Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

VANVES PAR LE PETT BOUT DELA LORGNETTE

SALON DU LIVRE : UN MECENAT QUI INTERROGE

Sur les réseaux sociaux, certains vanvéens ont évoqué la première fête du livre qui s’est déroulé Dimanche dernier en signalant que « la Ville se garde bien de préciser que cette manifestation est financée à hauteur de 7000 € par un promoteur immobilier qui a 3 programmes en cours sur Vanves» et que «seul un partenariat avec Hachette (2500 €) est évoqué ! » dans le Vanves Mag. Même  si le dernier  conseil municipal du 2 Février 2021 a votée trois délibérations sur ces dons : Tout d’abord 2500 € versés par la société Hachette Livre, votée à l’unanimité. Enuite 7000 € versés par  la sociéé CARE Promotion votée à la majorité (30 voix pour et 5 contre provenant des écologistes). Enfin un don de 3000 € de la société Sadaka votée à l’unanimité. C’est le montant des sommes versées par les promoteurs qui étonnent par rapport à Hachette. Ce n’est la première fois, puisque la société Bouygues Immobilier avait participé au financement de la réhabilitation de la chapelle de la Maison de Retraite Larmeroux. Mais il est vrai que vu le contexte actuel avec la multiplication des constructions immobilières à Vanves, certains vanvéens se posent des questions lorsque des promoteurs font du mécénat, car dans ce monde, rien n’est fait gratuitement  

UN CENTRE DE TRANSIT DE REFUGIES UKRAINIENS  A PARIS EXPO

Un  centre de transit de 5000 m2 a ouvert ses portes depuis jeudi dernier, dans le parc des expositions de la porte de Versailles. Les réfugiés ukrainiens débarqués dans la capitale peuvent désormais accomplir toutes leurs démarches sous un même toit, et s’y reposer une nuit s’ils ne sont qu’en transit. «C’est un hub de premier accueil» explique Julien Marion, le préfet délégué à l’immigration auprès du préfet de police de Paris. «On a essayé de tout rassembler sur le même site et de faire en sorte de leur offrir une prise en charge humanitaire, car beaucoup sont traumatisés, ont vu leur maison détruite et traversé l’Europe dans des conditions difficiles»  

LE MAGAZINE ELLE AU COUVENT DES BENEDICTINES

« Au couvent avec des soeurs bénédictines : « L’abstention n’existe pas ici ». Tel est le titre d’une reportage du magazine "Elle" paru le 4 Mars dernier dans le cadre d’une série de reportages où à l’approche de la présidentielle, ses jourrnalistes sont partis à la rencontre de femmes sur le théme« Elles font la France ». Cette semaine-là, immersion dans un couvent à la rencontre de sœurs bénédictines qui sont loin de vivre « en dehors du monde » et pour qui le vote est un véritable devoir. Voilà commence le reportage : « Dans le couloir sombre du cloître, le bruit des clefs dans la serrure du bureau de sœur Marie-Madeleine résonne dans la galerie silencieuse. Il n’est pas encore six heures du matin quand la religieuse ouvre son ordinateur. « Ce n’est pas joyeux l’actualité ce matin, avec l’intervention de Poutine cette nuit… », soupire celle que l’on appelle la mère prieure qui dirige la communauté. Nous sommes le 22 février, le président russe a déclaré reconnaître l’indépendance des zones séparatistes pro-russes en Ukraine, dans une annonce télévisée diffusée dans la nuit. Moins de 48h plus tard, il lançait une opération militaire en Ukraine, provoquant la fuite massive des habitants du pays. Jusque dans le prieuré de Vanves, dans le sud de Paris, l’actualité internationale émeut la vingtaine de sœurs bénédictines de Sainte-Bathilde. « C’est notre monde, notre humanité », appuie sœur Marie-Madeleine alors que la cloche sonne mâtines, la première prière de la journée à six heures et demie »….

Les commentaires sont fermés.