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niger

  • L’ECOLE DES SABLES DE VANVES A CELEBRE SES 25 ANS D’ENGAGEMENT POUR LA SCOLARISATION AU NIGER

    Depuis 25 ans, l’association l’Ecole des Sables se mobilise pour aider à la scolarisation des enfants (primaires et colléges) des pasteurs nomades touaregs du Massif de l’Aïr, au cœur du Sahara nigérien. «Plus de 60% des enfants de ce milieu rural ne sont pas scolarisés et ce chiffre tombe à 73% pour les filles. Les rares écoles existantes sont sous équipées et les enseignants mal payés, sont souvent absents » indiquaient les dirigeants de cette association lorsqu’ils l’avaient créé en 2000 en réponse  à la demande de familles de nomade de créer une première école primaire de brousse  dans l’ouest de Galélo, puis une seconde dans un autre oued, à In Tédayné,  d’abord modestes paillottes puis bâtiments en dur. «D’abord précaires (paillottes), nous avons trouvé les financements nécessaires pour les pérenniser. Ces écoles sont maintenant composées de bâtiments en dur. En plus des classes, des latrines ont été construits. A Galileo, où tous les parents sont semi-nomades, un dortoir accueille les enfants » témoignaient ils alors

    L’Association prend totalement en charge ces écoles (salaires des instituteurs, fournitures, cantine, hébergement, soutien scolaire) au bénéfice de 200 élèves  qui suivent les cours de CI-CP, C1E-CE2- CM1-CM2. Elle a  fait creuser un puit réservé à l’une des école d’où est remontée l‘eau  à l’aide d’une pompe solaire, d’une nappe fossile,  dans cette région où le probléme de l‘eau est crucial. Elle a également ouvert deux foyers à Agadez pour accueillir des collégiens et collégiennes issus des écoles de brousse.

    Ses responsables expliquent «qu’aller à l’école, appendre le français, représente pour ses enfants, l’espoir de s’intégrer dans la communauté nationale d’un pays dont le français est la lague officielle alors que les touareghs parlent le Tamaheq, et d’avoir une vie meilleure. Pour les filles, l’éducation est un moyen d’accéder à un métier et offre la chance d’éviter un mariage précoce».

    «Un engagement remarquable, qui change chaque jour la vie de centaines d’enfants» n’a pas manqué de constater Bernard Gauducheau samedi dernier, lors de la soirée anniversaire où il a salué l’engagement d’Héléne Mondon, sa présidente qui porte haut les valeurs de solidarité et de transmission. Ainsi, en France, l’Ecole des sables agit pour sensibiliser à la non-scolarisation des enfants et rechercher les financements nécessaires à travers des demandes de subventions, l’organisation de manifestations solidaires.

    Grâce à des parrainages, l’Ecole des Sables apporte à ces jeunes le soutien nécessaire à la poursuite de leurs études. Les sources de financement des actions de l'Association sont les cotisations des adhérents, les dons, les parrainages et les bénéfices de quelques manifestations culturelles. Les travaux d’investissement (construction de classes, creusement de puits…) sont entrepris à partir de subventions obtenues auprès d’organismes publics ou privés

  • LE TRAVAIL FORMIDALE A VANVES DE L’ASSOCIATION L’ECOLE DES SABLES AU NIGER

    L’association Les lézards en Scéne chante pour les enfants touaregs au profit de l’association l’Ecole des Sables  Samedi soir à Panopée. Une association qui aide à la scolarisation des enfants des nomades Touaregs de l’Aïr, dans le nord du Niger. Un pays très pauvre, parmi les derniers dans le classement mondialde l’ONU pour le développement.

    «Plus de 60% des enfants de ce milieu rural ne sont pas scolarisés et ce chiffre tombe à 73% pour les filles. Les rares écoles existantes sont sous équipées et les enseignants mal payés, sont souvent absents » indiquent les dirigeants de cette association qui ont l’ont créé, voilà 20 ans, en réponse  à la demande de familles de nomade de créer une première école primaire dans l’ouest de Galélo, puis une seconde dans un autre oued, à In Tédayné. «D’abord précaires (paillottes), nous avons trouvé les financenements nécessaires pour lespérenniser. Ces écoles sont maintenant composées de bâtiments en dur. En plus des classes, des latrinesont été construits. A Galileo, où tous les parents sont semi-nomades, un dortoir acceuille les enfants. Nous leur fornissons les équipements scolaires et le fornitures courantes. Dans chaque école, l’eneignement comporte 3 noiveaux (CI-CP, CE1-CE2, CM1(CM2)  assurés par 3 institueurs que nousavons recruté et dont nous payons lessalaires » précisent ils.

    Ils assurent la cantine midi et soir. « Nous avons mis en place une banque céréalière pour les habitants de l’oued de Galileo».  Mais ils ont fait creusé un puit réservé à l’école d’où est remontée l‘eau  à l’aide d’une pompe solaire, d’une nappe fossile,  dans cette région où le probléme de l‘eau est crucial. Enfin, ils ont pemlis la création d’un accueil de collégiens à Agadez …

    Ils expliquent «qu’aller à l’école, appendre le français, représente pour ses enfants, l’espoir de s’intégrer dans la communauté nationale d’un pays dont le français est la lague officiele alors que les touareghs parlent le Tamaheq, et d’avoir une vie meillure. Pour les filles, l’éducation est un moyen d’accéder à un métier et offre lachance d’éviter un mariage précoce». Mais bien sûr, ils ont d’autres besoin sauxquels, il faut qu’elle réponde comme l’achat de fournitures, le soutien aux cantines, le salaire des enseignants et du personnel, et pour investir dans la constitution d’une bibliothéque pour l’écoe d’In Tédaynén, ainsi qu’un projet Eau , la construction de murs d’enceinte dans les deux écoles de brousse pour des raisons de sécurité, la mise en culture d’une jardin dans chacunees ses écoles.