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ville de vanves - Page 566

  • LA GEOTHERMIE A VANVES : UNE OCCASION MANQUEE

    «La géothermie est l'un des atouts majeurs de la région Île de France en termes de diversification des ressources, en tant qu'activité locale et créatrice d'emplois et comme source d’énergie propre. D’autant plus que dans le sous-sol du sud parisien il y a une nappe à 80/90 degrés» constatait le SIPPEREC dans une étude consacré à la géothermie en recensant les opérations réalisées ou en projets : 4 doublets géothermaux au DOGGER et 4 réseaux de chaleur nouveaux (Arcueil/Gentilly, Bagneux/Chatillon, Rosny/Noisy le Sec/Montreuil, et Grigny/Viry Chatillon) représentant 40 000 logements et 100 000 personnes qui permettent d’éviter l’équivalent, en émission de CO2, de 40 000 voitures par an. Des projets sont en cours de lancement  et des études de faisabilité concernent Malakoff/Montrouge (92) à défaut de Vanves

    Le SIPPEREC a financé une étude sur un schéma directeur réseaux de chaleur dans les Hauts de Seine avec le département des Hauts de Seine, l’ADEME,  la Région Ile de France. Son objectif était d’aider les collectivités à réaliser un exercice de projection à l’horizon 2030 de programmation de travaux pour le raccordement de nouveaux quartiers à des réseaux de chaleur. Les Hauts de Seine compte une vingtaine de réseaux de chaleur. Des projets de réseaux sont en cours de développement à Asniéres, Nanterre, Rueil et Malakoff. «Une telle exploitation suppose toutefois des investissements financiers conséquents. Du coup, elle ne peut être envisagée que dans des secteurs à forte concentration de logements (au moins 3000 équivalent-logements dans un rayon de moins de 3 à 4 km). Les ensembles neufs construits dans le périmètre du réseau, s'ils sont équipés d'émetteurs basses températures, peuvent être chauffés sur les retours du réseau. La fourniture d'eau chaude sanitaire est une application complémentaire de la géothermie qui contribue à l'utilisation permanente de l'installation» explique t-on au SIPPEREC.

    Et c’est le cas du territoire de Malakoff qui dispose d’un potentiel certain en matière de géothermie de très basse, basse et moyenne énergies qui n’est pas exploité. «Nous travaillons sur ce dossier depuis plus un an et demi. L’étude de schéma directeur des réseaux de chaleur des Hauts-de-Seine réalisé par le SIPPEREC révèle un potentiel intéressant de production géothermique sur les territoires  de et autour de Malakoff. Notre territoire est très porteur dans ce domaine là. Comme il y a possibilité, nous étions décidé à y aller, car nous sommes une ville en transition (écologique et énergétique)» explique Jacqueline Belhomme (FG/PC) le maire de Malakoff.

     «Mais seul c’était impossible, il fallait pouvoir le faire avec d’autres villes».  L’accord s’est fait avec Montrouge – pas avec Vanves car sa municipalité craignait que les travaux se traduisent par de nombreux chantiers et tranchées  dans la chaussée, ce qui est toujours impopulaire, à la veille de municipales  – car le potentiel de logements raccordable existe (10 000) dont 6 à 7000 logements  à Malakoff en collectif, avec des écoles, des équipements sportifs, ces créches… ». De surcroît Malakoff disposait d’un  terrain disponible pour accueillir l’usine de production enterrée avec ses deux puits de forage, une pompe à chaleur pour faire remonter l’eau, ces installations techniques de distribution,  ce qui représente une parcelle de 5000/7000 m2 :  le stade Lénine prés de RFO, et de la station Malakoff-Plateau de Vanves de la ligne 13. Le projet devrait voir le jour en 2023 et le chantier commencer après les Municipales de 2020

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES: GRANDE SOIREE DE BASKET

    L’équipe de basket de  Vanves a joué contre Cholet Lundi soir, mais a été battue 93 à 74. Dommage que des affiches ou les réseaux sociaux de la ville n’aient pas annoncé ce match, car il aurait pu attirer plus de monde. Mais «pour nous la saison démarre vraiment samedi avec la réception de Vitré pour la 1ere journée de NM1» à Vanves à 20H

  • CHRETIENS DE VANVES - PMA/GPA : « Ces lois permissives ne sont pas pour nous chrétiens !»

    Pour aller plus loin et exposer les enjeux de la révision des lois bioéthiques, alors que l'épiscopat encourage les catholiques à protester contre la PMA  (procréation médicalement assistée)   le pére curé Bertrand Auvile a invité le pére Bruno Saintôt, responsable du département d’éthique biomédicale à la faculté jésuite de Paris de venir exposer les enjeux de la révision des lois de bioéthique à la Maison des Familles à Bouloghne le 16 Octobre à 20H45. Une date à retenir. De son côté, Mgr Jacques Turck qui est en situation de retraites à Saint Remy,  s’est exprimé sur ce sujet dans le Sel et Lumière du week end dernier, ce qui n’est pas passé inaperçu :

    «La loi pour autoriser la PMA est en passe d’être adopté. Bien que l’on s’en défende, notre pays adoptera un jour,une loi sur le GPA. La logique est simple : Si un français revient avec un enfant conçu et né dans un autre pays, par une GPA, comment ne pas reconnaître son existence de fait ? Refuser le GPA, et nous serons alors taxés d’hypocrisie et de couardise. Le droit de reconnaitre celui ou celle qui nousa donné le jour, est affirmé comme un droit imprescriptible dans notre pays. Le GPA permettra t-elle l’exercice de ce droit ?» demande t-il. «Dans la cascade de ces projets de lois, n’y a t-il une méconnaissance profonde de l’être humain ? Ils portent en eux, le mépris  de l’enfant, son droit de vivre de l’amour d’un pére et d’une méré, est bafoué. Ce déni de justice met en lumière, une prétention des adultes à l’égalité. Ils ont substitué leur volonté d’adultes à la dignité d’être fragiles et sans parole. Tout cela est contraire à la révélation chrétienne» poursuit il

    «Nous chrétiens prenons conscience que ces lois permissives qui se préparent, ne sont pas pour nous. Nous vivons dans une société paienne qui, en de nombreux domaines, se régule sur le principe d'un hedonisme libéral. «C’est mon choix, donc c’est mon droit ! ». Chrétiens, nous ne sommes pas appelés à vivre selon cette loi. Ce n’est pas la seule fracture qui divise l’humanité.  Pourtant au cœur de ces situations, nous sommes appelés à aimer les autres au-delà de leurs erreurs. Ce n’est pas le moindre des défis de notre foi. C’est le chemin de l’Evangile»