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  • FIN DE LA TREVE DES CONFISEURS POUR LES POLITIQUES A VANVES

    Passé le week-end précédent Noël, et surtout le samedi 21 Décembre devant le marché de Vanves et place de l’insurrection où étaient présent la majorité municipale avec le maire Bernard Gauducheau, et les écologistes avec Pierre Toulouse, leur tête  de liste, Vanves a vécu une véritable trêve politique : La permanence UDI de la rue J.Bleuzen était fermée. Certaines têtes de listes sont même parties fêter noël en famille. Tout comme les deux ministres Sophie Cluzel et Gabriel Attal.

    Une revue de presse attentive permettait juste de savoir que deux livres étaient sur la table de chevet du secrétaire d’Etat à la Jeunesse dont on parle beaucoup dans la Macronie : Le livre de Nicolas Matthieu «Les enfants après eux» qui a reçut le prix Goncourt. «IL y a dans ce bouquin des choses qui disent beaucoup sur l’état du pays ». Et le livre de Jérôme Fouquet « L’archipel français » qui  décrit un pays traversé par d’innombrables fractures, plébiscité dans les cercles du pouvoir.

    Seule exception : la pétition qu’a lancée juste avant les fêtes l’association des riverains de la rue Marcheron (ARRM) « Vanves pour les Vanvéens et non pour les promoteurs » et qui devrait solliciter les candidats ayx élections municipales à Vanves : «A l’approche des élections municipales de 2020, nous souhaitons un engagement des candidats sur le futur développement de Vanves. Nous désirons leur transmettre notre volonté d’une urbanisation plus harmonieuse et concertée» expliquent ses responsables

  • VANVES VOILA 30 ANS EN 1990 : LA ZAC SAINT REMY METTAIT LE FEU AU POUDRE

    Le square Marceau était inauguré par Charles Pasqua avec la plaque rendant hommage au général de Gaulle en Novembre 1990 pour les vingt ans de sa disparition. La ville dirigée alors par Gérard Orillard (RPR) lançait le projet d’extension du square jarrousse avec le déménagement du garage et des ateliers municipaux dans ses locaux actuels qu’ils devraient quitter, et qui faisaient l’objet d’un contrat régional avec le réaménagement de la place du VAL (De Lattre de Tassigny). Vanves accueillait le congrés départemental de l’UNC 92. La maternelle Claude Lemel ouvrait ses portes à la Rentrée 1990. G.Orillard lancait la restructuration du PMS A.Roche qui allait lui donner son aspect actuel avec ses deux plateaux, ce mur de soutainement entre le terrain annexe et les courts de tennis, avec la première pierre du pavillon des sports. C’était la dernière fois qu’il présidait une cérémonie officielle puisqu’il allait être emporté par la maladie au début de 1991, son 1er adjoint Didier Morin assurant l’intérim notamment lors de l’inauguration du square Marceau, et surtout gérant le difficile dossier du projet d’aménagement du centre-Ancien-Saint Remy.

    Le conseil municipal avait confié à la SODEARIF la réalisation d’une étude sur la rénovation du centre ancien, qui donnait naissance en fin d’année à la ZAC Saint Remy et suscitait une polémique virulente :  il prévoyait une grande place comme celle qui existe aijourd’hui,  avec un immeuble enjambant la rue Louis Blanc piétonnisée, afin de créer un front bati uni sur la rue A.Fratacci, des arbres plantés rue de la République et Kléber, avec un parking souterrain, et l’Ecole de musique déménagée sur cette place. L’ASAVA (Association  de Sauvegarde et Aménagement de Vanves Ancien) lancé par Véronique Azera, avec d’autres comités fut à l’origine de son abandon, avec la crise de l’immobilier qui touchait l’Ile de France avant les Municipales de 1995