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sécurité - Page 8

  • LES CAMBRIOLAGES A VANVES : « C’EST PIRE QUE CE QUE L’ON PENSAIT ! »

    Dans un immeuble qui a été cambriolé deux fois de suite (une cave et un appartement), avec une tentative sur un autre appartement en moins de quinze jours, certains de ses habitants sont terrorisés. Et plus particulièrement les femmes, deux sœurs presque jumelles, une agent hospitalière, la fille d’une fonctionnaire municipale. « On devient paranoïaque !  Mais les hommes ne peuvent pas comprendre !" Tout devient suspect, le jeune en capuche qui stationne un peu plus longtemps qu’à l’habitude devant l’immeuble, le rom qui quête dans la rue. "On a fait l’objet de repérages. C’est sûr !  Trois  d’un coup, dans le même immeuble,  avec une autre tentative en pleine journée avant-hier, ce n’est plus possible » explique l’une d’entre elle qui se claquemure chez elle maintenant lorsqu’elle est seule, même et surtout en pleine journée. Chaque cambriolage ou tentative les a vraiment terrorisé. Les deux sœurs ont demandé un rendez-vous au Maire qui devrait les recevoir dés lundi prochain ! 

    Et ce n’est pas prés de s’arranger à entendre les autorités : « C’est pire que ce que l’on peut penser ! » confiait un ponte de la police locale ses derniers temps sans en dire plus. Cela veut dire que Vanves serait victime du même phénomène qui avait touché le sud des Hauts de Seine voilà deux ans, notamment dans les zones pavillonnaires d’Antony, Sceaux, Le Plessis Robinson… Personne, parmi ses hautes autorités,  ne confirme. Mais il suffit d’écouter les témoignages des cambriolés, ou les artisans serruriers de la ville qui ont vu se multiplier les interventions pour remplacer les serrures et les portes fracturés ou installer des portes blindées plus résistantes. Cette situation n’est pas prés de s’arranger, car il n’y a plus de police de proximité à cause des suppressions d’effectifs effectués sous la présidence Sarkozy ( ?). Résultats à Vanves : Il manque un tiers des effectifs au commissariat de Vanves, c’est à dire 40 fonctionnaires de police (sur 120), alors que le commissaire de police devrait en avoir  49 sous la main pour remplir normalement toutes ses missions.

    Résultats : tout ce qui permettait d’assurer la dissuassion sur le terrain n’est plus possible, c'est-à-dire la police de proximité, grâce à une présence continue et assidue parmi la population. Mais c’est pire que cela, car au tiers manquant, il faut ajouter les missions imposées à ce commissariat de Vanves qui n’ont rien à voir avec ses missions locales : Accompagner les détenus malades de Fresnes à l’hôpital Béclére qui bloque 4 à 5 agents pendant toute une journée. Et les promotions : le commandant adjoint du Commissaire vient de recevoir une nouvelle affectation, avec le commandement d’une unité de garde mobile en Seine Saint Denis, sans être remplacé bien sûr. Ainsi, c’est la population vanvéenne qui fait les frais de ces réductions d’effectifs, de ces changements d’affectations ou de promotions, sans remplacements,  car la police n’a plus les moyens de remplir correctement ses missions, se résumant à l’essentiel ! Alors qu’elle est préoccupé et mobilisée  quelques points  chauds touchés par des trafics – ce n’est pas nouveau – et des rassemblements.  

    Et les vanvéens ne peuvent pas compter sur une police municipale qui manque d’effectifs et de moyens. « A 18H,  Il n’y a plus personne ! Ils sont bien venus lorsque le cambriolage s’est déroulé en journée, mais lorsque le second s’est déroulé en soirée, on a dû attendre 1H à 1H30 la venue de la police nationale, car elle ne pouvait pas avant ! » raconte l’une de ses femmes habitant cet immeuble visé près de 4 fois. « Du temps de Didier Morin (RPR), maire de Vanves (1991-95), la police municipale était plus nombreuse et veillait 24H sur 24. A Levallois, où j’ai des amis, certes, le maire a des ennuis avec la justice  etc…mais les commerçants, les habitants sont tranquilles, car il s’est organisé pour avoir une police municipale efficace. On peut se promener tranquillement dans la ville en  journée comme en soirée. Et c'est cela qui compte avant tout » indique t-elle. « A Clamart, le nouveau maire a recruté 45 agents et le directeur de la police municipale du Plessis Robinson l’a rejoint. Et il va nettoyer  le quartier de « la Plaine » comme il l’a fait au Plessis. D’ailleurs, il me semble qu’il envisage de l’armer depuis les attentats, car ces agents municipaux sont en première ligne  » explique un militant UMP qui ne comprend pas pourquoi à Vanves, le maire ne donne pas les moyens, à sa police,  d’assumer une  mission de prévention, de dissuassion  efficace  que ne peut plus remplir la police nationale. « A part de mettre des contraventions à 2 ou à 3, où sont ils vraiment efficace ? Car c’est ce que retiennent et disent les vanvéens de leur police municipale actuellement. Quant à la police nationale, ils ont fait, malheureusement,  une croix dessus. Il faut prendre rendez-vous pour aller déposer plainte au commissariat ! On tombe sur la tête ! »  

  • RETOUR SUR LE BUDGET 2014 DE VANVES (Suite) : 30 ANS DE POLICE MUNICIPALE ET DE DEBAT SUR SON ROLE ET SES MOYENS

    La Sécurité avec un grand « S » est divisée en trois postes budgétaires : Tout d’abord la Police Municipale qui a été mise en place voilà 30 ans, dispose d’un budget de  2200 € en fonctionnement (+99,73%) pour le contrôle de la base radiotéléphonie, l’achat de balles en caoutchouc (1000 €), l’entretien et la réparation des jumelles et de l’éthylotest (12 00 €) et de  2000 € en Investissement (+7,36%) pour l’acquisition d’un flashball  

    Ensuite, le service Prévention Sécurité qui coordonne l’action de la police municipale et la surveillance des Espaces Verts avec la gestion des actions mises en place par le Contrat Local de Sécurité. Il dispose d’un budget de 137 880 € en fonctionnement  (+8%)  dont 54 000 € pour les frais de gardiennage occasionnés par la mise en place durant les salons du dispositif de restriction de la circulation et du stationement lors des grands salons au parc des expositions,  37 000 € pour la maintenance et l’entretien du système de vidéoprotection urbaine, 16 180 € pour la fourrière ; et de  34 000 € (-21,98%) pour l’investissement  avec l’acquisition de deux nouvelles caméra de vidéoprotection  et 2 panneaux indicateurs de vitesses

    Enfin, le service Hygiéne et Sécurité qui dispose de  52 500 € pour son fonctionnement  (+38,28%) et de  23 500 € en investissement  (+21,33%) principalement pour le renouvellement de bouches d’incendie

    Occasion de rappeler la petite histoire de la police municipale de Vanves qui fait débat aujourd’hui : Faut il disposer d’une PM « rikiki » comme le fait le maire actuel – « Je n’ai pas envie, ni les moyens d’avoir à Vanves une PM comme dans d’autres villes. On s’est limité à une petite équipe qui ne devait pas être censée intervenir sur les missions de la Police Nationale »  expliquait Bernard Gauducheau lors du Conseil Municipal du 3 Octobre 2012 -  ou d’une « vraie » PM afin de compenser malheureusement le manque d’effectifs criant de la police nationale comme s’en plaignent les commissaires de police dont celui de Vanves. D’autant plus que le renforcement des effectifs n’est plus d’actualité, surtout dans les Hauts de Seine, dans un contexte de crise budgétaire, de réduction des ressources étatiques, alors que les ressources territoriales sont mobilisées et les maires incités à maximiser l’emploi des polices municipales. Et Vanves en aurait bien besoin, parce que la tranquillité est loin d’être assurée dans certains quartiers, à la merci d’un dérapage, même si la situation parait réglée. Il suffirait de mobiliser un budget de 1,5 M€ pour disposer d’une PM de 15 agents, et il pourrait très bien être trouvé « si on arrêtait de financer certains danseuses de la ville » notamment du côté culturel selon certaines sources bien informées.       

    Ainsi la police municipale a été créée en Novembre 1984, par Gérard Orillard (RPR) avec un seul agent municipal, sous la direction de Marcel Gaumard, délégué à la Sécurité et à l’environnement auprès du maire, ex-commandant du corps urbain du commissariat de Vanves. Très vite, elle a été composée de 5 agents dont deux femmes. L’objectif était de dissuader, en effectuant des rondes en fin d’après midi et  en soirées, accompagner les personnes âgées à la poste ou à la banque. Ils disposaient alors d’un local en 1988, dans l’espace Sébastien Giner (siége du PHARE), où ils disposaient de cellule (ex-salle de musculation). Quelques années plus tard, en 1992,  Didier Morin (RPR) a augmenté ses effectifs à 11/12 agents avec pour chef, Antoine Goetzmann, un ancien de la gendarmerie,  qui insistait beaucoup sur la formation, la qualité humaine, morale et psychologique de ses agents « ce qui leur permet d’être efficace, reconnu, considéré. La mission d’une police municipale n’est pas d’être répressive, mais d’éduquer, d’assister, et de prévenir avant de sanctionner et réprimer » expliquait il. Ils patrouillaient alors toute la journée et toute la nuit, disposant de 4 cyclomoteurs et d’une voiture.  Ce qui avait donné des résultats, évitant les phénomènes de bandes et de jeunes stationnant sur les places et dans les halls d’immeubles, ainsi que les trafics en tout genre qui se sont développés après Juin 1995. Elle aurait permis de faire baisser de 30% la délinquance à Vanves

    Dés son arrivée à la Mairie en Juin 1995, Guy Janvier (PS)  en a réduit les effectifs au stricte minimum, qui sont passés en six mois de  15 à 4/5 agents, car elle coûtait trop chére, et rédéfini ses missions  (priorité à l’ilotage, surveillance du stationnement, prévention, accompagnement des personnes âgées) en ayant souhaité la détacher de taches administratives : « Les PM doivent passer 95% de leur temps de travail dans la rue auprès des vanvéens pour mener à bien leur véritable mission : le travail de proximité ».  Résultats : vols, cambriolages, braquages petits délits, vandalisme, bagarres entre bandes se sont du coup multipliés provoquant de nombreux mécontentements, protestations des habitants du Plateau qui se sont intensifiés fin 1996/début 1997, polémiques entre l’opposition de droite et la majorité municipale de gauche. Guy Janvier a dû augmenter leur effectif à partir de 1997/98 jusqu’à 12 agents (6 agents assermentés, 4 agents de surveillance de la voirie et 8 agents de surveillance des espaces verts)  et à la ré-installer sur le Plateau dans son local actuel du 55 Rue J.Jaurés, à la fin de son mandat

    Dans son programme en 2001, Bernard Gauducheau avait inscrit : « Renforcement de la Police Municipale en complémentarité de la police nationale dotée de moyens humains et matériels permettant d’assurer une présence constante, une intervention rapide, ainsi qu’une surveillance accrue des sorties d’écoles ». Elle est ainsi passée à 21 puis 24 agents de proximité dont les agents dits de surveillance et les gardiens de square, a été équipé de gilets pare-balle, d’une nouvelle voiture (scenic Renault) et de VTT et scooters, d’un nouvel uniforme en décembre 2004 afin de bien les différencier des autres forces de sécurité etc....  « Le maire ne s’est pas donné les moyens d’une police municipale efficace, comme elle l’était sous le mandat de Didier Morin, présent 24H sur 24 sur le terrain, avec des résultats » notait un observateur averti qui ajoutait : « Ce n’est pas avec une police municipale présente de 9H à 16H qu’on réduira le sentiment d’insécurité. Mais plutôt avec une police municipale qui sorte de son bocal et qui soit présente sur le terrain à d’autres horaires ». 

    L’opposition municipale  ne s’y est pas trompé en proposant, pour le PS, de revenir à l’ilotage et la police de proximité, avec des rondes en soirée et le week-end -  « la municipalité peut avoir un rôle catalyseur », développer les caméras de vidéosurveillance « qui font partie du système de sécurité » car reliées au commissariat de police, ouvrir une antenne de la police municipale rue de Châtillon… alors que la majorité s’en tenait à « étendre la vidéo protection » et à « renforcer le partenariat entre la PM et la PN », c’est à dire la police municipale minimum.

  • REUNIONS PUBLIQUES A VANVES : UN DIALOGUE VOULU ET QUELQUEFOIS HOMERIQUE

    Ce soir se déroule à l’école Marceau, la première des trois dernières réunions publiques de quartiers semestrielles de la seconde mandature de Bernard Gauducheau,  avant les élections de Mars 2014. Il en aura ainsi tenu 36, occasion de présenter des projets aux riverains comme la résidence étudiante Larmeroux, les travaux d’assainissement des rues Minard, Gresset-Arnaud pour lutter contre les inondations à répétition lors d’orages particuliérement violents, la réhabilition du pont SNCF du Clos Montholon, le projet Cogedim à l’emplacement de la Caverne des Particuliers, de l’immeuble qui a été construit à l’angle des rues Sadi Carnot et Danton pour la SCA Danton (SMI) pour du personnel militaire, l’état d’avancement du PLU en 2009 et en 2010, les résultats l’expérimentation du béton non polluant de la rue Jean Bleuzen, le projet de Tour Triangle avec des représentants de Viparis/Unibail… . « C’est extraordinaire de faire des réunions publiques pendant 3H30 où les vanvéens s’expriment, où les élus expliquent ce qu’ils font. Quel plus bel exemple de ces réunions qui attirent de plus en plus de monde. Ce n’était pas à la mode au début. Il a fallu recréer ce dialogue. Et c’est par plusieurs dizaines que les vanvéens viennent. Vous n’avez pas mesuré ce que représente cette possiblité d’échange ! » expliquait il à l’une d’entre d’elle.

    Mais ce ne sont pas les seules qu’il a organisé, car tout projet public et privé, a fait l’objet de réunions publiques dont certaines sont restés ancrés dans les annales parce qu’elles ont été très animées avec des échanges très vifs entre les promoteurs et les architectes d’un côté, les riverains et les élus de l’autre qui sont montés au créneau :  La résidence hotelière prévue entre les rues Aristide Briand et Raymond Macheron à l’emplacement du CAT qui a dû être entièrement revu pour se transformer en résidence plus classique à la suite de la réunion publique du 14 Novembre 2011, sous la pression des riverains. La résidence prévue par le promoteur Sofiane  à l’emplacement du garage de la rue Raymond Marcheron qui a donné lieu à 4 réunions publiques ( 14 Novembre et 12 Décembre 2011,  12 Mars et  10 Juillet 2012) et au refus du permis de construire par le maire qui avait pris fait et cause pour les riverains notamment après les dysfonctionnements relevés sur le chantier de la résidence étudiante de la rue Diderot. Le chantier de 63 logements du promoteur Martek,  le long des pavillons de la villa des Matrais, a donné lieu à une réunion publique le 24 Juin 2013, très chaude,  à la suite de fissures apparues dans certains pavillons, amenant Gérard Laubier, maire adjoint à perdre son calme légendaite. A contrario, la plus consensuelle s’est déroulé le 29 Juin 2010 lors de la présentation des plans du jardin aménagé sur la dalle qui recouvre le Bd périphérique à la porte de Vanves avec les maires du XIVarrondissement de Paris (Pascal Cherki) et de Malakoff (Catherine Margaté). La plus constructive a concerné le Rosier Rouge (3 Mai 2012) car elle a permis de faire évoluer le projet même s’il a fallu le réduire avec l’abandon du bâtiment prévu à l’emplacement du parking pour un accueil de jour de malades du cancer.  La plus ennuyante a été sans contestation possible la réunion spécifique consacrée au budget et aux finances locales le 23 Juin 2009, ce qui a incité le maire à prévoir une séquence « présentation budgétaire » lors des réunions publiques du printemps plus courte.

    Il a ainsi organisé une seule réunion publique en 2008 (14 Avril) sur le projet d’aménagement de la Cogedim sur le site de la Cave des Particuliers rue Jean Bleuzen,  10 Réunions publiques en 2009, une seule en 2010 (jardin prévu sur la dalle du Périph), 6 en 2011, 9 en 2012 et 7 en 2013 qui ont concerné de multiples projets. Tout y passé : Les résidences hotelière de la rue A.Briand (23 Mars 2009) et étudiante de la rue Diderot (2009), les chantiers de privées de la rue Aristide Briand (14 Nov,  12 Dec.2011, 23 Oct. 2012) dont le résultat a été la mise en place d’un site internet et de sentinelles sur chaque chantier  en 2012,  comme pour le chantier du futur siége d’Hachette qui a fait l’objet de 3 réunions (13 Dec 2011, 11 Juin 2012, 11 Février 2013)  - avec cette exclamation d’un riverain mécontent qui est resté dans les annales  : « Moi je revendique ma part de soleil ! » -    le projet de résidence sociale de 120 logements du Rosier Rouge (9 Dec 2011), une résidence à l’emplacement de la rue de Châtillon (21 fev 2013)

    Une des phrases favorites du maire, pendant ces réunions était « Ma volonté n’est pas de faire le bonheur des gens malgré eux ».Il a précisé  souvent  les régles du jeu aux protagnistes : « Cette réunion s’inscrit dans une pratique habituelle : les riverains doivent être informé sur les projets en cours d‘instruction par les services de l’urbanisme, grâce à ces réunions publiques où ils peuvent s’informer et réagir » en ajoutant : Il n’est pas question de s’affronter mais œuvrer à prendre en compte l’ensemble des problémes et déminer le terrain. Et si des gens cherchent l’affrontement avec la mairie ou les maîtres d’ouvrages, ils n’ont pas leur place ici ». Tout en  les remettant  quelquefois à leur place  «  Si des réunions comme celles-ci sont organisées, ce n’est pas pour présenter des plans faux, mais pour voir ce qui sera réalisé et implanté « avail il déclaré à un promoteur . « On part du principe à Vanves que si quelqu’un pose une question, c’est avec raison, que ce n’est pas un abruti ! ». Enfin, il a souvent rappelé« que la ville n’est pas toujours au courant de ce qui se trame entre propriétaires privées et promoteurs, car contrairement à ce que croient certains dans ce domaine, beaucoup de choses se décident en privé ! ». 

    En dehors de l’immobilier,  ses réunions publiques ont concerné le site propre du CD 50 rue A.Fratacci (2 Février 2009), l’aménagement de la rue de l’Eglise (5 Mai 2009), du mail Sadi Carnot (Dec 2009, Avril 2012), le budget et les finances locales (23 Juin 2009),  le PLU (3 en Avil 2009 et le 14 Décembre 2009 notamment en dehors des réunions de quartier et des comités Consultatifs) , le nouveau conservatoire (9 Juin 2011 et 11Fev 2013), le devenir de la rue de l’Avenir (18 Oct 2011) avec une autre sur le projet (contesté par riverains) de centre cutuel et culturel musulman (3 Oct.2013), la sécurisation du parking Papillon (8 Nov 2011),  la requalification de la rue Louis Dardenne (19 Nov 2012 – 9 Avril 2013), l’aménagement du square Jarrousse ( 4 Oct. 2012), le Grand Paris Express (15 Oct.2012), la sécurité dans certains quartiers  (31 Janv 2013 et 19 Fev 2013), la restauration scolaire (12 Fev 2013), la fibre optique (25 Mars 2013). D’autres thémes d’actualités ont fait l’objet de présentation et d’échanges dans le cadre plus limité des comités consultatifs comme l’extension du stationnement réglementé,  des zones 30 et 20 etc…