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DES JEUX DIFFICILES POUR LES NAGEURS DU STADE DE VANVES SELECTIONNES

Pacôme Bricout qui est un jeune nageur du Stade de Vanves, prometteur, a été éliminé en série aux JO sur 800m nage libre. « Il débarquait aux Jeux pour apprendre et il fait peu de doutes qu'il va rentrer avec des leçons et des enseignements dans ses valises. Pacôme Bricout n'a pas réussi de miracle, à la Paris La Défense Arena, dans les séries du 800 m nage libre. Le natif de Cannes, qui s'entraîne à Martigues avec Philippe Lucas depuis trois ans, est encore un jeune nageur sur la scène internationale » constataient les journalistes sportifs. «Pour lui, rejoindre la finale relevait d'un petit exploit qui ne s'est pas produit. 4e de la deuxième des quatre séries remportées par le Montpelliérain David Aubry (en 7'44''59, 8e temps et qualification en finale), le vanvéen de 19 ans a signé le 23e temps global (7'57''32), alors que seuls les huit premiers chronos rejoignaient la finale…Il espérait nager en 7'52''. Parti trop vite en raison de son excitation et boosté par l'ambiance, il a raté le coche. Il n'aurait pas craché sur un nouveau record, pour effacer celui qu'il avait obtenu en juin aux championnats de France à Chartres (7'48''63), mais il s'était fixé un objectif davantage en adéquation avec une course en séries » commentaient ils.

« J'ai vraiment vécu un truc incroyable, franchement. Le bruit qu'on entend derrière le plot, l'énergie que cela nous donne, il faut vraiment réussir à la canaliser. Il faut savoir l'utiliser au bon moment et je pense que je suis parti avec trop d'énergie. Ce n'est pas ce qu'il fallait faire mais je l'ai fait... Je l'ai payé direct. Ce truc s'apprend avec le temps et l'âge. Ce n'était que ma deuxième compétition internationale » expliquait Pacôme Bricout. «Niveau temps, ce n'est pas ce que j'espérais ! C'est compliqué. Je pense que j'ai deux-trois choses à changer à l'entraînement. Physiquement je suis bien, mentalement ça va, j'arrive à bien finir mais je ne parviens pas à accélérer le rythme. Aux 300 mètres, je suis déjà à une seconde. Devant, ça nage très vite, on le voit, et si je veux le faire aussi il va falloir que je tienne cette allure à l'entraînement. C'est quelque chose qu'il faudra que je travaille. On fait beaucoup de caisse mais moins d'allure (avec Philippe Lucas). L'année a quand même été difficile, je ne me suis pas beaucoup entraîné à cause de ma mononucléose (il a été touché en fin d'année dernière, NDLR), je me suis peut-être entraîné cinq mois sur dix pendant l'année. Je le paie peut-être là » reconnaissait il

Hadrien Salvan, a participé à la finale du relais 4x200 m nage libre avec Wissam-Amazigh Yebba,Yann Le Goff et Roman Fuchs le 30 Juillet dans la bassion de l’Arena La Défense, mais ils n’ont décroché que la cinquiéme place dans un vacarme assourdissant des supporters français pour les encourager. Les relayeurs britanniques ont été les plus forts, décrohant aux JO de Paris un deuxième titre consécutif sur 4x200 m, devant les Américains et les Australiens. Déjà meilleur chrono des séries, ils ont rapidement pris les commandes pour boucler la course en 6 min 59 sec 43.

Enfin, le troisiéme nageur vanvéen, Damien Joly (sur la photo), pour sa deuxième finale olympique (après Rio 2016),  a terminé 8e de la finale du 1500 m.  Après sa perf’ en série, il a tout donné. «On savait que ça allait nager vite, mais il n’y a jamais eu un tel niveau sur le 1500m» avait il réagi au micro de Nelson Monfort sur France 2. Mais « cela restera un super souvenir ! »

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