Clamart dans la rue Jean Jaurés où les commerçants ne sont plus maintenant inondés ». Un troisiéme a constaté « que les travaux de relévement de la chaussée à l’entrée du PMS A.Roche, provoquent des inondations, car une véritable petite piscine se forme à l’intersectuion des 3 rues, et l’eau revient vers les rues. Les riverains sont derrière leurs fenêtres, attendant de savoir ce qui va se passer ».  Il parait même  que les deux sols du parking  de la résidence dit « DDE » à l’angle de la rue du Docteur Arnaud et de l’avenue de la Paix, sont systématiquement inondés, provoquant réguliérement l’appel des pompiers pour pomper l’eau.

     

    « Nous demandons des travaux depuis 14 ans. Et on nous répond que  c’est un problème récurrent ! Le  Conseil de Quartier s’en ait saisi ! On a essayé de faire bouger la mairie qui s’est déplacé. Des travaux ont été fait par le département en amont sur des collecteurs. D’autres doivent être fait dans notre quartier par Arc de Seine. Mais on attend ! Jusqu’à quand ? » s’exaspère une riveraine qui est conscient que « tout cela provoque une moins value sur leur patrimoine immobilier, ces inondations à répétition abîmant nos maisons. Certaines ont bougée ! ». Un autre, très ancien dans ce quartier se rappelle un courrier d’André Roche (Maire entre 1965 et 1980) demandant au département la réfection des égoûts de la rue Gresset. « Mais c’est normal que nous ayons de l’eau chez nous  car nous avons dans le sous sol des tuyauteries qui datent des années 30, et de plus en plus de constructions nouvelles autour,  ont été édifiés, sans avoir amélioré ce réseau souterrain. Notre égout de la rue Gresset remonte rue Hoche pour rejoindre le Clos Montholon, alors que le regard est en bas de la rue Gresset. On s’est battu pour obtenir un changement de sens plus normal par rapport à la pente de la rue. Mais rien n’a été fait jusqu’à la décision d’Arc de Seine de mener ses travaux qui devrait justement corriger cet état de fait » constate un habitant de cette rue qui a installé voilà 14 ans une cuve de rétention de 1 m3 qui ne suffit pas, et déborde souvent lorsqu’il y a de gros orages. Mais ses travaux lui ont permis d’installer un systéme qui  bloque herureusement les eaux des égoûts dés qu’elles montent, « mais on a tout de même de l’eau pluviale qui monte vite dans notre cuve ». Beaucoup considérent que « ce n’est pas le bassin de rétention  prévu qui devrait changer les choses. Même si cela a le mérite d’améliorer les choses. 450 m3 est-ce suffisant pour recueillir toute cette eau ? Et puis maintenant, les travaux ont été de nouveau retardés, et les gens craignent que le chantier  fasse vibrer leur maison ». Les riverains sont excédés, ayant l’imptression que rien n’est fait, d’autant plus que le chantier a été de nouveau retardé.

  • REUNION DE QUARTIER DES HAUTS DE VANVES

    DES TRAVAUX D’ASSAINISSEMENT RETARDES A CAUSE D’UN PERMIS

     

    Les travaux d’assainissement prévus dans le secteur des rues du Docteur Arnaud, Mansart et Gresset pourraient presque devenir un « marronnier » puisqu’ils reviennent sans cesse à l’ordre du jour des réunions de quartier des Hauts de Vanves, comme certains sujets dans la presse. Les services d’Arc de seine étaient encore présent Jeudi dernier à la salle des Cinéastes pour présenter, de nouveau ce projet, afin de lutter contre les inondations récurrentes dans ce quartier, malgré des travaux sur de gros collecteurs du côté de Clamart. Il est vrai que ses 3 rues se croisent à la surface  devant l’entrée du stade municipal au plus bas de la cuvette – « ou talveg si l’on utilise un terme militaire » - avec ses 84 habitations surtout pavillonnaires – et dans le sous sol, 2 réseaux, départemental et communautaire « qui sont sous dimensionnés et saturés ».  Ses techniciens ont fait le relévé des problèmes posés par l’imperméabilité de la chaussée, de la saturation de ces réseaux, avec des effondrements et des fissures, le nombre réduit d’avaloirs. « L’objectif est d’éviter bien sûr les inondations et de faciliter l’écoulement des eaux de pluies » ont-ils précisé en décrivant les travaux : changer l’intégralité des collecteurs en leur redonnant un sens naturel (notamment rue Gresset), créer de nouveaux avaloirs (12), reprendre les raccordements avec les habitations, et aménager un ouvrage de stockage (450 m3) localisé sous le parking du stade municipal, bétonné avec station de relevage, qui nécessitera de lourds travaux.

    Ses travaux d’un  coût de 610 000 € devaient démarrer au second trimestre 2008, mais ils ont été retardés pour de multiples raisons dont des appels d’offres infructieux. Mais voilà, entretemps, les équipes d’Arc de Seine ont découvert qu’il fallait un permis de construire pour le bassin de rétention dont l’instruction et la procédure réglementaire demandent 3 à 6 mois supplémentaire. « Nous ne sommes pas toujours informés  des subtilités et des changements de la législation » a tenté d’expliquer le maire face à des riverains qui s’en étonnaient.   Du coup, ce chantier ne devrait démarrer qu’un an après, c'est-à-dire au second trimestre 2009. Il sera concerté, c'est-à-dire ouvert aux riverains qui se rendront compte des moyens mis en place pour réaliser de lourds travaux, et des différents corps de métiers concernés. « Nous ménerons une communication de proximité pour essayer de faire mieux comprendre ce que l’on fait et nous mettrons en place des sentinelles, c'est-à-dire des riverains bénévoles, qui  assurreront le lien et Arc de Seine et les habitants de ce quartier ». C’est ce qui a été fait lors de la construction de la nouvelle usine d’incinération à Issy les Moulineaux.  Les riverains ont posé sur un certain nombre de questions sur l’efficacité du bassin de rétention, sur l’élimination de l’eau de pluie, sur le financement des travaux… mais aucun sur la gêne entraînée par ces travaux comme ce fut le cas lors de précédentes réunions. Le Maire a essayé de leur faire prendre conscience que beaucoup de choses ont été faites en amont par le département, mais que l’on ne changera rien à la topographie de ce lieu qui est dans un creux. « Les travaux que l’on fait essaient d’améliorer les choses » a-t-il répondu à l’un d’entre eux qui constatait « que l’on a l’impression de recevoir tout l’eau de l’Interco »- « Mais il n’y a aucun lien avec l’interco. Nous essayons seulement d’intervenir à notre niveau ».

     

    A SUIVRE…