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LE MAIRE DE VANVES ET LES CHANTIERS : « Nous avons redonné à Vanves une attractivité ! »

« Vous devez constater que dans la commune beaucoup de chantiers se déroulent et que cela bouge à Vanves. Il faut accepter cette situation car nous avons redonné à Vanves une attractivité. Cette ville sera bientôt comme un arrondissement de Paris. Le cœur de l’agglomération s’étend. Nous voyons que Vanves rattrape Paris au niveau des prix. C’est devenu certes moins acceessible. Mais c’est une revalorisation du patrimoine. Ce phénomùéne est incontournable. Et c’est un bien ! Nous ne pouvons que nous réjouir de ce mouvement. La ville se requalifie, se re-modernise. C’est un cap un peu difficile à passer » a expliqué lundi soir Bernard Gauducheau lors de la réunion publique du quartier du Plateau, en citant France Paris Ile de France qui reste à Vanves, Hachette Livre qui regroupe toutes ces activités dans son immeuble à Vanves qui sera agrandi, tout comme Etap Hôtel qui s’agrandira d’un étage supplémentaire à la condition de revoir son projet en rénovant son bâtiment … « C’est un bon signe ! Et la rançon de la gloire. Vanves aura été ainsi ré-aménagé. Mais une ville est en éternel mouvement. D’où l’utilité d’un PLU qui sert à encadrer les projets et à garder à notre ville le caractère qui en fait le charme »

 

C’était en quelque sorte la grande déclaration de la semaine  du maire de Vanves qui a répondu à de nombreuses questions lors de cette réunion à l’école Marceau, notamment sur la voirie, le stationnement, la sécurité routiére : Il a regretté que le stationnement d’autocars n’ait pas été prévu lors de la réalisation des bâtiments accueillant Etap Hôtel et le MacDonald. Mais il devrait s’emparer de cette question soulevée par des vanvéens tout comme de celui des cars devant l’hôtel Mercure. Un participant l’a interrogé sur la couverture du Bd Périphérique pour savoir où cela en était : « J’ai écris au Maire de Paris. J’ai l’impression qu’ils n’ont pas prévu les financements, ainsi que pour le réaménagement de la porte Brançion » a-t-il expliqué en constatant « une perte d’efficacité dans les relations de Paris avec ses villes voisines ».

 

Un autre l’a interrogé sur le requalification de la rue Auguste Compte : « Cela fait partie de la requalification du Plateau » a-t-il répondu en rappelant qu’un travail a été engagé pour bien définir les espaces qui sont publics et ceux qui sont privés avant d’intervenir dans ce quartier. Un vanvéen a regretté que cette requalification de Sadi Carnot n’ait pas été prolongé jusqu’à la rue Louis Vicat. « On aurait aller aussi jusqu’à la gare de Clamart ! » en insistant sur le coût de cet aménagement.   Un quatriéme s’est inquiété de cette place du 8 Mai sans feux tricolore : « Elle sera dans une zone de rencontre où la circulation sera limitée à 20 km/h. Cela génére de la sécurité, car le feu vert incite les automobilistes à accélérer  » a-t-il répondu. C’est exactement l’explication que les Verts avaient donnés en proposant ce genre d’aménagement avec des zones « 30 » et « 20 » lors de la campagne des municipales de 2008

Voilà ce que Pierre Toulouseexpliquait le 17 Janvier 2008 en proposant de supprimer les feux tricolores de la rue Jean Jaurés où tout le monde se plaint des excés de vitesse de nombreux véhicules. « Pourquoi ? A cause de ses deux carrefours à ses deux extrémités (8 Mai 1945 et Albert Legris). Des carrefours giratoires (avec priorité à gauche) régleraient le problème, parce que les conducteurs ne seraient pas tentés d’appuyer sur le champignon lorsqu’il voit le feu passer au vert au bout de la rue pour éviter d’attendre 1mn30s au feu rouge. Il faudra beaucoup de courage pour supprimer les feux tricolore parce que c’est liée à la sécurité routière » reconnaissait il alors. On y arrive !

 

La question sur les radars pédagogiques dont on parle beaucoup actuellement est revenu sur le tapis, un participant posant une question sur leur eficacité : « Sur 72 000 véhicules qui circulent quotidiennement rue Jean bleuzen, une dizaine seulement dépasse les 50 km/h. Malheureusement il suffit d’un seul pour provoquer un accident ! » Un autre a demandé ce qu’il envisageait au Square Marceau : « Il n’est pas prévu d’y toucher ! On ne peut pas tout casser ce qui a été fait. Surtout qu’il n’y a aucn raison de le faire ! »

 

A SUIVRE …

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