LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SECONDE SEMAINE DE « VACANCES »

Il n’y a aucun rendez-vous, pour cette seconde semaine de vacances d’hiver où depuis ce week-end, Vanves donne l’impression d’être déserté, à moins que les vanvéens se calfeutrent chez eux à cause du froid. Sauf les perruches qui ont envahis les arbres deVanves depuis un certain temps et s’amusent à casser des brindilles pour les faire tomber (comme dans le PMS A.Roche). Mais il est vrai que les vanvéens en profitent pour partir dés qu’il y a vacances, c’est une caractéristique de notre ville, ce  qui n’a pas empêché une des jeunes élus du Conseil municipal (qui en veut) et des Républicains (LR), d’organiser un tractage devant la Poste du carrefour de l’Insurrection, samedi matin : Sandrine Bourg qui préside le comité de soutien de Bruno Le Maire à Vanves et anime avec d’autres le comité départemental de soutien à ce candidat à la primaire qui s’est déclaré la semaine dernière à Vesoul. Il s’agissait d’inviter les vanvéens à venir l’après-midi de ce samedi à la librairie Le Divan rue de la Convention dans le XVéme pour se faire dédicacer son livre « Ne vous résignez pas ». Au moins une Républicaine vanvéen qui ne joue pas à Hibernatus, car aucun n’était présent au match de basket le soir même au gymnase André Roche. Seul rendez-vous, sur le calendrier cette première  semaine de Mars, les obséques d’André Jousselin, dit « dédé » qui se dérouleront vendredi 4 Mars à 12H au funérarium intercommunal de Clamart et à 16H au cimetière de Vanves en présence de nombreux communaux et amis

 

DRAME AU GARAGE MUNICIPAL DE VANVES : « DEDE » S’EST SUICIDE

Un drame épouvantable a touché tous les employés communaux qui le connaissaient bien pour la plupart : « dédé », parce que c’est ainsi qu’ils appelaient André Jousselin,  s’est suicidé dans le garage municipal durant ce week-end.  Il avait disparu depuis samedi soir et un membre de sa famille l’a découvert dimanche soir juste à côté du bureau. C’était un pilier des services municipaux de vanves, 33 ans de mairie au garage municipal comme mécanicien. Il réparait  les cars et les voitures et habitait le garage municipal à cause des astreintes. Débrouillard, bricoleur, il en a réparé des véhicules. C’était  une personne remonté sur un  ressort,  un peu titi parisien sur les bords, que tout le monde appréciait. Il devait partir à la retraite