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innovation

  • A VANVES, UN PROFESSEUR DE POLYTECHNIQUE SE PENCHE SUR LA JUNGLE DE L’INNOVATION

    Un vanvéen, professeur à Polytechnique et chercheur au centre de recherche en gestion (L3(CRG) qui enseigne la stratégie et le pilotage de l’innovation, Rémi Maniak, a coécrit (avec Nicolas Mottis) un livre sur «la jungle de l’innovation – comment survivre et prospérer» (Edt Dunod).

    Un sujet tout à fait d’actualité, dans un contexte où il n’est question que de cela à travers les politiques développées par nos collectivités locales pour venir en soutien aux start-ups, TPE, PME…  Ils mettent en évidence quelques grandes lois de la jungle de l’innovation, pour permette non seulement d’y survivre, mais aussi de prospérer. Avec un aspect très pédagogique, même s’il fait s’accrocher pour les non-spécialistes, pour expliquer des méthodes des concepts comme Désign thinking, business model cauivas, océan bleu, lean. agilité…

    Avec une petite perle : le chapitre 2 consacré aux espéces qui peuvent survivre dans cette jungle de l’innovation : le lion, roi  en érigeant des barrières à l’entrée conbre les éventuels concurrents de la jungle qui se positionne sur un marché, montre les crocs comme Ferrero, Coca-Cola. La gazelle qui coure plus vite que la concurrence pour survivre, n’attendant pas que leurs produits soient en danger pour renouveler leutr gamme comme dans l’industrie automobile. Le papillon qui utilise la mutation comme stratégie. De la même manière qu’une chenille devient papillon, les entreprises peuvent muter en passant d’un marché à l’autre comme Gentrex, leader américain des systèmes de détection d’incendie passé à la fabrication des rétroviseurs intérieurs auto-dimming qui s’adaptent à l luminosité arrière et a ainsi fourni de nombreux constructeurs (BMW, Audi, Chrysler, GM…), mais ausssi Kodak, Fuji, Amazon… L’écureuil dont la stratégie consiste à investir et alimenter continuellement une avance comme Toyota avec les véhicules hybrides, Renault avec le marché des monoespaces puis le marché de la famille « Global Entry », les véhicules petit budget pour les pays de l’Est, l’inde… , l’hippopotame qui impose le monopole, évolue paisiblement dans la jungle, comme les grandes plateformes numériques (Fcebook, Linkedin, Amazon, AirBnB) impossible à déloger une fois installée. Le boa qui s’enroule progressivement autour de ses proies, en profitant d’un nouveau mécanisme, les offres «systémes» comme les fournisseurs d’accés internet avec les offres Triple pay ou Double-pay. Enfin,  le crabe qui se décale e la concurrence, refusant de l’aboder frontalement, en décalant ses offres par rapport aux standards du marché, comme ce fut le cas sur le marché des disques durs.

  • LE CHANTIER DU GRAND PARIS EXPRESS A VANVES S’OUVRE A L’INNOVATION AVEC LE POINT MULTI SERVICE

    La Société du Grand Paris (SGP) entame ce dernier trimestre de 2016  alors que l’ensemble des enquêtes publiques de ces lignes  sont terminées, et que cette étape qui s’achève -  3 ans, 7 enquêtes, 20 réunions, plus de 4000 personnes réunies pour arriver à la fin de ce cycle aboutissement d’un travail très étroit mené avec les départements, les mairies et les franciliens -  laisse place à l’intensification du déploiement du Grand Paris Express (GPE). « Chaque jour, chaque collaborateur de la SGP, depuis nos acheteurs jusqu’à nos ingénieurs, est mobilisé pour réaliser le GPE. D’ici la Mi Mai 2017, 14 des 16 Gares de la ligne 15 Sud seront en travaux, avec les marchés de travaux publics, représentant 3,5 milliards d’euros d’investissement » indiquait Philippe Yvin, président du directeire de la SGP. Cette montée en puissance s’applique à l’ensemble de cette ligne 15 Sud puisque 20 des 38 ouvrages annexes (puis de ventilation, accès de sécurité pour les pompiers..) seront en phase de génie civil  d’ici la fin du premier semestre 2017. Les comités de suivis des chantiers des gares sont en train d’être  mis en place -  celui de la gare Fort d’Issy/Vanves/Clamart s’est réuni le 15 Septembre à la mairie de Vanves  -  instances de dialogue au plus près du territoire qui constituent la porte d’entrée des élus, des acteurs économiques et des citoyens pour disposer d’un regard global et transversal sur l’ensemble des travaux sur chaque commune. 26 sont en places depuis Janvier 2015 et sont à l’origine de plus de 200 interventions en réunions publiques, réunions de quartier et conseils municipaux.

    « Ce projet du GPE est un concentré et un catalyseur d’innovation pour l’ensemble des entreprises, start-ups, étudiants, riverains, collectifs d’associations, car sa mise en oeuvre concerne tous les publics et toutes les dimensions du projet de la passation des marchés à l’aménagement » expliquait récemment  Philippe Yvin, président du directoire de la SGP qui accueillait le 5 Septembre dernier 17 jeunes talents, apprentis entrepreneurs,  au sein de ses équipes pour développer des solutions concrètes dans 5 domaines conciliants innovations et enjeux sociaux dont l’un d’entre eux devrait être appliqué sur le site de la gare du Fort d’Issy/Vanves/Clamart : Le « point multi service », qui sera un espace de 50 à 100 m2 dédié aux voyageurs depuis lequel ils accéderont à une offre de services et /ou de commerces, lieu de rencontres et/ou d’expositions ? Tout reste à imaginer  par cette équipe de 3 jeunes dont l’un est en dernière année de Bachelor en Management (Malamine Tounkara, 21 ans), l’autre en master de Management et Marketing ( Christian Kayou, 20 ans) et Lassana Sylla, 21 ans, en master de gestion à L’ISEE Business School….Et les responsables de la SGP leur laissent carte blanche : « Parce qu’ils sont jeunes, qu’ils sot les futurs utilisateurs du métro et parce que leurs repéres ne sont pas les nôtres , ces 3 étudiants ont la capacité de bousculer nos idées. Le GPE est porteur d’une ambition, elle se réalisera d’autant mieux si des  »lanceurs de mode », au regard peu convenus, participent dés aujourd’hui à sa création » explique par exemple Laurence Aveline-Bailly responsable Commerce & Publicité de la SGP. Un sacré pari peu courant pour une telle entreprise.