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gpso - Page 161

  • VANVES AVEC GPSO S’ENGAGE A REJOINDRE PARIS METROPOLE ET A ARRETE UN AGENDA 21

    Beaucoup d’élus, dans l’opposition,  se plaignaient que l’on ne parle pas assez de la nouvelle communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest (GPSO) ou qu’elle ne soit pas assez agissante. Depuis Vendredi dernier, ils sont servis. Non seulement ils ont assistés au démarrage d’une grande concertation sur l’élaboration de l’agenda 21 Vendredi matin, mais hier, un communiqué de presse a annoncé que le Bureau Communautaire du 10 Juin a décidé de soumettre au Conseil Communautaire du 24 Juin, le principe d’adhésion de leur établissement public au syndicat mixte Paris Métropole.

     

    « Si nous nous sommes GPSO, ce n’est pas pour rien ! »

     

    Alors que la plupart des élus de la Majorité Présidentielle étaient très réticent pour rejoindre Paris Métropole créé voilà plus d’un an, GPSO et ses 7 Maires ont décidé de s’engager ensemble pour l’adhésion à Paris Métropole : « Nous avons constaté que le dossier d’aménagement du Grand Paris s’était quelque peu débloqué la semaine dernière à la suite du déjeuner accordé par le Président de la République à Jean Paul Huchon et à Bertrand Delanoë. Où il a été dit, d’une part que le SDRIF serait transmis au Conseil d’Etat, d’autre part, effectivement le Grand Paris pourrait s’appuyer sur les compétences de Paris Métropole. A partir de là, il nous apparaissait évident qu’il fallait entrer dans Paris Métropole. Et nous allons peser très sérieusement, car sur les 110 collectivités adhérentes, nous allons arriver à huit. Et comme il y a deux colléges séparés, avec d’un côté les communes et intercommunalités avec 95 adhérents, nous serons 8 sur 95, et de l’autre les conseils généraux et le conseil régional » explique Pierre Christophe Baguet, président de GPSO. « Si nous nous sommes appelés Grand Paris Seine Ouest, ce n’est pas pour rien. C’est pour peser justement sur le développement. Nous sommes le deuxiéme pôle économique d’Ile de France avec la Défense. Le développement économique passe par GPSO » ajoute le député maire de Boulogne.

    « Et nous défendrons le respect du développement économique tout en n’étant pas contre un développement harmonieux de  Paris. Mais le développement doit se faire vers le haut et pas vers le bas. Le projet du Grand Paris est de faire une « ville monde » comme le dit Christian Blanc. Et nous voulons nous inscrire dans cette logique là. Et c’est ce que nous faisons avec nos propres communes aujourd’hui. Nous sommes en pleine coopération, élus, entreprises, habitants. GPSO est une communauté qui a du sens sur le plan économique et humain ». Les conseils municipaux des 7 communes de GPSO proposeront à leur conseil municipal respectif de rejoindre également cette instance.

     

    VANVES A ANIME LE FORUM AGENDA 21 DE GPSO

     

    La première série d’ateliers organisé à l’occasion du forum Agenda 21 de GPSO (grand Paris Seine Ouest) vendredi dernier à Boulogne a été frustrante selon les dires de certains participants, élus et associatifs des 7 communes de cette communauté d’agglomération. « Il aurait fallu plus de temps pour pouvoir s’exprimer car le diagnostic et les enjeux bien posés par le bureau d’études Inddigo soulévent beaucoup de questions ». Il est vrai qu’en une matinée, les participants ont eu le droit à une présentation du travail de ce bureau d’études à partir duquel se sont réunis 4 groupes de travail – développement économique ; cohésion sociale et solidarités, habitat, culture, loisirs ; biodiversité et ressources naturelles, risques et nuisances, énergie et climat ; aménagement, mobilités et gouvernance – suivi par une restitution de leurs premiers travaux. Pierre Christophe Baguet, député maire de Boulogne a expliqué que c’est une démarche qui lui tient à cœur en rappelant que « Arc de Seine et Val de Seine n’avaient pas attendu leur fusion au début de l’année pour commencer à agir dans ce domaine, la première ayant mis en place un Agenda 21 et la seconde un Plan Energie Climat territorial  avec des mesures comme le développement des éco-quartiers, des subventions d’équipements aux particuliers (panneaux solaires), un bilan carbone, l’installations d’ampoules leds pour l’éclairage public, une Agence de l’Energie etc… »

     

    « Dès le début de l’année 2009, elles se sont rapprochées pour se mettre d’accord sur la définition d’un projet commun d’Agenda 21 dont le volet « énergie-climat » constituerait le Plan Climat Territorial de GPSO. Ainsi, cet Agenda 21 sera composé d’une stratégie territoriale de développement durable et d’un plan d’actions qui sera renouvelé régulièrement en fonction du niveau d’atteinte des objectifs que nous nous serons fixés » a expliqué Bernard Gauducheau, maire de Vanves qui est chargé de ce dossier et préside un Comité de Pilotage Agenda 21 où sont représentés les 7 communes et dont le rôle  est de s’assurer du bon déroulement de la démarche.

     

    Il a confié au bureau d’études Inddigo la mission de réaliser un diagnostic territorial des enjeux de développement durable à l’échelle du territoire de GPSO en s’appuyant sur le cadre de référence national « Projet territoriaux de développement durable et Agendas 21 locaux » du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer, décliné en 5 finalités : La lutte contre le changement climatique ; la préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources ; la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ; l’épanouissement de tous les êtres humains ; Une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables.

     

    « Un fois ce travail effectué, le diagnostic n’en est pas pour autant complet.  Pour achever cette phase il convient de le soumettre à la concertation et de le partager avec les acteurs du territoire » a indiqué Bernard Gauducheau qui a expliqué aux participants ce qu’il attendait d’eux : « Vous êtes la substantifique moelle. Vous avez le capital, la matière grise qu’il faut mettre noir sur blanc… Pour pouvoir obtenir des résultats concrets, nous sommes convaincus de la nécessité de hiérarchiser et de prioriser les enjeux et les axes de progrès dégagés par le diagnostic. Cela permettra in fine de dégager les axes prioritaires d’actions qui constitueront l’ossature de l’Agenda 21 ». Cette première phase devrait être suivie par une série d’ateliers thématiques dans la semaine du 28 Juin au 2 Juillet pour permettre aux participants « de produire de façon plus poussée et plus détaillée des idées d’actions pour répondre aux enjeux identifiés comme prioritaires par le Comité de Pilotage à la suite du Forum. Ces rencontres devront ainsi dégager un certain nombre d’orientations qui pourront constituer la trame de l’Agenda 21 et des propositions d’actions qui pourront abonder le plan d’actions de l’Agenda 21 ».

  • VANVES DANS LA VALLEE DE LA SEINE : RD7, GPSO…ET CHEMINEE

    Deux sujets sont revenus sur le devant de l’actualité dont s’étaient préoccupés les Verts de Vanves comme ceux du Val de Seine : la RD 7, et surtout l’agenda 21 et le plan territorial de GPSO. Après le foudroyage de la cheminée de la TIRU qui a été l’événement dominical de l’interco, sans aucun représentant de la ville de Vanves qui pourtant, y faisait incinérer ses ordures ménagères, alors que les maires d’Issy, de Chaville et de Meudon s’étaient déplacés. Quelques vanvéens l’ont vu, de loin, s’écrouler, avec une demi heure de retard (12H30) car l’un des habitants d’un immeuble évacué, refusait de partir, ayant installé tout son matériel audiovisuel pour tourner, aux premières loges, l’écroulement de la cheminée. Il a fallu le menacer de faire venir la grande échelle des pompiers pour qu’il s’évacue de lui-même.

     

     

    RD7 : L’AVIS FAVORABLE FAIT DES MECONTENTS

    La Commission d’enquête, à l’unanimité a émis un avis favorable à la déclaration d’utilité publique relative à l’aménagement des bords de Seine et de la RD7 sur les communes de Sèvres, Meudon et Issy-les-Moulineaux qui avait fait l’objet d’une consultation publique du 5 Janvier au 5 Février 2010. Cette même commission a également donné un avis favorable aux dossiers de mise en compatibilité des documents d’urbanisme des communes concernées, ainsi qu’aux 3 dossiers d’enquête parcellaire et aux emprises réservées aux ouvrages nécessaires au projet. Elle a relevé que le maître d’ouvrage avait cherché à concilier la multiplicité des usages de la RD7 et des berges (automobilistes, cyclistes, piétons, randonneurs, desserte bateaux-logements, desserte activités ou services publics…) ; ainsi que  la nécessité fonctionnelle que devait apporter le projet pour l’axe RD7 (voie classée à grande circulation) et le fleuve (moyen de transport à maintenir, voire à privilégier). L’avis favorable à la DUP est assorti d’une réserve et de 9 recommandations (dont 5 émises au titre de l’enquête loi sur l’eau) qui devraient permettre d’améliorer le projet et sa mise en œuvre La réserve, portant sur le dispositif proposé pour les cyclistes, fait d’ores et déjà l’objet de l’attention du Conseil général

    Cette décision a suscité quelques réactions :  « Ce projet est enfin sur la bonne voie, 11 ans après la première proposition du Conseil général ! Il témoigne de notre volonté de rendre la Seine aux habitants en aménageant des promenades, des espaces de vie, de circulations douces sur les berges du fleuve et de fluidifier le trafic automobile en prenant en compte les enjeux environnementaux, sociaux et économiques du Val de Seine » a déclaré Patrick Devedjian, président du Conseil Général. Les Verts Altoséquanais ont déploré « ce feu vert donné à un projet terriblement coûteux (200 millions d’euros) et totalement archaïque du Conseil Général. Ce choix continue de promouvoir l’automobile individuelle et ouvre la porte à une multiplication du trafic routier en bord de Seine. Par ailleurs, bien que la commission d’enquête ait noté un avis très majoritairement défavorable des populations, celle-ci semble avoir cédé aux pressions politiques que l’UMP n’aura pas manqué d’exercer » indiquent-ils dans un communiqué où ils constatent à nouveau « que le conseil général des Hauts-de-Seine représente le pire exemple en matière de développement durable ! ». Et ils appellent «  les habitants à poursuivre leur mobilisation aux côtés des associations de riverains et de protection de l’environnement pour empêcher la réalisation de ce projet de doublement des voies, qui constitue une erreur tant du point de vue de l’urbanisme que de la mobilité ».

     

                                                          

    GPSO : UN GRAND FORUM VENDREDI PROCHAIN

    L’ensemble des élus mùunicipaux des 7 villes de la CA de GPSO sont invités Vendredi à Boulogne pour le forum de concertation pour l'Agenda 21 et le Plan Climat territorial de GPSO. Au programme, une plénière pour présenter le diagnostic du territoire, suivie de quatre ateliers ayant pour objectif une définition des enjeux prioritaires, lesquels devront être hiérarchisés : Développement économique; Cohésion sociale et solidarités, habitats, culture et loisirs; Biodiversité et ressources naturelles, risques et nuisances, Energie et climat;  Aménagement, mobilités et gouvernance. Dans un deuxième temps, six nouveaux ateliers thématiques seront organisés fin juin - début juillet pour élaborer un futur plan d'actions de l'Agenda 21 sur la base des orientations retenues à l'issue du Forum.

  • REUNION AUX HAUTS DE VANVES (suite) : QUESTIONS POUR UN CHAMPION

    A l’occasion de cette seconde réunion publique qui s’est déroulée lundi dernier dans la salle des cinéastes de la piscine municipale,  Bernard Gauducheau a répondu à toutes les questions comme un champion et apportés des informations supplémentaires ou des précisions sur la vie de ce quartier en réussissant à être précis comme d’habitude et plus court que d’habitude.

     

    PLU ET INTERCO

    Il a confirmé que notre ville a une vocation résidentielle. « Elle n’est pas destinée à subir des changements profonds. Nous avons la chance de faire partie d’une intercommunalité en s’attelant à des locomotives comme Issy les Moulineaux et Boulogne qui peuvent nous assurer un train de vie. Alors que Vanves est à la pointe Ouest de GPSO (Grand Paris Seine Ouest). C’est une garantie de développement, de pérennité financière. Nous arrivons à mener plusieurs projets de fonds qui tendent à moderniser notre ville » a-t-il expliqué en reconnaissant que « Vanves se situe dans les 15 ou 16 villes les plus chères de France. C’est une garantie pour les vanvéens d’avoir des biens qui ont une certaine valeur ».

     

    GARAGE « AFRICAIN »

    Les habitants de la rue Larmeroux se sont plaints de l’installation d’un nouveau garage  dénommé « le garage africain » qui génère des pollutions, et occupe des places de stationnement avec ses véhicules garés à l’extérieur  dont beaucoup sont plutôt des épaves : « comment va-t-on s’en sortir » ont demandé les riverains qui ne veulent pas que « la rue Larmeroux devienne la Nationale 7 » : « Je n’ai pas été informé avant que cette opération se fasse. J’ai été mis devant le fait accompli. Il s’est installé sans prévenir alors que ce n’est pas le quartier idéal, mais rien ne l’obligeait à le faire. Le gérant de ce garage est conscient de la pression. Il ne serait pas hostile à trouver un autre point de chute si nous l’aidions ».

     

    RUES ET RESEAUX

    Les échanges sur les travaux d’assainissement dans le quartier du Parc Municipal des Sports ont glissé sur la réfection des rues et l’enfouissement des réseaux : « J’ai fait inscrire la réfection de la rue Mansart pour 2011, avec enfouissement des réseaux. Nous agissons dans l’ordre : Tout d’abord les travaux d’assainissement, ensuite l’aspect qualitatif pour améliorer l’état des rues » a-t-il précisé à des questions sur l’état de cette rue qui a été déformée suite aux travaux d’assainissement, avec beaucoup d’ornières. A ce moment là, une riveraine a demandé « si, après ses travaux, était envisagé une réfection de la rue du Docteur Arnaud où des câbles arrachés par les camions, pendent le long de poteaux » – « Mais elle a été déjà refaite, les autres rues sont plus prioritaires ! » - puis  un autre a posé la question de la réfection de la rue de l’avenir – « Tant que vous ne serez pas d’accord sur le transfert de propriété de cette voie – qui serait semi public, semi privée – à la ville, nous ne pouvons rien faire. Essayez de vous mettre d’accord entre riverains. Et après on interviendra » a répondu le maire. Mais le riverain a insisté en soulevant la question de l’accessibilité des pompiers, les problèmes de stationnement. « La rue de l’avenir fait partie des rues à refaire ! Mais il faut en préciser son statut juridique avant d’intervenir »  

     

    MUR ANTI BRUIT

    Un riverain de la voie SNCF a demandé « où on en était du mur anti-bruit prévu entre les gares de Vanves-Malakoff et Clamart ? » – « Tout a été mis en œuvre par la commune et GPSO. RFF (Réseau Ferré de France) n’a pas jugé utile d’inscrire le financement de ses travaux, car il ne juge pas prioritaire le chantier de Vanves par rapport à d’autres » a expliqué le maire en reconnaissant que l’on devrait perdre un an.

     

    STATIONNEMENT

    La polémique sur les actes de vandalisme sur certaines voitures a fait long feu lorsqu’une riveraine s’est adressé à l’auteur de la pétition sur Internet qui demandait la mise en place d’un moyen de surveillance : « Ce monsieur ne dit pas que son 4x4 est toujours garé au même endroit » - « On a les mêmes ennemis et on ne se connaît pas » a tenté de lui répondre le propriétaire du 4x4 qui a expliqué qu’il ne pouvait pas faire autrement et qu’il a porté plainte au commissariat sans être entendu – « Mais vous gênez la circulation  des piétons et des véhicules » a-t-elle ajoutée  soutenu par quelques voisins, alors que le maire tentait de ramener le calme en élevant le débat sur la question du stationnement. « Nous avons prévu la mise en œuvre d’un nouveau règlement du stationnement. J’avais prévu l’achat de 90 horodateurs dans le budget 2010. Mais cette compétence (stationnement) dépend maintenant de l’interco (GPSO), ce qui a retardé les choses d’un semestre (et peut être plus) » a-t-il expliqué. « L’objectif est d’instaurer le stationnement payant sur l’ensemble de la commune. Au début, cela a été difficile. Notamment rue de Châtillon. Maintenant, tout le monde s’accorde pour dire que le stationnement payant a solutionné beaucoup de chose »