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VANVES ET LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES : DES ELUES FRANCILIENNES EN VEDETTE DES UNIVERSITES D’ETE POLITIQUES

Peut être que quelques vanvéens ont participé à ces universités d’été des écologistes, du mouvement libres, du PS où notamment ce week-end des élues franciliennes, candidates à la candidature à la présidentielle se sont illustrées : Valérie Pécresse (Libres), présidente de la Région Ile de France et Anne Hidalgo (PS)  maire de Paris pourraient très  bien par le hasard de la plitique qui réserve bien des surprises se retrouver en concurrence pour l’Elysée. Elles ont l’habitude de s’affronter lorsque la situation se tend entre la région et la capitale sur fond de Grand Paris, de transports, de lutte contre la pollution etc… la première défend une métropole-Région alors que la seconde défend la MGP  en ayant manoeuvré pour que P.Ollier son président fasse un second  mandat en Juillet 2020 alors la président de région avait envoyé ses lieutenants à l’assaut de la MGP dont le président du groupe LR au Conseil Régional et porte parole de Libres, Vincent Jeanbrun à deux doigts de lui piquer son siège,  avec la complicité de Jean Didier Berger, son 1er Vice président maire de clamart et Secrétaire Général  de Libres.

Seul problème pour Pécresse, la primaire, puisque, après le retrait de Vauquiez et Retailleau, il en reste trois avec Michel Barnier, Eric Ciotti,  et un  francilien membre de sa majorité au Conseil Régional : Philippe Juvin, maire de La Garenne Colombes et président des Républicains des Hauts de Seine :«Je suis candidat à la présidentielle parce que la crise nous oblige à tout changer. Il faut penser avec des méthodes, des visages et des parcours nouveaux » expliquait il fin Juillet,  dans le Figaro fort de son expérience face à crise sanitaire qu’il a vécu en première ligne en tant que chef du service des urgences de l’hôpital Pompidou et qu’il a relaté dans un livre en dénonçant la gestion calamiteuse de l’épidémie et en jugeant un quinquennat «fait d’immaturité, d’autoritarisme et d’amateurisme».

Mais, il est possible qu’elle saute cet obstacle avec le retrait du président de la Région Auvergene-Rhône-Alpes. Comme l’expliquait Bruno Jeudy dans Paris, «à la tête de son mouvement, Libres, elle prépare en coulisses son affaire depuis deux ans. Son équipe, composée de Patrick Stefanini, vétéran des campagnes présidentielles (il a dirigé celles de Jacques Chirac et de François Fillon), du chiraquien Frédéric Lemoine, d’Alexandra Dublanche (vice-présidente de la région) et de l’ex-plume de Fillon Igor Mitrofanoff, élabore son projet présidentiel. Car Pécresse se pose en « candidate des idées et des valeurs ». A La Région, elle peut comptersur ses fidéles pour tenir la maison, les vice présients Jean Didier Berger, 1er Vice Président, Othman Nasrou, Frédéric Péchenard, le président du groupe LR, Vincent Jeanbrun. Aux Républicains elle promettait, samedi à Brives (Corréze), de «jouer collectif» en s’inscrivant dans la droite ligne de Jacques Chirac «qui m'a mis le pied à l'étrier et m'a enseigné la politique» et en  évoquant la Corrèze comme sa «terre d'adoption et son refuge» : «Si je suis candidate, c'est pour gagner, alors je ne lâcherai rien. Ma détermination est intacte». Assurant que «nos idées et nos solutions sont plébiscitées partout», elle s'en dit certaine, «la droite peut et doit gagner la présidentielle de 2022».

La veille à Blois, Anne Hidalgo,  maire de Paris a fait un pas de plus vers une candidature à la candidature aux présidentielles en participant aux «journées d’été» du PS, à une quinzaine de jours  de la publication de son livre-programme. «En ce qui me concerne, avec vous, avec toute cette équipe, j’ai dit que je prendrai ma part» a-t-elle déclarée. «Nous allons être cette force politique qui va porter ce projet et qui va aller à la rencontre des français» a-t-elle poursuivi, en considérant : «On est à la croisée des chemins, au pied du mur, ça n’a jamais été aussi vrai pour l’enjeu climatique, mais aussi pour la fracture sociale qui en train de tuer le pacte républicain»

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