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LEGISLATIVES A VANVES : THOMAS PUIJALON (PS) : « C’est si compliqué de se montrer socialiste ! »

Tous les fidéles d’entre les fidéles ont participé à la réunion publique de Thomas Puijalon (PS) à l’école Marceau mardi soir. « Toujours accroché et motivé » comme l’expliquait Philippe Goavec  (sur la photo avec Thomas Puijalon au marché) secrétaire de section (par intérim) du PS de Vanves. « On n’est pas mort ! Il y encore des débats à mener, et des valeurs à défendre !  Même si on a encore des passages à vide, il y a une place à prendre ! » a-t-il déclaré. « Le cadavre vit encore. On construit une nouvelle histoire après tout ce que l’on a apporté. C’est dans cette filiation que nos candidats se présentent : La justice sociale, l’intelligence collective » a ajoutée Valérie Mathey(PS) conseillère municipale. Pour Thomas Puijalon (PS) candidat et conseiller municipal d’Issy les Moulineaux, c’est un fil conducteur conducteur.

« Pour la 1ére fois, André Santini n’est pas présent. Cette circonscription ne nous est pourtant pas acquise. Mais tout est possible, rien n’est écrit » a déclaré Philippe Goavec en constatant qu’au travers des forums citoyens, Thomas Puijalon a modifié la manière de faire la politique : « Il faut renouveler les pratiques et les faire évoluer ! ». Occasion pour le candidat PS d’expliquer que ses adversaires ont découvert la démocratie participative, les deux candidats LR/UDI et de la République en marche, souhaitant associer les électeurs à l’élaboration de la loi, le premier en proposant un comité local de la circonscription constitué de citoyens tirés au sort, le second  à travers des ateliers législatifs. « Je n’aime pas cela car c’est « venez donner votre avis, puis on sort son projet (tout préparé) ». Je suis pour la démocratie collaborative parce que fondé sur l’émulation »

Il a surtout remercié les 25 militants dont le 1er Secrétaire fédéral d’avoir pris le risque de venir à cette réunion pour exprimer sa libre expression. Notamment face aux réseaux sociaux. « C’est si compliqué de se montrer socialiste. Alors que beaucoup ont venu leur âme. On est là pour défendre le PS autour de toutes ces conquêtes sociales, le pluralisme politique, car la démocratie a besoin des opinions contraires. Je ne me satisfait pas d’un parti unique, avec d’un côté, dans le rôle de clown, un JL Mélenchon qui ne se mélange pas au peuple, et l’autre un épouvantail (Le Pen), et d’un président qui veut instaurer un gouvernement des meilleurs parmi les meilleur ». Ce qui ne l’empêche pas d’expliquer qu’il ne  se reconnait pas dans une ligne qui vise à l’échec de Macron, en espérant qu’il négocie un programme commun avec les députés, ni dans le débauchage (auquel s’est prêté Sarkosy) qui n’est pas démocratique, ni moderne en ironisant sur le renouvellement avec collomb, Cohn  Bendit et Bayrou, ni dans la "guerre des roses" : « La force des socialistes est de chasser en meute. Ce qui m’importe est d’avoir un groupe. Ceux qui prennent le risque de diviser, ont peur de se retrouver minoritaire ! »    

 

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