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tudor anescot

  • VOILA 30 ANS, VANVESSE MOBILISAIT POUR LA ROUMANIE

    Vanves a vécu une mobilisation sans précédent le jour de Noël 1989 pour la Roumanie ! Alors que des documentaires rappellent actuellement à la TV, la chute du couple Ceaucescu. 

    La mairie de Vanves avait organisée le 25 Décembre, une collecte pour ce pays alors que tout le monde avait vécu en direct grâce à la TV la chute, le procés et l’exécution du couple Ceaucescu. Elle avait rapporté 61 531 Frs de dons et 40 m3 en vêtements alimentations et médicaments qui ont remplis 5 camions. Un vanvéen d’origine roumaine, Tudor Anescot, chef d’entreprise qui se trouvait être un ami proche du premier Premier Ministre roumain, Petre Roman,  d’après la dictature, s’était beaucoup mobilisé ce jour là : « Le dimanche de Noël, tôt le matin, j’étais sous le choc des images venues de Roumanie. Je pensais aller à la Mairie pour vois si, nous habitants de Vanves, nous pouvions faire quelque chose de plus. Au même moment, j’ai entendu les hauts parleurs qui invitaient les vanvées à venir apporter leur soutien à la Révolution roumaine. Avec mon épouse, nous nous sommes rendus à la mairie où nous avons passé toute la journée pour donner un coup de main à l’équipe qui recevait les dons, qui chargeait les camions » racontait il dans la presse locale. « En arrivant à la mairie, nous étions bouleversé par la tragédie roumaine. En repartant le soir, nous étions bouleversés par l’image de tous ces gens animés d’un même élan, inimaginable de solidarité, de générosité envers leurs fréres roumains. Et quand dans notre boîte aux lettres, nous avons trouvé 200 frs dans une enveloppe sur laquelle était écrit « Pour la Roumanie libre », nous avons pleuré » racontait ce roumain installé alors à Vanves depuis 8 ans et qui considérait que « La France est la grande soerur de la Roumanie ».

    « Pour les roumains, la référence, l’inspiratrice a toujours été la France. Il ne faut pas s’étonner si certains d’entre eux, célébes, ont trouvé en France une seconde patrie et qu’à son tour la France les a considéré comme ses propres enfants : Eliade et A.Ciornu, Ionesco, Virgil Gheorghiu… » expliquait il avant de témoigner de la vie derrière le rideau de fer qui l’avait mené à quitter son  pays et à rejoindre la France « d’où je regardais amer et sans espoir ce qui se passait en Roumanie ».  Son rêve était de  voir un jour,  Vanves se jumeler avec une petite ville industrielle située à l’entrée des Carpates à 80 km au nord de Bucarest : Cimpina. C’était un 25 décembre 1989 à Vanves, c’est-à-dire 56 jours après la chute du rideau de fer.

  • VANVES ET LA CHUTE DU MUR DE BERLIN ET DU RIDEAU DE FER, 30 ANS APRES

    Cette première semaine de Novembre qui s’ouvre, sera marquée par de nombreux anniversaires, mais surtout le 30e anniversaire de la chute du mur de Berlin,   que certains vanvéens ont vécu,  presqu’en direct à Berlin ce jour là comme l’auteur de ce blog qui était en reportage là bas, et d’autres parce qu’originaires de certains de ces pays de l’Est comme la Pologne, la Tchéquie, la Roumanie qui ont desserré l’étau de ce rideau de fer

    Le hasard des reportages m’avaient emmenés à Berlin sur un tout autre sujet : le service militaire et les jeunes conscrits franciliens, Et l’équipe de journalites encadrés  par le SIRPA (Service de presse l’armée) qui avait maintenu le déplacement, ont pu voir le lendemain, le 10 Novembre, le check point Charlie sans ses barbelés, le traverser pratiquement sans aucun  contrôle,  se promener dans Berlin Est  qui  est vraiment la partie historique de cette villen, déserte, avec des bâtiments encore criblés d’éclats de balles à  l’époque, pas entretenus, cette Alexanderplatz immense avec sa tour TV, son horloge universelle, ses caméras de vidéosurveillance pour empêcher tout rassemblement,  et ses magasins aux vitrines vides… rencontrant ses groupes d’allemands de l’Est ou venus des pays environnants découvrir Berlin Ouest et ses magasins, ses Trabants puantes, ses polonais venus faire du marché noir tout prés du le mur  avec ses bréches, la porte de Brandebourg encore barré par  ce mur mais sans tous ces allemands qui avaient grimpés dessus le 9 Novembre, chacun essyant de décrocher et rapporter un bout du mur très dur

    Vanves s’est même mobilisé le jour de Noël, un dimanche, pour la Roumanie dont beaucoup ont suivi en direct la chute des Ceaucescu à la TV. Vanves à l’initiative de de Gérard Orillard, maire, avec l’infatigable secrétaire général de mairie, Serge Bauville, avait organisé une collecte de vive, de vêtements, de médicaments pour plus de 40 m3 et récolté plus de 61 531 frs de l’époque comme dons . Tudor Anescot, alors réfugué roumain, proche de Petre Rorman, premier ministre,  vivant depuis huit ans dans un pavillon de la rue Marcel Yol, avait été bouleversé par cet élan « inimaginable de solidarité, de générosité envers leurs fréres roumains » comme il l’avait confié à l’auteur du blog lors d’une interview à la TribuneRégionale :  : «Je me rappelle toujours les paroles de mon grand pére qui me disait «le systéme communiste est contre la nature des choses. Il ne  peut pas durer !. Mais qu’est-ce que cela va représenter ses 40, 50 ans de communisme sur les 2000 ans de notre histoire ? Ce sera insignifiantPour les roumains, la référence, l’inspiratrice a toujours été la France. Il ne faut pas s’étonner si certains d’entre eux, célébes, ont trouvé en France une seconde patrie et qu’à son tour la France les a considérée comme ses propres enfants : Eliade et A.Ciornu, Ionesco, Virgil Gheorghiu… » expliquait il avant de témoigner de la vie derrière le rideau de fer qui l’avait mené à quitter son  pays et à rejoindre la France « d’où je regardais amer et sans espoir ce qui se passait en Roumanie ».  Son rêve était de  voir un jour,  Vanves se jumeler avec une petite ville industrielle située à l’entrée des Carpates à 80 km au nord de Bucarest : Cimpina. C’était un 25 décembre 1989 à Vanves, c’est-à-dire 56 jours après la chute du rideau de fer.

  • NOEL 2009 A VANVES MARQUE PAR DES ANNIVERSAIRES

             JOYEUX NOEL A TOUS

     

     

    Mais l’actualité prime avec les anniversaires :

     

    LA CHUTE DE LA ROUMANIE JUSQU’A VANVES LE 25 DECEMBRE 1989

     

     

    Vanves a vécu une mobilisation sans précédent le jour de Noël 1989 avec la Roumanie : La mairie a organisée ce jour là une collecte pour ce pays alors que tout le monde avait vécu en direct grâce à la TV la chute, le procés et l’exécution du couple Ceaucescu. Elle a rapporté 61 531 Frs de dons et 40 m3 en vêtements alimentations et médicaments qui ont remplis 5 camions. Un vanvéen d’origine roumaine, Tudor Anescot, chef d’entreprise qui se trouvait être un ami proche du premier Premier Ministre roumain, Petre Roman,  d’après la dictature, s’était beaucoup mobilisé ce jour là : « Le dimanche de Noël, tôt le matin, j’étais sous le choc des images venues de Roumanie. Je pensais aller à la Mairie pour vois si, nous habitants de Vanves, nous pouvions faire quelque chose de plus. Au même moment, j’ai entendu les hauts parleurs qui invitaient les vanvées à venir apporter leur soutien à la Révolution roumaine. Avec mon épouse, nous nous sommes rendus à la mairie où nous avons passé toute la journée pour donner un coup de main à l’équipe qui recevait les dons, qui chargeait les camions » racontait il dans la presse locale. « En arrivant à la mairie, nous étions bouleversé par la tragédie roumaine. En repartant le soir, nous étions bouleversés par  l’image de tous ces gens animés d’un même élan, inimaginable de solidarité, de générosité envers leurs fréres roumains. Et quand dans notre boîte aux lettres, nous avons trouvé 200 frs dans une enveloppe sur laquelle était écrit « Pour la Roumanie libre », nous avons pleuré » racontait ce roumain installé alors à Vanves pendant 8 ans et qui considérait que « La France est la grande soerur de la Roumanie ».

    « Pour les roumains, la référence, l’inspiratrice a toujours été la France. Il ne faut pas s’étonner si certains d’entre eux, célébes, ont trouvé en France une seconde patrie et qu’à son tour la France les a considéré comme ses propres enfants : Eliade et A.Ciornu, Ionesco, Virgil Gheorghiu… » expliquait il avant de témoigner de la vie derrière le rideau de fer qui l’avait mené à quitter son  pays et à rejoindre la France « d’où je regardais amer et sans espoir ce qui se passait en Roumanie ».  Son rêve était de  voir un jour,  Vanves se jumeler avec une petite ville industrielle située à l’entrée des Carpates à 80 km au nord de Bucarest : Cimpina. C’était un 25 décembre 1989 à Vanves

     

    A Suivre…