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appel du 18 juin

  • VANVES CELEBRE LE 83e ANNIVERSAIRE DE L’ANNIVERSAIRE DU GENERAL DE GAULLE

    Généralement en ce jour anniversaire de l’Appel du Général de Gaulle, généralement deux cérémonies se déroulent à Vanves : L’une est officielle devant le monument aux morts comme ce sera à 11H30 aujourd’hui avec diffusion et l’Appel, dépôt de gerbe, sonnerie aux morts, minute desilence, Marseillaise et Chant des Partisans. L’autre réunit – est-ce que sera le cas aujourd’hui ?  - quelques gaullistes devant la stéle du square Charles de Gaulle  qui porte son nom, apposée sur le mur de l’école Marceau   

    Elle avait été inauguré le 22 Novembre 1990 avec le square qui porte son nom,  en présence de Charles Pasqua, alors Président du Conseil Général des Hauts de Seine, André Santini maire d’issy les Moulineaux et député de la 10e circonscription, Didier Morin, maire par intérim. Une cérémonie simple suivie par un public très nombreux : Chant des Partisans interprété par l’Ecole de Musique, extraits de ses discours, discours de Didier Morin et de Charles Pasqua, plaque dévoilée et Marseillaise. Occasion de rappeler ce qu’était alors le gaullisme : « c’est lorsque tout paraît perdu et inéluctable. On voit quelqu’un s’élever, refuser la défaite et réagir».

    Depuis, les gaullistes de Vanves, se sont toujours réuni devant la stèle apposée sur la façade de l’école primaire Marceau  pour déposer une gerbe le 9 Novembre et surtout le 18 Juin de chaque année. «C’est la cérémonie du cœur» déclarait Isabelle Debré lorsqu’elle était engagé et assumait des responsabiiités d’élus : «Le 18 Juin, une voix s’élevait sur les ondes de la BBC. Le Général de Gaulle appelait la France à dire non…cette voie forte, presque inconnue à l’époque, résonne encore, non seulement dans le cœur de tous les français, mais aussi dans celui de tous ceux qui, dans le monde, disent non à ce qui leur paraît inacceptable, quelles que soient les difficultés à venir. L’histoire de notre peuple est ainsi marquée par des événements qui symbolisent aux yeux de tous, la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ainsi au-delà des querelles partisanes, les français se retrouvent ils souvent réunis autour de symboles puissants, qui portent loin la voix de notre vieux pays…C’est parce qu’il s’exprimait, porteur de ces valeurs propres à notre peuple, refus de se soumettre, courage devant l’adversité, qu’il a été entendu et respecté…Il est donc important que nous nous retrouvions ensemble, avec simplicité et sincérité pour commémorer cet événement. Il est de notre devoir de transmettre à nos enfants, et aux enfants de nos enfants, les valeurs auxquelles nous devons d’être ici librement, au sein d’une démocratie vivante et généreuse. A nous de leur apprendre qu’on peut toujours refuser l’inacceptable, affronter les difficultés, sacrifier son confort et sa tranquillité quand il s’agit de l’essentiel» déclarait alors devant cette plaque  que beaucoup de vanvéens espérent que l’on ne touche pas à l’occasion de la requalification de ce square

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : LA CEREMONIE DU CŒUR

    Pour le 78éme anniversaire de l’Appel du 18 Juin 1940 du général de Gaulle à Londres, quelques vanvéens se sont retrouvés comme chaque année, au square Marceau /Général de Gaulle, avec Isabelle Debré, pour une cérémonie du cœur, simple, émouvante, avec deux porte-drapeaux. Quelques mots de la vice présidente du Conseil Départemental des Hauts de Seine, le dépôt d’un bouquet avec des enfants, une minute de silence et une Marseillaise à capella pour cet hommage au libérateur de la France ponctué par un verre amical dans le préau de l’école. 

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : 18 JUIN, LA CEREMONIE DU COEUR

    Ils étaient venus nombreux, plus qu’à la cérémonie officielle organisée par la mairie, pour célébrer le 76éme appel du Général de Gaulle, devant cette plaque  du square Marceau avec le portrait du libérateur de la France et une phrase tiré de ses « mémoires d’espoirs », comme c’est chaque fois le cas, le 18 Juin et le 9 Novembre. Isabelle Debré y tient, comme de nombreux vieux gaullistes. Pas de lecture de l’appel comme devant le monument aux morts de la ville, ni discours (vain), mais la lecture d’un extrait de l’introduction des Mémoires du Général, un dépôt de gerbe par des enfants, la minute de silence, la marseillaise à capela… et toujours ce petit verre d’apéro pour se retrouver quelques instants entre gaullistes et républicains.