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congrés ump

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    MOTIONS PS  : Dernières nouvelles des motions pour le Congrés du PS : 18 Vanvéens sont signataires de la motion A « Le renouveau socialiste »  de Jean Christophe Cambadélis depuis le 4 Mai. 1  de la motion B « A gauche pour gagner »  du député Christian Paul (issue des frondeurs et de l’aile gauche),  Aucun  de la motion C« Osons un nouveau pacte citoyen et Républicain » de Florence Augier, et 4 de motion D « La Fabrique » de Karine Berger députée et Secrétaire Nationale à l’Economie (issu de la contribution du Mouvement Cohérence Socialiste).

    REPUBLICAINS : Les avis ont l’air d’être partagé sur le nouveau nom que Nicolas Sarkozy souhaite donner à l’UMP à l’occasion de son congrés : Maxime Gagliardi, maire adjoint et délégué UMP pour Vanves qui est l’un des élus UMP de Vanves à réagir,  est tout à fait pour : « En effet, les républicains indépendants ont donné un grand président à la France. Le Parti Républicain au sein  duquel j’ai grandi, a donné un maire à Vanves. Quant à ceux qui font allusion aux républicains américains, c’est sûrement pour aider Nicolas Sarkozy à réussir sa présidence. Dois-je leur rappeler qu’Abraham Lincoln et Dwigt Eisenhower ont été des présidents républicains. Pourquoi n’ont ils pas les républicains espagnols en référence ? »

  • RENCONTRE A VANVES ENTRE LAURENT WAUQUIEZ EX-MINISTRE DE SARKOZY CHARGE DES UNIVERSITES ET DES MILITANTS UMP

    Isabelle Debré, sénateur desHauts de Seine et 1ére maire adjoint de Vanves,  a réuni au Relais de Vanvres, jeudi dernier plus d’une vingtaine de militants UMP pour rencontrer Laurent Wauquiez, ex-ministre de Nicolas Sarkozy qui s’était prononcé dans une interview au Figaro pour François Fillon, qui souhaitait questionner, échanger avec eux… sur les eléctions présuidentielles, législatives, le devenir de l’UMP avec son congrés prévu à l’automne. Une discussion à baton rompue pendant plus d’une heure, Laurent Wauquiez prenant peu la parole, suscitant les réactions et les interrogations.

     

    « Lorsque Isabelle Debré parle de ses militants, c’est quelque chose !» a-t-il attaqué d’emblée. « J’ai besoin d’entendre nos militants, ce que vous avez ressenti, comment vous vivez l’évolution du parti, que ce que vous attendez du Congrés de Novembre » leur a-t-il dit en les invitant à s’exprrimer librement. Extraits : « On a senti Nicolas tout seul ! Comme si on avait perdu d’avance ! », « Qu’est-ce qu’a fait Nicolas Sarkozy pour susciter tant de haine ? », « La campagne n’a jamais démarrée », « les tracts étaient écrits trop petit »…

    Beaucoup ont critiqué la « décomposition de l’UMP », la « bataille des chefs », « cela fait culte de la personnalité cette lutte de clan »  et « ne comprennent pas cet ostracisme vis-à-vis du FN ».  Laurent Wauquiez a constaté que « tous ceux qui ont fait des clins d’œil au FN, ont perdus. Et je n’ai pas cherché à en faire en parlant de sécurité, de nos valeurs, de notre identité », ajoutant : « Il ne faut ni diaboliser le FN, ni dire qu’on a les mêmes valeurs. Il ne fait pas adopter ses discours, ses soluitions. Nous devons élaborer nos propres thématiques qui peuvent rassembler le centre et la droite »

     

    « L’UMP est  le rassemblement de différents courants ! Il ne faut pas le perdre de vue ! Cela devient trrop  clanique ! C’est quoi l’UMP aujourd’hui » demandent d’autres militants : « Les gens sont dans un espace de confusion ! Ils sont plus sur le projet que sur les hommes ». Laurent Wauquiez revient sur le droit d’inventaire et sur la façon de gérer cette élection de Novembre et éviter la guerre d’égos !  « C’est nul !  C’est horrible ce droit d’inventaire. Il fallait démissionner si on n’était pas d’accord »,  « Copé/Fillon, ce n’est pas  le problème. C’est d’une autre figure qu’il faut !  Un gaulliste ! », « On a besoin d’un président de mouvement ». La plupart parle de consultation, d’expression, comme au PS avec les primaires : « on n’a jamais connu ce moment où le parti va à l’écoute des militants », « on a plus d’adhérents et moins de militants ». Enfin beaucoup ont critiqué les parachutages : « Tous ceux qui ont été parachutés chez nous (dans le 92) ont été contré par des dissidences locales. Et ils ont perdus ». C’était sa troisiéme réunion avec des militants, accompagné par son assistante parlementaire, qui s’est terminé par une séance photos devant la fontaine de la place du VAL et des échanges avec un élu PS (JC Le Goff)  qui revenait du Conseil communautaire (GPSO).