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séjour semi-autonomie

  • JEUNESSE, PREVENTION, SECURITE A VANVES : DES PROJETS QUI TIENNENT LA ROUTE ?

    Le dernier conseil municipal  du 8 Février dernier a fait une demande de subventions au Conseil Général des Hauts de Seine à hauteur de 86 800 €  pour toutes une série d’action qui s‘inscrivent dans le cadre du contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance  et qui sont réalisées par les services municipaux de la Prévention Jeunesse (ESCL et Pôle Jeunesse 16/25 ans), de l’éducation et de la Prévention Santé. 4 nouvelles actions sur 19 ont  été lancée concerant une formation générale au BAFA (1500 € demandés), une autre à la prévention du mal être (3000 €), l’organisation de séjours en semi autonomie (5000 €)  et la création d’un club journalisme (2000 €).

     

    Avec la premiére action, il s’agit de faire financer par la ville une formation au BAFA de jeunes qui souhaitent s’orienter vers des métiers nécessitant ce diplôme. En contrepartie de cette participation financière de 50 €, ils s’engagent à efffectuer son stage pratique dans l’une des struture de la ville. La Formation à la prévention du mal être s’adresse aux professionnels de la santé pour les aider à repérer les jeunes ayant des tendances suicidaires ou ayant un comportemrnt dangereux à son égard ou à l’égard des autres. Ces deux actions s’ajoutent à un club Santé au LEP Dardenne qui tient un stand pour sensibliser les professionnels sur les risques liés au tabac,  à l’alcool et aux drogues ;  au soutien à la parentalité où il s’agit d’informer et de prévenir les risques de délinquance de certains adolescents en organisant des tables rondes avec les parents et ainsi les responsabiliser davantage dans leur role éducatif. Enfin, le service Prévention/Santé  informe les éléves de CM1/CM2 sur les dangers et les conséquences physiques, psychologiques et pénales des jex dangereux (comme le foulard).

     

    Le service Jeunesse a lancé deux nouvelles initiatives : Tout d’abod permettre à des jeunes de 11/17 ans de monter un projet, de rechercher des financements,  pour l’organisation d’un séjour en semi autonmie en Croatie. Ensuite un « club journalisme » en liaison avec l’officier de prévention, afin de permettre à des jeunes de 11/17 ans de faire des reportages pour mieux connaître leur environnement immédiat, apprendre à diffuser leurs articles tout en étant vigilant sur les bonnes praiques d’Internet et ainsi permettre une ouverture d’esprit en développant leur sens critique. D’ailleurs le service Jeunesse organise des ateliers de prévention et de sensibilisation au bon usage d’internet au sein des établissements scolaires. Dans le cadre de l’action « interventions en milieu scolaire »,  il a créé un pôle « création numérique » pour favoriser l’accès à la culture et l’apprentissage des technologies de l’information et la communication tout en les sensiblisant aux risques liés à l’utilisaion d’Internet

     

    Les autres axtions sont plus classiques et réalisées déjà depuis un cerain temps : « Bourse au permis de conduire » pour les 16/25 ans grâce à un financement à hauteur de 50% . En contrepartie, ils s’engagent à consacrer 2H de bénévolat au profit de la collectivité (aide à la personne, soutien scolaire…). « Sport insertion » qui doit permettre à des adolescents marginalisés de pratiquer des activités sportives encadrées par des professionnels, de participer à des tournois iternationaux. Avec « Je(ux) citoyens », le service Education suscite chez les jeunes une réflexion sur les notions de cittoyenneté, de démocratie, de la place des institutions, la portée des régles de  la loi grâce à des jeux collectifs. Les dispositifs « Coup de pouce » et coup de pouce CLE »  à destination des éléves de l’école élémentaire tout comme « Soutien scolaire «  et « contrat d’aide scolaire à destination des collégiens et lycéens (11/27 ans) entrent dans cette action générale. Il s’agit là de d’offrir une aide aux devoirs iundividualisé ou par groupe pour finalement leur apprendre « à apprendre ». Il faut ajouter un atelier de danse urbaine « hip-hop et l’orgabisation de mini séjours.

     

    La présentation de ces mesures a suscité un débat entre la droite et la gauche au cours de ce conseil municipal. Valérie Mathey (PS) a posée quelques questions en s’étonnant que « l’ensemble de ce plan d’action ne prévoit pas des actions plus cîblées de ptrévention sur la violence intra-familiale, ni sur le décriochage scolaire ». Laurent Lacomère (UMP) Maire Adjoint a expliqué qu’il y a « d’autres actions qui n’aparaissent pas dans cette liste tout simplement parce qu’elles n’ont pas fait la demande d’une subvention ». Lucile Schmid (EELV) s’est interrogé sur les montants de ces subventions et a demandé « comment ils étaient déterminés ? ». Bernard Gauducheau en a profité pour indiquer que « la politique de la ville a été délégué depuis quelques mois à GPSO. Un inventaire a été fait qui a montré une très grande diversité selon les communes. Il a été proposé de créer un observatoire pour réfléchir à des actions communes, laissant aux villes leur mode actuel d’intervention ». ll a précisé tout d’abord « que les sommes demandées ont augmentés car le public concerné a augmenté », ensuite que « nos agents sont opérationnels après avoir beaucoup tatonnés, avec des projets qui tiennent la route. Et nous commençons à avoir de bons résultats »